Source : Scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste

18 Octobre 2020, 05:48am

Scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste

Dr Mercola – Le 17 octobre 2020

Histoire en un coup d’œil

– La commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss), lancée le 10 juillet 2020, a été fondée par quatre avocats pour enquêter et poursuivre les responsables de la mise en œuvre de confinements dévastateurs au plan économique dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour faire croire à une pandémie dangereuse.

– La commission d’enquête extraparlementaire sur le corona travaillera avec un réseau international d’avocats pour plaider l’affaire délictuelle la plus massive jamais vue – une affaire décrite comme «probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis».

– Ils soutiennent que les mesures pandémiques étaient destinées à semer la panique afin que les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, de tests d’antigènes et d’anticorps et de vaccins, et de la récolte de nos empreintes génétiques.

– Les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné, insiste le comité d’enquête. Le virus était déjà en retrait et les taux d’infection commençaient à baisser lorsque des confinements furent imposés; des preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes sont déjà immunisées contre le virus en raison de l’immunité des cellules T à réactivité croisée, et le test PCR ne peut pas être utilisé pour identifier une infection active par le SRAS-CoV-2 ou tout autre virus.

– Alors que les statistiques de mortalité pendant la pandémie étaient dans les normes d’une année donnée, ce qui signifie que la pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

L’annonce vidéo1,2,3,4 ci-dessus du Dr Reiner Fuellmich5 est longue, mais je recommande fortement de l’écouter dans son intégralité. Fuellmich est avocat plaidant pour la protection des consommateurs en Californie et en Allemagne6 depuis 26 ans et il est l’un des quatre membres fondateurs de la commission d’enquête extraparlementaire allemande sur le corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss7), 8,9 lancée le 10 juillet 2020.

Les trois autres membres fondateurs, tous avocats, sont Viviane Fischer, Antonia Fischer et Justus P. Hoffmann, Ph.D.10 Fuellmich dirige le dossier de la responsabilité délictuelle de la crise corona du comité. Toutes les réunions sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube du Comité11 (du moins pour le moment).

Selon Fuellmich, un recours collectif international sera intenté contre les personnes responsables de la mise en œuvre des confinements économiquement dévastateurs dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour créer l’apparence d’une pandémie dangereuse.

Cela inclut tout le monde, des décideurs politiques locaux à l’Organisation Mondiale de la Santé et aux laboratoires pharmaceutiques. Il affirme que plus de 50 autres pays suivront.

«J’ai principalement exercé le droit en tant qu’avocat de première instance contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des banques les plus importantes et les plus respectées au monde, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde;

VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude diesel géante; et Cunard and Niagara, la plus grande compagnie maritime du monde. Nous les poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars », dit Fuellmich.

« Tous les cas de corruption et de fraude cités ci-dessus commis par les entreprises allemandes sont dérisoires comparés au vu de l’ampleur des dommages que la crise corona a causés et continue de causer. Cette crise du corona, d’après tout ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée le scandale du corona; et les responsables doivent être poursuivis au pénal et poursuivis en dommages-intérêts civils. « 

Dénoncer les projets corrompus

Fuellmich souligne qu’au plan politique, des efforts tous azimuts doivent être faits pour garantir << que « personne ne sera plus jamais en mesure de frauder l’humanité ou de tenter de nous manipuler avec des projets corrompus. »

À cette fin, la commission d’enquête extraparlementaire Corona travaillera avec un réseau international d’avocats pour plaider le cas de responsabilité délictuelle le plus massif jamais enregistré – un cas que Fuellmich décrit comme « probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis ».

Comme l’explique Fuellmich, les crimes contre l’humanité, définis pour la première fois lors des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui réglementés à l’article 7 du Code pénal international. Les trois questions auxquelles le comité cherche à répondre par voie judiciaire sont:

1.Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR)?

Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l’individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a le COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l’infection COVID-19?

2. Les mesures de riposte à la pandémie telles que les confinements, les masques obligatoires, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu’à semer la panique?

Ces mesures visent-elles à semer «la panique pour faire croire aux gens, sans se poser de questions, que leur vie est en danger, afin que les industries pharmaceutique et technologique puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, d’antigènes et d’anticorps et vaccins, ainsi que de la récolte de nos empreintes génétiques?  »

3.Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet de pressions massives – plus que tout autre pays – par les principaux protagonistes de cette pandémie de COVID-19?

