«  Nous sommes un soir de novembre, peu après 19 heures,

Jacinthe S., une mère de famille de 37 ans, est dans sa cuisine, en train de préparer le dîner,
lorsqu’elle entend frapper lourdement à sa porte.

Un peu surprise, elle baisse le son de sa radio, puis, posant son torchon sur le plan de travail,

elle se dirige vers l’entrée.

En passant dans le salon, la jeune femme a juste le temps de voir sa fille de 9 ans,

assise sur le canapé, occupée à brosser les cheveux d’une petite poupée.

Puis elle ouvre la porte…

Et se retrouve précipitée dans le cauchemar le plus complet…

Bienvenue en France

Le pays où les enfants DÉNONCENT leurs parents…

…POUR LA « SANTE » DE TOUS…

Mais avant de vous dire ce qui va se passer, je dois faire faire un tout petit retour en arrière.

Et révéler des faits qui ont eu lieu tout récemment.

Dans la plus grande discrétion…

Avec la crise du coronavirus, l’Éducation Nationale a émis le 5 mai 2020 une « fiche »

pour identifier les élèves dont les parents seraient « réticents aux recommandations

faites en matière de santé publique » et diffuseraient des « discours dangereux sur de faux remèdes ».

Il s’agit de ce document :

Banal en apparence…

Une fiche officielle avec les couleurs de la République Française.

Mais derrière la sobriété, un objectif : la TRAQUE des parents qui « pensent mal »…

C’est à ce moment-là que Jacinthe S. a été « repérée ».

Sa « réticence » aux recommandations de santé ?

C’est simplement que, comme beaucoup de personnes, elle s’est posée des questions

sur le confinement, sur les hésitations des autorités sur les masques, les tests, la chloroquine…

Ses « discours dangereux » ?

C’est juste qu’elle s’intéresse en priorité aux solutions naturelles comme la vitamine D,

la vitamine C ou le zinc, lorsque c’est possible.

Pendant la crise du COVID, elle a abordé ces sujets comme ça, chez elle, en réagissant

à un reportage du journal télévisé ou au téléphone avec une amie…

Sans savoir que sa fille serait interrogée, à son retour en classe.

Sans savoir qu’à l’occasion de l’épidémie, l’école était désormais tenue de détecter

les élèves tenant des propos critiques à l’égard de l’Etat…

et même d’INCITER LES ENFANTS à dénoncer les « dérives » de leurs parents !!![1]

Sans se douter de rien, Jacinthe a ainsi été mise sous « surveillance »… à travers sa fille.

On a appris qu’elle s’interrogeait aussi sur le danger de l’aluminium dans les vaccins,

ou encore qu’elle utilisait régulièrement l’homéopathie ou les plantes médicinales.

Bref, qu’elle suivait sa propre voie pour sa santé et celle de sa fille.

Une voie différente de celle des recommandations officielles.

Une voie désormais INTERDITE.

La mère de famille va maintenant rendre des comptes…

Affronter une machine qui se met en marche, impliquant la justice, la police,

qui lui rend visite chez elle…

…Avec en ligne de mire le risque de perdre la garde de son enfant

« pour manquements répétés à son éducation et à sa santé ».

Eux aussi pensaient que

« ça ne pouvait pas arriver »

Je prédis que cette scène aura lieu en 2022.

Mais vous pouvez remplacer le prénom de Jacinthe par le vôtre, celui d’une amie,

d’une grand-mère qui verserait « un peu trop » dans les médecines naturelles.

Car avec la crise du COVID-19, les derniers pions ont été placés.

LE JOUR LE PLUS NOIR ARRIVE.

Vous n’y croyez pas ? Vous pensez que j’exagère ?

Je comprends que vous soyez sceptique.

C’est normal. C’est sain, même.

Personne ne pourrait supporter qu’une telle scène soit notre nouvelle réalité.

Mais pensiez-vous un jour qu’à cause d’un simple virus, la nouvelle réalité ce serait aussi :

  • De ne plus pouvoir sortir dans la rue sans porter un masque ?
  • De faire la queue à l’extérieur des magasins pour aller chercher les denrées
  • de première nécessité ?
  • De se tenir à distance les uns des autres,
  • De laisser mourir seules les personnes âgées dans les EPHAD sans un dernier
  • contact avec leurs proches,
  • D’interdire à des familles d’assister à l’enterrement d’un proche !?

