Voici le songe reçu tôt dans le matin (le 25/10/25) et qui m’a bouleversée. J’ai à cœur de le partager car je ressens au fond de moi que « les temps » vont très vite changer et ne seront pas en notre faveur !!!
Dans mon songe, J’étais dans un train avec ma fille, toutes deux assises sur la banquette de couleur caramel, jusque là tout était normal. Je vais aux toilettes. Détail : celles -ci se trouvaient installées au milieu de la rame dans sa longueur et aussi dans sa largeur. Nous étions juste en face. Je vais aux toilettes, J’avais du mal à refermer une des deux portes (double entrée comme dans les piscines municipales) car un homme cherchait à glisser la main et je ne pouvais pas fermer. Je suis donc ressortie par le côté qui était face à nous et là je ne voyais plus ma fille sur la banquette. Je la cherchais dans la 1/2 rame et questionnais les gens à son sujet. Personne ne pouvait me renseigner : elle avait disparu !
J’étais saisie d’un sentiment de crainte et d’insécurité. Je me suis assise face à un couple qui partait en vacances dans leur résidence secondaire, ils étaient insouciants, bien vêtus et semblaient appartenir à la classe aisée. Nous bavardions puis ils se sont dirigés vers l’étage inférieur du train car ils devaient sortir à la prochaine station. Je les ai accompagnés au pied de la cage d’escalier, un escalier métallique double. De retour vers ma place, je me suis approchée de la fenêtre mais on ne voyait rien, il y avait comme un écran à la vue !
Je grattais discrètement dans un angle car ça me semblait bizarre. Là j’ai pu décoller comme un film épais en plastique rigide et dessous se trouvaient des rideaux bleu clair et la vrai fenêtre. J’ai pu voir ce qui se passait dehors et là , le train était stoppé et en face on écrasait une rame complète de couleur bleu roi avec de gros engins. La rame pliait et s’aplatissait sous la violence du choc ! J’étais consternée et saisie de terreur car je réalisais que quelque chose d’étrange se déroulait à l’extérieur et que nous étions, dans ce wagon, trompés sur la réalité. Les fausses fenêtres en étaient un signe. J’ai vite remis la fenêtre en ordre et suis restée plus attentive. Puis j’ai remarqué un panneau place au dessus d’un couloir qui indiquait « direction administrative ». On voyait par la porte vitrée une salle vide ! Puis une autre panneau en face indiquait « cuisine », sous entendu « restauration », et là, le cuisinier est sorti en tenue avec son gros couteau !
Autour de moi, personne ne remarquait les détails, j’étais la seule et ça me questionnait au regard de ce que j’avais déjà vu. Je prenais conscience que ce voyage était un leurre, qu’on nous faisait croire que tout allait bien, qu’on s’occupait de nous avec la présence d’ organes de Direction et aussi de notre bien-être avec la restauration, mais ce n’était que de la figuration. Puis la porte extérieure s’ouvrit brusquement et là un homme genre militaire nous a demandé de descendre pour un changement de train. Il parlait assez sèchement et il ne fallait pas traîner. Les gens descendaient sans tiquer. Quant à moi, je me suis plaquée sur le côté afin de ne pas descendre, il restait encore quelques personnes dans le wagon.
Puis d’où j’étais, l’homme est venu condamner la porte avec de grosses pierres et il les a scellées avec du ciment prompt en disant ça va prendre tout de suite. Là encore aucune réaction des passagers restants. Quant à moi, je venais de comprendre que nous étions enfermés dans ce wagon mais il me restait en tête la fenêtre fictive qui malgré tout pouvait s’ouvrir. J’ai donc décollé discrètement et à nouveau le film dans le coin et j’ai montré l’extérieur à une dame, celle ci s’est exprimée étonnée en disant : « nous sommes en face de ma gare de départ ». Un malaise m’envahit. Nous étions pris au piège. Il fallait sortir…
Tout est un leurre !!! notre liberté se réduit à tel point que nous sommes maintenant prisonniers.
Puis le décor change, je marche avec quelques personnes dans un terrain très boueux, près d’un bois et il y a de gros cratères au sol, il faut faire attention de ne pas tomber ou glisser. Le temps est gris, il pleut et c’est très laborieux. Puis nous arrivons vers un bâtiment de ferme et là nous nous sentons soulagés. Un chien vient à notre rencontre tout joyeux et nous conduit à la ferme. Il ressemble au chien de « Fidèle Lassie » un colley à poil long.
Fin du songe
MAV: c’est bien ce qui se passe actuellement:
Et la délivrance s’est retirée, Et le salut se tient éloigné; Car la vérité trébuche sur la place publique, Et la droiture ne peut approcher.