Selon Fuellmich, l’Allemagne « est connue comme un pays particulièrement discipliné et devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son adhésion stricte et, bien sûr, réussie » aux mesures contre la pandémie.

Des réponses à ces questions sont nécessaires de toute urgence, dit-il, car le SRAS-CoV-2, qui est présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne, « n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde ».

Les mesures de pandémie, en revanche, ont « causé la perte d’innombrables vies humaines et détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde », dit Fuellmich.

Il souligne qu’en Australie, les résidents sont désormais jetés en prison s’ils ne respectent pas les règles relatives aux masques, et aux Philippines, les gens peuvent être abattus s’ils défient les ordres de confinement ou ne portent pas de masque.12,13 première semaine d’avril 2020, le président philippin Rodrigo Duterte a annoncé qu’il «n’hésiterait pas» à tuer quiconque conteste ses restrictions à la pandémie: 14,15

« Je n’hésiterai pas. Mes ordres sont à la police et à l’armée, ainsi qu’aux fonctionnaires de village, s’il y a des problèmes, ou des occasions où il y a de la violence et où vos vies sont en danger, abattez-les.

Est-ce compris? Mort. Plutôt que de provoquer des ennuis, je vous enterrerai. N’intimidez pas le gouvernement. Ne défiez pas le gouvernement. Vous perdrez », a déclaré Duterte.

Cela ne resemble guère à une stratégie visant à préserver la vie. Fuellmich poursuit en présentant «les faits tels qu’ils se présentent», à partir des témoignages d’experts recueillis jusqu’à présent par le comité.

Le Congrès allemand sur la santé mondiale

Selon Fuellmich, en mai 2019, et à nouveau au début de 2020, l’Union chrétienne-démocrate (CDU) d’Allemagne a organisé un congrès sur la santé mondiale. Outre les dirigeants politiques, dont M. Tedros Adhanom, chef de l’OMS, et des responsables de la santé allemands, des discours ont également été prononcés par les principaux lobbyistes de la Fondation Bill et Melinda Gates et du Wellcome Trust.

« Moins d’un an plus tard, les projecteurs ont été braqués sur ces mêmes personnes qui ont proclamer la pandémie mondiale de corona, se sont assurées que des tests PCR de masse soient utilisés pour prouver des infections de masse au COVID-19 partout dans le monde, et qui veulent maintenant que des vaccins soient créés et vendus dans le monde entier », déclare Fuellmich.

« Ces infections, ou plutôt les résultats positifs des tests obtenus par les tests PCR, sont à leur tour devenus la justification des confinements mondiaux, de la distanciation sociale et des masques obligatoires. »

Il souligne également que la définition même de « pandémie» a été modifiée il y a 12 ans. À l’origine, une pandémie était définie comme une maladie qui se propageait dans le monde entier, entraînant des maladies graves généralisées et des décès. Il y a douze ans, la définition a été modi-fiée pour faire référence à une maladie qui se propage dans le monde entier. «De nombreuses ma-ladies graves et de nombreux décès n’étaient plus nécessaires pour annoncer une pandémie», dit-il.

La pandémie de grippe porcine qui ne l’était pas

Cette modification de la définition d’une pandémie est ce qui a permis à l’OMS de déclarer la grippe porcine pandémique en juin 2009 16, ce qui a abouti à la vente de plusieurs millions de dollars de vaccins accélérés contre la grippe porcine. En quelques mois, des cas d’invalidité et de décès dus au vaccin H1N1 ont été signalés dans diverses régions du monde.

Dans la foulée, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a remis en question la gestion de la pandémie par l’OMS. En juin 2010, l’APCE a conclu que « la gestion de la pandémie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les agences sanitaires de l’UE et les gouvernements nationaux a conduit à un` `gaspillage d’importantes sommes d’argent public et à des peurs et des terreurs injustifiées concernant les risques sanitaires auquels le public européen était exposé. » » 17

Plus précisément, l’APCE a conclu qu’il y avait «des preuves accablantes que la gravité de la pandémie était largement surfaite par l’OMS» et que l’industrie pharmaceutique avait influencé la prise de décision de l’organisation.