Pensiez-vous qu’un homme comme le docteur Anthony Fauci2, immunologue et

responsable de la réponse sanitaire des Etats-Unis face au coronavirus, puisse dire un jour comme il l’a fait :

« Je pense que nous ne devrions plus JAMAIS

nous serrer la main »

Ne plus jamais se serrer la main !?

Tout cela ne pouvait pas arriver. Ce n’était pas pensable.

Pourtant en mars 2020, c’est arrivé.

Alors lisez ce qui suit, car je vous assure que ce qui nous attend est encore plus effrayant.

Au nom de la lutte contre les « fake news », sous la banderole de « la santé pour tous »,

vous allez découvrir qu’un plan méticuleusement préparé vise à réduire à néant notre liberté de soin

Et notre liberté…tout court !!!

Vous voulez un seul exemple ?

L’intervention, début mars 2020, du sénateur Claude Malhuret, médecin et fondateur

avec le dr. Laurent Alexandre du site Doctissimo, au sujet du coronavirus[3].

Les coupables d’après lui ?

Les réseaux qu’il appelle « antisociaux » et qui « promeuvent les médecines farfelues,

les bains d’eau chaude et les huiles essentielles. »

Les médecines naturelles, des médecines « farfelues »…

Vous saisissez ce que cela veut dire ?

« A la niche, les amateurs de plantes, les homéopathes, les nutritionnistes,

les madame Michu de la médecine ! »

« Laissez les gens sérieux, laissez l’OMS et les grands mandarins s’occuper de votre cas. »

« Parce que ce n’est pas avec vos huiles essentielles, vos bains d’eau chaude, votre vitamine D

et votre artemisia annua que vous allez vous soigner. »

Ce qu’il vous faut, vous l’avez compris, c’est un nouveau vaccin, un nouveau médicament chimique…

Qu’on choisira…pour vous ! Sans demander votre avis.

« Seule une vaccination généralisée pourrait avoir raison de nos souffrances actuelles… »

a d’ailleurs martelé le président de la République, M. Macron.

Ce qu’on vous demande, c’est de faire ce qu’on vous dit !

Un sénateur de la République, par ailleurs médecin, élu au nom du peuple,

qui vient dire au peuple justement qu’il n’a qu’à se taire, et faire ce qu’on exige de lui pour sa santé…

Je crois que vous avez compris ce que ça signifie vraiment.

Cela veut dire que nos autorités considèrent que VOTRE santé ne VOUS appartient pas !!

Cela veut dire qu’ils pensent que VOUS n’êtes pas assez intelligent, ni assez compétent,

pour décider ce qui est bon pour VOUS, our vos enfants ou vos petits-enfants

Cela veut dire qu’ils sont décidés à tout faire pour nous priver de notre liberté thérapeutique.

Il y a désormais deux camps. Il y a eux et il y a nous.

…Le combat du siècle a démarré.

Et la santé naturelle, la dernière santé libre, va triompher…ou mourir.

Et pourtant, au début, ils rigolaient…

Pourtant, ils avaient d’abord commencé par rigoler.

Rigoler quand les « pionniers » d’une santé plus « naturelle » ont commencé à faire l’éloge

de la bardane, de la verveine, du fenouil ou de l’ail.

Rigoler devant leurs « trésors »… .pas des molécules à breveter, mais des tisanes, des décoctions,

des huiles, des résines ou des plantes, que chacun pouvait cultiver dans son jardin ou sur son balcon.

Rigoler devant leur mode de vie, eux qui ne vénéraient pas le monde de la performance

et du « toujours plus », préférant celui du silence, du jeûne, et de l’être intérieur.

Oui, les multinationales du médicament ont commencé par rigoler…

…parce qu’elles n’ont pas imaginé une seconde que cette « médecine douce » pouvait les concurrencer…

Que pouvait-elle face à la puissance des antibiotiques, de la cortisone, des antidiabétiques,

des antipsychotiques, face aux progrès sensationnels dans le domaine des prothèses, des transplantations ?

Que pouvait-elle face aux promesses de la vaccination, de la médecine connectée ou du transhumanisme ?