La cause es clairement dite:
Es 59: 12Car nos transgressions sont nombreuses devant toi, Et nos péchés témoignent contre nous; Nos transgressions sont avec nous, Et nous connaissons nos crimes. 13Nous avons été coupables et infidèles envers l’Eternel, Nous avons abandonné notre Dieu; Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge;
On peut remonter plus haut, car c’est exactement notre problème:
Es 59 :
1Non, la main de l’Eternel n’est pas trop courte pour sauver, Ni son oreille trop dure pour entendre. 2Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l’empêchent de vous écouter.3Car vos mains sont souillées de sang, Et vos doigts de crimes; Vos lèvres profèrent le mensonge, Votre langue fait entendre l’iniquité. 4Nul ne se plaint avec justice, Nul ne plaide avec droiture; Ils s’appuient sur des choses vaines et disent des faussetés, Ils conçoivent le mal et enfantent le crime. 5Ils couvent des oeufs de basilic, Et ils tissent des toiles d’araignée. Celui qui mange de leurs oeufs meurt; Et, si l’on en brise un, il sort une vipère. 6Leurs toiles ne servent point à faire un vêtement, Et ils ne peuvent se couvrir de leur ouvrage; Leurs oeuvres sont des oeuvres d’iniquité, Et les actes de violence sont dans leurs mains. 7Leurs pieds courent au mal, Et ils ont hâte de répandre le sang innocent; Leurs pensées sont des pensées d’iniquité, Le ravage et la ruine sont sur leur route. 8Ils ne connaissent pas le chemin de la paix, Et il n’y a point de justice dans leurs voies; Ils prennent des sentiers détournés : Quiconque y marche ne connaît point la paix.-9C’est pourquoi l’arrêt de délivrance est loin de nous, Et le salut ne nous atteint pas; Nous attendons la lumière, et voici les ténèbres, La clarté, et nous marchons dans l’obscurité. 10Nous tâtonnons comme des aveugles le long d’un mur, Nous tâtonnons comme ceux qui n’ont point d’yeux; Nous chancelons à midi comme de nuit, Au milieu de l’abondance nous ressemblons à des morts. 11Nous grondons tous comme des ours, Nous gémissons comme des colombes; Nous attendons la délivrance, Et elle n’est pas là, Le salut, et il est loin de nous.
…
Oui, la colère de Dieu est sur le pays, mais aussi sur de nombreuses nations ! IVG, mariage gay, euthanasie en cours… J’en passe: nous avons fait un pacte avec la mort. Le pays se dépeuple de ses enfants qui symbolisent la vie sont empêchés de naître et parfois livrés en morceaux à Bigpharma. Et maintenant le programme pour éliminer les retraités est en marche.
Mais dans ton rêve, pour ceux qui craignent Dieu et sont disciples de Jésus, il y a une espérance. Dieu a préparé des refuges. Le chien représente aussi la joie de vivre et la sécurité… (un gardien).
Merci pour ce rêve qui doit alerter les chrétiens: attention, tout est mensonge autour de vous, tout est leurre, fausse sécurité, et vos enfants peuvent être entraînés dans ce mensonge (Corinne ne voit plus sa fille). Il faut être très vigilant et suivre le Seigneur pas à pas….
Lors de la première manifestation en puissance de l’Esprit dans ma vie, en 1992, j’eus à un moment un écran d’un violet vif en fermant les yeux. Et ce fut le point de départ d’une réflexion sur la signification spirituelle de couleurs dans la Bible.
Voir, par exemple, Exode 26 et suivants avec toutes les prescriptions précises de Dieu y compris sur les couleurs. Bleu est la couleur du Père, le Dieu qui est dans les Cieux, d’où le trône de saphir (Ezéchiel 1:27).
Donc, quand j’ai lu la phrase qu’on s’employait à démolir un train bleu, j’ai pensé que, oui, ils s’acharnent à détruire tout ce qui est marque de Dieu dans notre culture, dans le nom des vacances des enfants, dans l’enlèvement de signes chrétiens dans l’espace public.
Ils font cela avec une audace comme jamais auparavant. Les déments croient éradiquer Dieu! Mais la fenêtre sur la réalité a des rideaux bleus, justement: tekhelel.
Bonjour
« Personne ne pouvait me renseigner : elle avait disparu ! ».
Autre lecture ; elle a compris avant vous, elle a quitté le train, elle fait partie des jeunes qui vont réveiller le pays…
peut-être est-elle un aigle ?
Soyez dans l’espoir,