Une enquête conjointe du British Medical Journal et du Bureau of Investigative Journalism (BIJ) a également révélé de graves conflits d’intérêts entre l’OMS – qui a promu le programme mondial de vaccination – et les sociétés pharmaceutiques qui ont créé ces vaccins.18 Comme l’a noté Fuellmich:

« Ces vaccins se sont avérés totalement inutiles car la grippe porcine n’a été finalement qu’ une grippe bénigne et n’est jamais devenue le fléau horrible que l’industrie pharmaceutique et ses universités affiliées n’arrêtaient pas d’annoncer qu’elle serait, avec des millions de décès certains, si les gens n »étaient pas été vaccinés.

Ces vaccins ont également entraîné de graves problèmes de santé: environ 700 enfants en Europe sont tombés malades de façon incurable par narcolepsie et sont maintenant gravement handicapés pour toujours. Les vaccins achetés avec des millions d’argent des contribuables ont dû être détruits, avec encore plus d’argent des contribuables. « 

Le virologue responsable des ordonnances de confinement en Allemagne

L’un des personnages qui a semé la panique en 2009 avec des prophéties apocalyptiques était le virologue allemand Christian Drosten, directeur de l’Institut de virologie du centre médical de l’Université de Bonn, surtout connu pour avoir développé le premier test de diagnostic du SRAS en 2003. Il a également développé un test de diagnostic de la grippe porcine.19

Drosten a pris la parole lors du congrès 2019 de la CDU sur la santé mondiale et, selon Fuellmich, lorsque le moment est venu de décider d’une réponse pour COVID-19, le gouvernement allemand s’est appuyé sur l’avis de Drosten uniquement.

« Dans une violation scandaleuse du principe universellement accepté d’ auditor at ultra parse, ce qui signifie qu’il faut également entendre l’autre côté, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten, c’est-à-dire la personne même dont l’horrible pronostic panique s’était avéré catastrophiquement faux 12 ans plus tôt », dit Fuellmich.

Pendant ce temps, de nombreux « scientifiques hautement renommés » ont brossé un tableau complètement différent de la pandémie du COVID-19. Parmi eux, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford en Californie; le professeur Michael Levitt, biophysicien à l’Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie; les professeurs allemands Karin Mulling, Sucharit Bhakdi, Klud Wittkowski et Stefan Homburg.

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, figure également sur cette liste. Yeadon a récemment déclaré publiquement qu ‘ »il n’y a aucune science suggérant qu’une deuxième vague devrait se produire » et que les résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour « fabriquer une » deuxième vague  » à partir de « nouveaux cas ». » 20

« Ils ont estimé, et estiment toujours, qu’il n’y avait pas de maladie allant au-delà de la gravité de la grippe saisonnière; que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendument nouveau virus; et qu’il n’y avait donc aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations », dit Fuellmich.

Il cite également (21) un article scientifique publié en septembre 2020 par Yeadon et ses collègues, dans lequel ils déclarent:

«Nous fondons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux vraisemblablement sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus. Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait finie, parce que rien ne s’est vraiment passé. « 

Analyse de la situation

Commentant «la situation actuelle et réelle concernant le danger du virus; l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections; et les verrouillages basés sur des infections inexistantes», déclare Fuellmich:

«Nous savons que les systèmes de santé n’ont jamais risqué d’être submergés par le COVID-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. Le navire-hôpital Comfort qui ancré à New York à l’époque , et aurait pu accueillir un millier de patients,n’a jamais hébergé plus d’une vingtaine de patients.

Nulle part il n’y a eu de surmortalité. Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière; même les images de Bergame et de New York qui ont été utilisées pour démontrer au monde que la panique était de rigueur, se sont avérées délibérément trompeuses.

Ensuite, le soi-disant «article de panique» a été divulgué, rédigé par le ministère allemand de l’Intérieur. Son contenu classifié montre sans l’ombre d’un doute qu’en fait la population a délibérément été amenée à paniquer par les politiciens et les médias traditionnels.

Les déclarations irresponsables qui l’accompagnent du chef du RKI, rappel du CDC, M. Wieler qui a annoncé à plusieurs reprises et avec enthousiasme que les mesures corona devaient être suivies sans condition par la population, sans que celle-ci se pose la moindre question, montrent qu’il a suivi le script textuellement.