Rien ! Ces gens-là, disaient-ils en regardant les thérapeutes naturels, « ils parlent aux oiseaux… »

Seulement progressivement les choses ont changé :

Le jour où ils se sont rendu compte qu’ils avaient TORT

…L’excès de de nourriture, de sucres, l’excès de pollution et de médicaments chimiques…

Le déracinement, la perte du lien avec la Nature, le manque de sens de nos sociétés

obsédées par la consommation…

…Progressivement la vie « moderne » a désarmé nos corps autant que nos esprits,

torpillant notre défense immunitaire.

Les habitudes de santé dramatiques que des millions de personnes ont entretenues

pendant des années ont laminé nos capacités de résistance.

Le nombre de personnes en surpoids a explosé.

L’hypertension, le diabète, le cancer, les accidents cardiaques se sont multipliés comme une traînée de poudre.

L’arthrose est devenue si fréquente que la médecine officielle en est venue à la juger « normale » à partir d’un certain âge.

Pareil pour le mal de dos, l’acné, l’eczéma, les allergies, les maladies auto-immunes, où le corps s’attaque à lui-même.

Et la médecine moderne a montré son VRAI VISAGE…celui de l’impuissance devant l’explosion des « maladies de civilisations

Tout cela malgré une consommation record de médicaments (14 par jour en moyenne chez les plus de 65 ans !!![4]) :

ECHEC n°1 : 200 millions (!!) de boîtes d’antidépresseurs ou d’anxiolytiques

distribuées chaque année n’ont aucun effet à long terme sur la diminution de l’angoisse,

du stress ou de la dépression ;

ECHEC n°2 : Le gavage général d’antibiotiques a créé une nouvelle génération de bactéries résistantes

qui pourrait tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an[5]

ECHEC n°3 : On compte plus de 130 000 hospitalisations par an liées à des effets indésirables des médicaments…

et près de 30 000 morts « attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux »

d’après un rapport officiel du ministère de la Santé [6].

Et ce n’est pas tout.

A l’impuissance est venu s’ajouter le scandale : le Vioxx, la Dépakine, le Médiator, le Distilbène,

le Lévothyrox, etc., offrant au public qui lui faisait pourtant confiance, l’image d’un système de santé à la dérive…

…Un malade en phase terminale.

Ce que je m’apprête à vous révéler maintenant, rares sont les personnes qui en ont simplement conscience.

En le découvrant, vous aurez peut-être l’impression d’avoir été trompé pendant des années…

…Mais au moins vous serez au courant : et vous pourrez alors choisir…

Les faits sont là :

Notre système de SANTE S’EST CONSTRUIT POUR QUE LES MALADES….

…RESTENT MALADES !!!

Guérir les malades, très peu pour lui !!!!

Le pot-aux-roses a été dévoilé en 2018 par l’une des plus grosses banques du monde,

la société américaine Goldman Sachs :

Voici ce qu’écrit une de ses analystes au sujet des traitements [7] :

« Les remèdes qui guérissent immédiatement offrent un profil de rentrées financières récurrentes

très différent des thérapies chroniques. »

« Ces remèdes représenteraient un intérêt formidable pour les patients et la société,

mais pourraient être un obstacle pour ceux qui cherchent un « cash flow » financier durable ».

Je vous traduis en clair le sens de ces propos.

Cela signifie que la GUERISON n’est PAS l’objectif des fabricants de médicaments.

Au contraire, c’est un « OBSTACLE » !!!

Vous avez bien lu !

Big Pharma voit la guérison comme une catastrophe pour ses ventes.

L’analyste de la banque Goldman Sachs prend l’exemple d’un médicament

contre l’hépatite C dont le taux de réussite dépasse 90 %.

Un succès ?

PAS DU TOUT !!!

« La guérison de patients fait également diminuer le nombre de porteurs capables

de transmettre le virus à de nouveaux patients, et ainsi, le vivier d’incidence décline lui aussi… »

En clair, le virus s’éteint et c’est un véritable drame pour le fabricant !

Le système de santé cherche à vous TENIR EN LAISSE avec des prescriptions à vie

de médicaments qui « réduisent » ou « soulagent » la douleur, l’arthrose, le diabète,

l’hypertension etc, mais ne vous guériront JAMAIS.

Ils font tout pour vous cacher ces preuves

Voilà pourquoi ils cherchent absolument à cacher la puissance des traitements naturels

(et souvent gratuits) qui eux, guérissent les maladies les plus graves POUR DE BON.

