Quand j’ai ouvert les yeux ce matin du 27/4/23, j’ai eu la conviction d’avoir rêvé de faits importants, toutefois impossible de me souvenir !

Me voilà dans la situation de Daniel, me suis-je dit avec humour, mais je ne suis pas prophète, oh non ! Et je n’ai pas la sagesse de cet homme de Dieu hors du commun. Néanmoins, j’ai eu des songes parfois au cours de mon existence, que j’ai gardés précieusement dans un petit carnet et que j’ai partagés au fil du temps, quand cela me semblait nécessaire.

C’est pourquoi je reste toujours attentive à ces « rêves » : ils ne sont jamais vains et encore moins anodins, en tout cas je me plais à le penser.

Alors, c’est lors d’un échange avec une sœur du « ch’nord » dans la mâtinée que le déclic s’est fait : je me souvenais enfin de ce songe étrange et quel songe !

Faut dire qu’avoir une conversation avec Klaus Schwab n’est pas vraiment ce que je désire durant ma nuit, loin de là ! Pour ceux qui ne connaissent pas cet homme singulier, il s’avère être un « pion » incontournable dans la fin des temps, un « esclave » de hauts rangs aux ordres de notre adversaire commun : satan.

Né en 1938, Klaus Schwab est le fils de l’Allemand Gottfried Schwab qui lors de la nomination d’Adolf Hitler était chargé de défendre les intérêts de l’industrie suisse en Allemagne. Cela nous donne déjà un aperçu de cet enfant né pendant la guerre, élevé selon l’idéologie nazie et promu à un avenir bien particulier qui lui était réservé assurément.

Après des années d’études brillantes et un parcours professionnel tout aussi auréolé de succès ou tantôt professeur dans une prestigieuse Université de Genève tantôt membre du comité directeur du groupe Bilderberg (tout comme le Jupiter de notre nation !), le voilà à présent, et ce, depuis 1971 président du fameux « Forum économique Mondial ».

Outre que Klaus Schwab a travaillé pour deux Universités renommées, celles de Fribourg et de Genève, laissant des empreintes de « pensées » pointant déjà vers une vision du monde alarmant, nous voilà près de 50 ans plus tard dans l’aboutissement de cet avenir imaginé et planifié par cet homme énigmatique pour une grande majorité de l’humanité. 

Très à l’aise dans les interviews qu’il organise lui-même, maniant la langue de Molière avec éloquence tout comme celle de « Shakespeare », rien ne semble le troubler, ni le désarmer dans ses projets qu’il mène depuis près d’un demi-siècle avec ténacité et obstination. 

Il faut préciser que cet homme un peu « mystérieux » refuse toute invitation, sort très peu et ne va jamais dans des soirées organisées par ses invités de marque, pourtant triés sur le volet, sauf pour celles très très privées qu’il serait épouvantable de dénoncer ici : d’autres l’ont fait déjà.

C’est pourquoi mon étonnement de me retrouver face à lui dans mon songe, dans un bref échange étonnant. Assis bien droit face à moi, une table de travail nous séparant (ouf !), entouré d’objets qui m’ont semblé être de « haute technologie », ses paroles ont été celles-ci :

« Tout a été planifié, tout est prêt » !

Pas une once d’émotion dans sa voix, ni sur son visage comme figé dans le temps et l’espace. Juste un avertissement sourd et profond dont je devais prendre note. Point.

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Puis soudainement, autre décor, me voilà à l’entrée d’une ville barricadée avec interdiction d’y entrer. Une sorte de frontière avec des gardes qui contrôlaient des autorisations (mains?). Et là, j’ai eu l’impression d’avoir été projetée dans le passé, celui naguère d’une France occupée. Avec toutefois la technologie et le modernisme de notre époque, signes d’un temps, prémices d’une fin annoncée.

L’avertissement me semble clair et pour nous, je me plais à le penser profondément ; la grande réinitialisation (le grand reset) a déjà commencé, ce projet prophétisé par les prophètes et par Jésus-Christ lui-même, qui met en scène ce « village mondial » tant désiré par l’adversaire. Avec toutes les séductions et les mensonges que l’on entrevoit déjà.

Je tiens, de plus, à préciser une information importante : la nomination d’un homme à la tête actuellement du Forum économique mondial, choisi depuis 2017 par Mr Schwab bien entendu, du nom de Borge Brende. Cet homme politique norvégien, tout aussi distrait que son mentor, n’a pas été seulement Ministre de l’Environnement, puis ministre du Commerce et de l’Industrie et même président de la Commission du Développement durable des Nations unies, non pas seulement. Il est aussi membre actif et honoré également d’une Église connue sous le nom d’Église évangélique et luthérienne de Norvège, Église d’État de la Norvège jusqu’au 21 Mai 2012. Elle est de confession Luthérienne et elle est dorénavant indépendante, bien que financée en partie par l’État. Je vous laisse imaginer qui peut influencer et diriger véritablement cette manne de fidèles !

Mais comme toujours et davantage ces temps derniers, nous avons une ultime et unique envie, un authentique désir : l’espérance et l’attente d’être réuni avec LUI, le seul, l’unique, le merveilleux Jésus-Christ, notre Véritable Roi.

C’est tout notre privilège et c’est la part la plus belle.

Petit récit anecdotique

C’était en 2004, à l’aube d’un joli printemps frémissant, un peu réservé, comme moi.

Ce matin-là, je me suis réveillée avec une joie inattendue qui débordait de mon cœur de jeune fille. Ma pensée fut que ce jour-là quelque chose d’extraordinaire allait bouleverser ma vie.

Les heures s’écoulaient au fil de mes occupations et rien ne se passait ; pourtant, mon allégresse, bien que sereine, ne cessait pas, elle avait pris place en moi avec ténacité et rien ne semblait altérer cette attente d’un mystérieux rendez-vous.

L’après-midi a passé, puis vint la soirée avec ses lumières de la ville. Et toujours dans cette patience paisible, j’espérais encore, sans avoir douté un seul instant.

Ce fut à ce moment-là que mon père Max (petit clin d’œil à Marylou et explication de mon pseudo) me proposa de venir avec lui à une sorte de soirée dansante où je pourrais lui « écraser » les pieds et où je serais « raide » comme un morceau de bois dans ses bras de danseur avéré qu’il été et comme il avait aimé me le dire, avec sérieux (soupir, c’est vrai) !

Et c’est là, oui là, en dansant avec mon père, que je l’ai vu. Il était beau, il était gai, « ivre de vin et d’amour » comme dit un peu la chanson de Nicole Croisille. Alors j’ai su, oui, j’ai su à cet instant qu’il deviendrait l’homme de ma vie. Quelque mois plus tard, Je suis devenue sa femme à l’aube d’un hiver froid et ensoleillé.

Aujourd’hui, il n’est plus, néanmoins j’ai souvent pensé durant des années, et davantage ces temps-ci, que l’Epoux, notre Epoux Jésus-Christ nous enveloppera de cette même euphorie hors du commun juste avant son retour. 

Soyez bénis.

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