Dans ses déclarations publiques, il n’arrêtait pas d’annoncer que la situation était très grave et menaçante bien que les chiffres compilés par son propre institut prouvent exactement le contraire. Entre autres choses, l’article de panique appelle à ce que les enfants se sentent responsables, et je cite, « pour la mort douloureuse et torturée de leurs parents et grands-parents s’ils ne respectent pas les règles du corona ». « 

 

Fuellmich poursuit en citant des données montrant qu’à Bergame, en Italie, 94% des décès n’étaient pas le résultat d’une infection au COVID-19 se propageant en tout sens, mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades des hôpitaux vers les maisons de retraite, où ils propageaient l’infection – rhume, grippe et SRAS-CoV-2 – parmi les personnes âgées et fragiles.

Cela a également été fait par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, (22) en violation directe des directives fédérales (23), ainsi que dans le Minnesota, l’Ohio, (24) en Pennsylvanie, dans le New Jersey, au Michigan et en Californie.(25) Fuellmich souligne également la faute professionnelle courante qui s’est produite dans certains Les hôpitaux de New York, où tous les patients suspectés de COVID-19 ont été placés sous ventilateur mécanique, ce qui s’est avéré être une condamnation à mort.

«Encore une fois, pour clarifier, le COVID-19… est une maladie dangereuse, tout comme la grippe saisonnière est une maladie dangereuse, et bien sûr le COVID-19, tout comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre une évolution clinique sévère et tuer parfois des patients », Dit Fuellmich.

« Cependant, comme l’ont montré les autopsies, qui ont été effectuées en Allemagne, en particulier par le médecin légiste le professeur Klaus Püschel à Hambourg, les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des maladies préexistantes graves et presque toutes les personnes qui étaient décédées, décédées très vieilles, tout comme en Italie, c’est-à-dire qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.

Dans ce contexte, il convient également de mentionner: le RKI allemand, qui est encore l’équivalent du CDC, avait initialement, assez étrangement, recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour déclarer une personne décédée était victime du COVID-19 plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès, par exemple une crise cardiaque ou une blessure par balle.

Sans les autopsies, nous ne saurions jamais que l’écrasante majorité des victimes présumées du COVID-19 étaient décédées de maladies complètement différentes mais pas du COVID-19. « 

Les confinementss étaient et sont inutiles

A partir des témoignages d’experts recueillis jusqu’à présent par Fuellmich et ses collègues, les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné. Les trois raisons à cela sont:

1. Des confinements ont été imposés à un moment où le virus reculait déjà et où les taux d’infection commençaient à baisser.

2. Les preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes bénéficient déjà d’une immunité contre le virus en raison de l’immunité des lymphocytes T à réaction croisée contre l’exposition aux virus du rhume et de la grippe (26,27,28,29,30,31,32,33,34, 35)

3. Le test PCR – qui sert à mesurer les taux d’infection et à justifier les mesures restrictives – « ne donne aucune indication d’une infection par un virus, encore moins une infection par le SRAS-CoV-2 ».

Aux politiciens, qui croient ces gens corrompus, ces faits sont offerts comme une bouée de sauvetage, qui peuvent vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat public scientifique attendu depuis longtemps et à ne pas tomber avec ces charlatans et ces criminels. ~ Dr Reiner Fuellmich.

La fraude du test PCR

Tout d’abord, le test PCR n’a pas été approuvé à des fins de diagnostic. Son inventeur, Kary Mullis, a souligné à plusieurs reprises, mais sans succès, que ce test ne devait pas être utilisé comme outil de diagnostic. Comme l’a noté Fuellmich:

«[Les tests PCR] sont tout simplement incapables de diagnostiquer une maladie … Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, encore moins par le virus contagieux du SRAS-CoV-2. Même le CDC des États-Unis… est d’accord avec cela et je cite directement la page 38 de l’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR du 13 juillet 2020: 36

La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques.

Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV.

Ce test ne peut pas exclure des maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Les écouvillons PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout sur 35 cycles est … considéré comme totalement non fiable et scientifiquement injustifiable.