C’est un produit naturel, le méthyl-sulfonyl-méthane (MSM), qui, dans une étude

en double-aveugle (l’étalon or de la recherche scientifique), a montré une réduction de 82 % de la douleur chez les patients arthrosiques après 6 semaines. Sans les effets secondaires des médicaments antidouleur.

C’est un « simple » régime alimentaire qui a permis à un groupe

de diabétiques de retrouver une glycémie à jeun inférieure à 1,26 g/L. Autrement dit, d’inverser leur diabète.

C’est une « simple » huile essentielle (huile de ravintsara) diffusée dans l’atmosphère

à l’hôpital qui permet d’éviter la transmission des germes et les surinfections respiratoires.

Ce sont de « simples plantes » qui offrent des perspectives inégalées

aux malades souffrant du paludisme (artémisia annua),

de dépression (mucuna pruriens, crocus sativus), d’insomnie (griffonia, eschscholtziaI), 

ou d’hypertension (ylang-ylang),

C’est la « simple » vitamine D, qui à la dose de 4000 UI par jour,

a permis d’observer un ralentissement considérable,

voire une disparition du cancer de la prostate chez certains patients !

Ce ne sont là que quelques exemples.

La redoutable efficacité des remèdes naturels, il en existe des milliers de preuves scientifiques.

Nous le savons.

Les médecins le savent.

Les industriels du médicament le savent.

Les autorités de santé aussi…

Mais ils REFUSENT de l’admettre.

Au contraire ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour le cacher !

Je ne veux pas multiplier les exemples, mais rien que ces derniers mois,

la désinformation sur les médecines naturelles a atteint un niveau inouï !

Escroquerie d’état sur l’arthrose

Regardez par exemple l’avis de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation

(ANSES) sur l’un des compléments alimentaires naturels les plus utilisés contre les douleurs articulaires.

L’ANSES affirme que les compléments contenant de la glucosamine et de la chondroïtine

seraient « susceptibles d’entraîner des effets secondaires particulièrement graves

(insuffisances rénales, hyperviscosité sanguine, problèmes hépatiques, etc.) »

Le risque semble si important que l’ANSES recommande d’INTERDIRE aux fabricants

de promouvoir ces produits contre les douleurs articulaires.

Et les médias, comme un seul, homme se font l’écho de la nouvelle, suscitant la panique chez les malades.

Et pourtant…

Lorsqu’on analyse l’étude en détail, on comprend que l’ANSES fonde son avis sur

UN SEUL malade qui aurait eu des effets secondaires « très vraisemblables »…

… sur un million de boîtes distribuées.

Vous avez bien lu : cette alerte « officielle », reprise en boucle par tous les médias,

repose sur UN cas d’effet indésirable « vraisemblable » !!!

Soit 0,000001 %.

Mais en revanche…PAS UN MOT sur  :

*Les deux études récentes menées sur des personnes souffrant d’arthrose du genou

qui ont montré que 1 500 mg de sulfate par jour de glucosamine permettait de freiner,

voire stopper la progression de l’arthrose. [8],[9]

*Le fait que prises ensemble, ces deux substances iraient jusqu’à diminuer

les douleurs d’arthrose de 72%, ralentir son évolution et même

participer à reconstruire le cartilage en inhibant l’hyaluronidase,

une enzyme responsable de sa destruction.[10]

Et tout cela, sans aucun effet secondaire associé.

Mais alors : pourquoi cette tentative de mise à mort des compléments à base de chondroïtine / glucosamine ?

Parce qu’il faut un coupable pour masquer l’impasse dans laquelle on maintient les malades !!!

Et il se passe la même chose avec

–       la mélatonine contre la douleur (INTERDITE en France à une concentration supérieure à 2mg),

–       l’huperzine ou la vitamine E contre Alzheimer,

–       les huiles essentielles contre les polyarthrites (huile de thym à thujanol, huile de sarriette et hélichryse d’Italie)

–       les huiles essentielles contre la dépression (l’huile essentielle de lavande vraie obtient de meilleurs résultats que le Prozac !) ;

Même la vitamine D, ils veulent la TORPILLER !!!

Même la vitamine D, dont l’Académie de Médecine vient pourtant de RECOMMANDER

la supplémentation en cas de Covid[11], ils cherchent à tout prix à la discréditer !!!