Cependant, le test Drosten ainsi que les tests recommandés par l’OMS… sont fixés à 45 cycles. Est-ce que cela peut être dû au désir de produire autant de résultats positifs que possible et de fournir ainsi la base de l’hypothèse erronée qu’un grand nombre d’infections ont été détectées? « 

Tout aussi important est le fait que les tests PCR ne peuvent pas faire la distinction entre les virus inactifs et les virus «vivants» ou reproducteurs. En conséquence, ils peuvent ramasser des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres. De plus, le test peut détecter la présence d’autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d’un rhume dans le passé.

« Même Drosten lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014… que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes en très bonne santé et non infectieuses peuvent être testées positives», note Fuellmich.

«À mon avis, il est tout à fait invraisemblable que [Drosten] ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR et a dit au magazine économique en 2014. Bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses allégations selon lesquelles il le pourrait .

Une infection, une soi-disant infection avec fièvre, nécessite que le virus… pénètre dans les cellules, s’y réplique et provoque des symptômes tels que maux de tête ou mal de gorge. Ce n’est qu’alors qu’une personne est réellement infectée, au sens d’une infection avec fièvre; car ce n’est qu’alors qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter les autres.

Jusque-là, le virus est totalement inoffensif pour l’hôte et toutes les autres personnes avec lesquelles l’hôte entre en contact … Un certain nombre de scientifiques hautement respectés dans le monde affirment qu’il n’y a jamais eu de pandémie du corona mais seulement une pandémie de test PCR …

Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie, Camera d’Allemagne, Capel des Pays-Bas et Cahill d’Irlande ainsi qu’un microbiologiste, le Dr Harvey d’Autriche, qui ont tous témoigné devant le comité corona allemand, souligne explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. « 

Dans l’article du 20 septembre 202037 «Mensonges, maudits mensonges et statistiques de santé – Le danger mortel des faux positifs», Yeadon détaille les problèmes liés au fait de répondre à la pandémie par des tests PCR positifs.

En résumé, le test PCR mesure simplement la présence de séquences d’ADN partielles qui sont présentes dans un virus, mais il ne peut pas nous dire si ce virus est actif ou inactif. Si vous ne présentez aucun symptôme, il est probable qu’un test positif signifie simplement qu’il a détecté de l’ADN viral inactif dans votre corps. Cela signifierait également que vous n’êtes pas contagieux.

Dommage collatéral

Alors que les statistiques de mortalité pendant la pandémie ont été dans les normes d’une année donnée38,39, ce qui signifie que la pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables. La santé publique, tant physique que mentale, ainsi que l’économie mondiale, ont toutes subi des coups terribles.

Fuellmich cite encore un autre document divulgué par un fonctionnaire allemand du ministère de l’Intérieur, surnommé «l’article de la fausse alerte» 40,41, qui conclut qu’il n’y a aucune preuve suggérant que le SRAS-CoV-2 pose un risque grave pour la santé de la population, du moins, le danger n’est pas plus grand que celui de nombreux autres virus, tandis que les mesures pandémiques ont des conséquences «multiples» et «graves».

« Ceci, conclut-il, conduira à des demandes de dommages-intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu pour responsable. Cela est maintenant devenu une réalité mais l’auteur du journal a été suspendu », a déclaré Fuellmich.

«De plus en plus de scientifiques, mais aussi d’avocats, reconnaissent qu’en raison de la panique délibérée et des mesures corona permises par cette panique, la démocratie est en grand danger d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes …

Selon les psychologues et psychothérapeutes qui ont témoigné devant le comité corona, les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques à prévoir à moyen et long terme.

Rien qu’en Allemagne, de 500 000 à 800 000 faillites devraient frapper à l’automne les petites et moyennes entreprises qui constituent l’épine dorsale de l’économie. Cela se traduira par des pertes fiscales incalculables et des transferts d’argent de la sécurité sociale incalculablement élevés et à long terme pour, entre autres, des allocations de chômage. « 

Conséquences juridiques

En conclusion, Fuellmich passe en revue les conséquences juridiques actuellement en cours. Cela comprend l’examen de la constitutionnalité des mesures. Il note:

«Très récemment, un juge, Torsten Schleife… a déclaré publiquement que la justice allemande, tout comme le grand public, était tellement paniquée qu’elle n’était plus en mesure de rendre la justice correctement. Il dit que les tribunaux, et je cite :

« Ont trop rapidement agité des mesures coercitives qui, pour des millions de personnes dans toute l’Allemagne, représentent des suspensions massives de leurs droits constitutionnels. » Il souligne que les citoyens allemands, je cite encore une fois:

«Subissent actuellement la réduction la plus grave de leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la République fédérale d’Allemagne en 1949. Afin de contenir la pandémie corona, les gouvernements fédéral et des États sont intervenus», dit-il, «menaçant massivement et en partie l’existence du pays, telle qu’elle est garantie par les droits constitutionnels du peuple ».