Malgré des études en rafale qui montrent ses bienfaits extraordinaires sur le risque de cancer du sein[12],

sur la rigidité artérielle[13] , la sclérose en plaques[14], la tuberculose[15], etc, le journal Le Figaro choisit pour titre :

« Trop de vitamine D pourrait nuire à la santé[16] ».

Il n’y a pourtant aucune trace, dans TOUTE la littérature scientifique, de risque de surdosage en vitamine D.

Mais alors quoi ?

C’est simple : la médecine naturelle dérange de gigantesques intérêts…

Et il faut comprendre que la maladie est avant toute autre chose …un business :

« Une leucémie, c’est en moyenne 20 000 % de marge » !!!

« Un cancer, ça peut rapporter 120 000 euros » ! [17]

Au total, pour la seule année 2017, le chiffre d’affaires des dix plus grosses multinationales

du médicament a avoisiné les 400 milliards d’euros[18]

Alors ils ne vont pas laisser des vitamines, des plantes,

des racines et des fleurs impossibles à breveter tuer la poule aux œufs d’or !!

Comment accepter par exemple que des « simples tisanes » puissent guérir une maladie grave ?

Comment supporter que de simples feuilles séchées d’artemisia pourraient

à elles-seules sauver 200 millions de personnes atteinte de paludisme dans le monde,

pour moins de 3 dollars par mois[19] ?

Je vous l’ai dit, les grands industriels du médicament ont commencé par mépriser

le retour en force de la santé naturelle.

Mais à présent que de plus en plus de personnes sont convaincues

que la médecine naturelle est la vraie médecine d’élite, ils ne rigolent plus…

…Plus du tout.

Et tous les moyens sont bons.

Le mensonge, d’abord.

Cela fait trente ans, quarante ans, qu’ils mentent… 

…Allant jusqu’à produire des études scientifiques « montées de toute pièce » :

Sur les statines, par exemple, le Professeur Rory Collins, professeur de médecine

à l’Université de Oxford, a fait une déclaration publique proprement hallucinante[20] :

Ce scientifique, à la tête de deux consortiums de recherches privés qui ont produit

depuis 20 ans une grande partie des études sur ces médicaments anti-cholestérol,

a reconnu en 2015 qu’il n’avait « jamais étudié sérieusement leurs effets secondaires !!! »

Et…pourquoi ?

Parce que sa « conviction » était que les statines « sauvaient des vies »,

et qu’il ne voulait pas inquiéter les patients en dévoilant leurs effets secondaires…

pourtant avérés (douleurs musculaires, risque de diabète, problèmes rénaux, de mémoire, etc.) !!

Et vous retrouvez les mêmes études mensongères sur les antidépresseurs…

qui AUGMENTENT le risque de suicide !![21] 

Lorsque le laboratoire Eli Lilly a déposé une demande de mise sur le marché

auprès de l’agence allemande du médicament, les évaluateurs refusèrent :

« Durant le traitement avec le Prozac, il y a eu 16 tentatives de suicide, dont deux réussies.

Etant donné que les patients à risque de suicide avaient été écartés des études,

il est probable que cette proportion élevée peut être attribuée à une action du Prozac. »

Le lien est évoqué noir sur blanc. Impossible d’être plus clair !

Alors la direction américaine suggéra de « maquiller toutes les références

à la « suicidalité » du Prozac dans les documents soumis à aux autorités allemandes. »

Et le Prozac finira pourtant par être…autorisé.

On pourrait multiplier les exemples, avec les IPP (inhibiteurs de la pompe à protons)

qui augmentent le risque d’Alzheimer de 44 %[22], les somnifères qui dérèglent le sommeil,

les médicaments contre l’ostéoporose (bisphosphonates) qui fragilisent les os

et augmentent le risque de fracture, donnent des douleurs articulaires,

sans aucun bienfait pour le patient[23].

La science au fond du trou… 

Un homme particulièrement bien informé a résumé la situation, il s’agit du Dr Richard Horton,

rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux de santé au monde santé, le « Lancet » :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. »

« Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides,

et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode,

la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres[24]. »

Le « Lancet », cela vous dit quelque chose, non ?

Nous allons retrouver ce « prestigieux » journal dans un instant,

car il est la preuve la plus ultime que tout notre édifice de santé n’est

qu’un système organisé de mensonge et d’escroquerie.

Et que tout aurait peut-être continué encore des années s’il n’y avait pas eu

un tremblement de terre sidéral sur le monde de la santé :

Ce qu’il faut appeler le « paramètre C. » … comme Coronavirus…

Le « paramètre C. »

…La tentative de manipulation LA PLUS SIDÉRANTE qui n’a jamais été mise en œuvre à l’échelle humaine.

Il aura fallu ce tout petit virus pour exposer en pleine lumière

le niveau de décomposition avancée de notre système de santé…

Je vous passe les mensonges à répétition des autorités sur les masques,

les tests, pour couvrir leur gestion désastreuse et bureaucratique de la santé…

Mais l’histoire du Lancet est probablement la plus scandaleuse :

Ce « journal de référence » qu’ont utilisé les labos pour protéger leurs profits.

Le 22 mai, il publie une étude mettant gravement en cause un médicament,

l’hydroxychloroquine, accusé de provoquer 30 % de morts

 en plus chez les personnes touchées par le coronavirus !…

Sans attendre une demi-seconde, le ministre de la Santé Olivier Véran bondit

sur l’occasion pour demander à la Haute Autorité de Santé une révision

des prescriptions de la chloroquine.

Le 26 mai, l’Agence nationale de la sécurité du médicament émet un avis défavorable

à l’usage de ce médicament (utilisé depuis…70 ans !!!)

Seulement les jours suivants, on découvre que cette étude « sérieuse »

publiée dans le « prestigieux » Lancet n’était ni plus ni moins…qu’une escroquerie !!!

Car les hôpitaux évoqués dans l’étude (près de 700 en tout) n’ont JAMAIS c

ommuniqué les données concernant leurs patients, alors qu’on les retrouvait pourtant dans l’étude.

Très vite est apparue l’hypothèse que les chiffres avaient tout simplement été …inventés !!

Le professeur Philippe Froguel, professeur au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres

n’y est pas allé par quatre chemins :

« Cette étude est une merde en grande partie fabriquée par une firme inconnue qui voulait se faire de la pub,

et que la presse française a repris sans réfléchir. »[25]

Et dans la foulée, trois des quatre auteurs de l’étude du Lancet se sont rétractés…

Mais alors pourquoi les autorités se sont-elles acharnées contre la chloroquine ?

Pourquoi un médecin du CHU de Nantes est-il allé jusqu’à menacer de mort

le professeur Didier Raoult, qui a vanté les résultats de l’hydroxychloroquine contre le covid-19 ?

La réponse, là encore, fait froid dans le dos.

C’est tout simplement parce que la chloroquine est un médicament ancien,

et que sa perspective de rentabilité financière est beaucoup plus faible que

les nouveaux anti-viraux hors-de-prix promus par les laboratoires,

comme le Remdésévir des laboratoires Gilead par exemple. 

Et il y a autre chose….

« Pour votre sécurité, vous n’aurez plus le droit de rien dire »

En toute urgence, la France et trois autres pays se sont engagés à acheter 400 millions de doses

du vaccin préparé par Astrazeneca, un grand laboratoire pharmaceutique[26].

Cela représente environ 1 milliard d’euros.

Une somme colossale, pour un vaccin :

qui n’a pas encore été testé sur des êtres humains ;

dont on ne sait rien de l’efficacité

dont on ne connaît pas les risques et effets indésirables

Et qui porte sur un virus qui pourrait muter, le rendant totalement inefficace !!!

Seulement voilà…

Il reste un problème : « faire avaler » à la population qu’un vaccin développé

en 9 mois à peine – contre plusieurs années AU MINIMUM

pour un niveau raisonnable de sécurité – est la « SEULE solution efficace »[27].

Les autorités savent que c’est impossible.

Personne ne peut gober une telle escroquerie scientifique.

Alors il ne faut pas s’étonner que les privations de liberté deviennent « normales ».

Si les peuples n’acceptent pas de se vacciner en masse, on finit par rendre les vaccins obligatoires…

et on commence à surveiller et sanctionner ceux qui s’y refusent.

Et c’est la même chose sur TOUS les sujets qui dérangent.

Ce médecin soigne le COVID mais surtout,…n’en parlez PAS !