Ensuite, il y a les problèmes de fraude, d’infliction intentionnelle de dommages et de crimes contre l’humanité. Selon Fuellmich, il existe des preuves montrant qu’une gamme de mensonges et de fausses déclarations de faits ont été délibérément diffusées, de sorte que, selon les règles du droit pénal, « cela ne peut être considéré que comme une fraude » et « selon les règles de la responsabilité civile, cela se traduit par des dommages intentionnels.  »

« Le professeur allemand de droit civil, Martin Schwab, soutient cette conclusion lors d’entretiens publics dans un avis juridique complet d’environ 180 pages. Il s’est familiarisé avec le sujet comme aucun autre juriste ne l’a fait jusqu’à présent et a notamment fourni un compte rendu détaillé de l’échec complet des médias grand public à rendre compte des faits réels de cette soi-disant pandémie », dit Fuellmich.

«  En vertu des règles du droit de la responsabilité civile délictuelle, tous ceux qui ont été lésés par ces tests PCR, les tests PCR induits par des confinements ont le droit de recevoir une compensation complète pour leurs pertes. En particulier, il existe une obligation d’indemnisation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts, pour la perte de bénéfices subie par les entreprises et les indépendants du fait du confinement, et d’autres mesures.

Dans l’intervalle, cependant, les mesures anti-corona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par MM. Drosten, Wieler et l’OMS doivent être juridiquement qualifiés de crimes contre l’humanité, comme défini à l’article 7 du Code pénal international. « 

Pour répondre à ces griefs, la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona est prête à intenter un recours collectif – un recours juridique disponible aux États-Unis et au Canada – contre les parties responsables.

« Il convient de souligner que personne ne doit se joindre au recours collectif, mais chaque partie lésée peut se joindre au recours collectif », explique Fuellmich. « L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire, à savoir, pour juger la plainte d’un représentant des plaignants qui est touché d’une manière typique de tout le monde dans le groupe. »

Un tel procès ouvrirait également la porte à une découverte préliminaire, qui exige que toutes les preuves pertinentes soient présentées à l’autre partie. La destruction ou la rétention de preuves a des conséquences graves, car «la partie qui retient ou… détruit des preuves perd la cause en vertu de ces règles de preuve».

En Allemagne, un groupe d’avocats spécialisés en responsabilité délictuelle a déjà entamé le processus de diffusion d’informations et de formulaires juridiques, et d’estimation des dommages-intérêts parmi les plaignants allemands. Fuellmich conclut son annonce en expliquant comment le procès se déroulera à partir d’ici:

«Au départ, ce groupe d’avocats avait envisagé de collecter et de gérer également les demandes de dommages-intérêts d’autres plaignants non allemands, mais cela s’est avéré ingérable.

Cependant, à travers un réseau international d’avocats, qui s’agrandit de jour en jour, le groupe d’avocats allemands fournit gratuitement à tous ses collègues, dans tous les autres pays, toutes les informations pertinentes, y compris les avis d’experts et les témoignages d’experts montrant que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections et ils leur fournissent également toutes les informations pertinentes sur la façon dont ils peuvent préparer et regrouper les demandes de dommages-intérêts de leurs clients afin qu’eux aussi puissent faire valoir leurs demandes de dommages-intérêts dans leur pays d’origine, les cours de justice, ou dans le cadre du recours collectif comme expliqué ci-dessus…

Aux politiciens, qui croient ces gens corrompus, ces faits sont offerts comme une bouée de sauvetage, qui peuvent vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à lancer la discussion scientifique publique attendue depuis longtemps et à ne pas tomber avec ces charlatans et ces criminels. « 

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https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/10/17/coronavirus-fraud-biggest-crime-against-humanity.aspx?cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_conte

 

 

Sources et références :