Regardez ce qu’a déclaré la responsable de la plateforme internet Youtube :

« Toute vidéo qui sera médicalement non fondée sera retirée, comme les personnes

disant ‘prenez de la vitamine C contre le coronavirus ». »

Tout ce qui va à l’encontre des recommandations de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé

serait une violation de notre politique et donc retiré. »)

Les chercheurs ont pourtant montré la formidable efficacité de traitements utilisant

la vitamine C à haute dose contre :

·      la septicémie (infection du sang)[28][29][30]

·      Les infections pulmonaires[31]

·      L’Herpès[32]

·      Et différents types de bactéries[33]

Un pneumologue américain, le Pr Marik, a utilisé la vitamine C à haute dose

dans une protocole contre le COVID avec des résultats spectaculaires,

réduisant la mortalité de 40 % à moins de 10 %.

Son protocole a été exporté à Singapour, en Corée du Sud…

Mais NON…

INTERDIT d’en dire du bien !!!

INTERDIT aussi d’évoquer le renforcement immunitaire

comme base fondamentale pour se protéger du virus.

De souligner le rôle clé du microbiote, du zinc

(dont le déficit entraîne une production accrue de molécules responsables d’inflammation,

les cytokines IL-6) de l’échinacée, de l’astragale pour renforcer notre « terrain ».

INTERDIT encore de parler de la quercétine, de l’artemisia, de la propolis,

ou des huiles essentielles de ravinstara ou de niaouli, dont on sait qu’elles ont une formidable action anti-virale

Tout cela… parce que l’OMS ne les « recommande pas… » ???

Mais elle n’est pas l’alpha et l’oméga de la Vérité scientifique !!

L’OMS vous disait en janvier 2020 que le coronavirus ne se transmet pas

« d’homme à homme » … et en février que « les masques ne servent à rien ? »

Alors quoi ? Que se passe-t-il ?

…il est peut-être utile de savoir, là-encore, que le principal financier privé

de cette Organisation Mondiale de la Santé

…n’est autre que le milliardaire américain…Bill Gates.

L’homme qui veut vacciner 7 milliards d’êtres humains.  

Et pire… l’homme dont la fondation « philanthropique » a même

financé des études visant à vous injecter votre carnet de vaccination sous la peau.

« Des ingénieurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont inventé

des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente

invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour

servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.

L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin ».

« Le système, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs,

financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, espèrent les tester

sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années »[34].

Traquer ceux qui ne pensent pas « bien »

Vous avez bien lu…

L’homme le plus riche du monde veut « pucer » des milliards d’êtres humains.

Et c’est ce même homme qui dicte aux autorités de santé du monde entier ce qu’elles doivent faire.

La boucle est bouclée.

Seulement avec la crise du Coronavirus, la vérité est apparue en pleine lumière,

elle a explosé sous nos yeux…

Alors les responsables ne se cachent même plus.

Ils recensent, ils traquent, ils interdisent toute opinion alternative.

Regardez comment ce qui hier, nous paraissait impensable est déjà devenu la réalité :

·      Ils ont imposé la vaccination forcée des bébés, avec 11 vaccins obligatoires

sans savoir ce qu’un tel cocktail chimique peut provoquer à long terme !

·      Ils ont déremboursé l’homéopathie

·      Ils ont envoyé la justice persécuter les herboristes [35],

·      Ils attaquent les huiles essentielles

·      Ils recensent les parents qui ne PENSENT PAS COMME IL FAUT au sujet du COVID…

Alors faut-il désespérer ? Se résoudre ?

Non. Au contraire.

Notre corps réclame la vérité

« Notre corps aime la Vérité » disait le Dr. David Servan-Schreiber.

Il la réclame…Elle est le socle indispensable de notre santé, de notre bien-être, du sens de notre vie.

C’est pourquoi nous ne pouvons pas rester les bras croisés, à supporter les interdits,

les censures, les mensonges qui mettent en danger les malades…et les bien portants !

Nous devons choisir un autre modèle.

Fondé sur la Nature, la liberté, le partage, la fraternité.

Un modèle plus subtil que le « tout ou rien », : le tout microbien, le tout chimique,

le tout allopathique, etc.

Un modèle qui offre un autre regard sur le malade, le soin, la guérison.

Et si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous dire que RIEN N’EST PERDU !!!

Nous sommes au seuil d’une révolution de santé qui peut absolument tout changer !

Dans notre façon de nous soigner…et dans notre espoir de GUERIR.

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