(Note MAV: Je relaie le sujet transmis ce jour par la messagerie d’intercession pour la France : isa.normand@protonmail.com, car il est plein d’informations que TOUS LES CHRÉTIENS DOIVENT CONNAÎTRE !)

« INFOS:

(Figaro) « Le Sénat reste aux mains de la droite. Pas de bouleversement dans la « chambre des collectivités locales », renouvelée à moitié ce dimanche 27 septembre. Reflet partiel des dernières élections municipales, les résultats du vote de 87.000 « grands électeurs » – des élus issus à 95% des mairies – sont marqués par la stabilité. Des équilibres sont toutefois modifiés à la marge, après la redistribution de 172 sièges sur 348. Europe Écologie-Les Verts (EELV) progresse, La République en Marche (LREM) reflue et le Rassemblement national (RN) sauve son unique siège dans l’hémicycle sénatorial, deuxième institution du Parlement avec l’Assemblée nationale. »

Oui, je crois que nos intercessions ont agi ! Mais il ne faut pas se réjouir trop tôt, nous verrons pourquoi.

L’AVORTEMENT JUSQU’À NEUF MOIS, LOI QUI DOIT ÊTRE TRÈS PROCHAINEMENT ENTÉRINÉE PAR LE SÉNAT. (pas de date annoncée, juste « octobre 2020 »)

Je souligne dans les résultats officiels du vote pour le renouvellement du Sénat : « Europe Écologie-Les Verts (EELV) progresse, La République en marche (LREM) reflue ».

De quel côté seront les verts ? Comment vont-ils voter face à la loi bioéthique votée le 1 er août 2020 à deux heures du matin, en catimini ? Une loi permettant l’avortement jusqu’à neuf mois !

PARLONS DE CETTE LOI. Mais d’abord, citons la Parole de Dieu

Es 66 : 9 Ouvrirais-je le sein maternel, Pour ne pas laisser enfanter ? dit l’Eternel; Moi, qui fais naître, Empêcherais-je d’enfanter ? dit ton Dieu.

Écoutons David intercéder :

Ps 64 : 2 Ô Dieu, écoute ma voix, quand je gémis ! Protège ma vie contre l’ennemi que je crains ! 3 Garantis-moi des complots des méchants, De la troupe bruyante des hommes iniques ! 4 Ils aiguisent leur langue comme un glaive, Ils lancent comme des traits leurs paroles amères, 5 Pour tirer en cachette sur l’innocent; Ils tirent sur lui à l’improviste, et n’ont aucune crainte. 6 Ils se fortifient dans leur méchanceté : Ils se concertent pour tendre des pièges, Ils disent : Qui les verra ? 7 Ils méditent des crimes : Nous voici prêts, le plan est conçu ! La pensée intime, le cœur de chacun est un abîme.

Et sa profession de foi, ensuite :

8 Dieu lance contre eux ses traits : Soudain les voilà frappés. 9 Leur langue (= leur vote) a causé leur chute; Tous ceux qui les voient secouent la tête. 10 Tous les hommes sont saisis de crainte, Ils publient ce que Dieu fait, Et prennent garde à son œuvre.

11 Le juste se réjouit en l’Éternel et cherche en lui son refuge, Tous ceux qui ont le cœur droit se glorifient.

Qu’est-ce qui a été voté le 1er août ? L’IMG jusqu’à neuf mois, pour « stress psycho social ». La boîte de Pandore …

Je cite (Atlantico) :

Il s’agit de l’Interruption Médicale de Grossesse (IMG). Celle-ci prévoit que dans deux cas extrêmes une femme peut avorter y compris à la fin du 9ème mois…

Or, à la sauvette, en catimini, les députés de la majorité ont ajouté un codicille très progressiste à cette loi : l’avortement jusqu’au dernier jour de la grossesse sera autorisé également en cas de « détresse psycho-sociale ». On se demande ce que ça peut bien vouloir dire…

La « détresse psychologique » ? Une femme a voulu un enfant de l’homme qu’elle aimait et au dernier moment elle découvre qu’il l’a trompée. Elle en souffre et ne veut plus donc de l’enfant si désiré auparavant. Elle pourra avorter au neuvième mois !

La « détresse sociale » ? Une femme enceinte perd son emploi suite à un plan social. Elle devient chômeuse. Ce qui est assurément douloureux. Elle pourra avorter au neuvième mois !

Une autre question se pose : qui sera habilité à diagnostiquer la « détresse psycho-sociale » ? Un collège de psychiatres experts auprès des tribunaux ? Ou un psychiatre complaisant et progressiste ?

Pour attester de la « détresse sociale » peut-être fera-t-on une enquête à Pôle Emploi. Ou alors on s’adressera à la direction des impôts pour voir la déclaration de revenus de la malheureuse ? Et on ira vérifier enfin si elle est éligible au RSA.

Les députés qui ont voté ce texte infâme – un permis de tuer – ignorent sans doute qu’en France on peut accoucher sous X. La femme abandonne alors son bébé pour le confier aux soins de l’État. Il vivra.

Regardons l’incroyable contradiction OFFICIELLE. Ceci est pris sur le site : AMELI (Site de L’Assurance Maladie En LIgne):

Lorsque la grossesse a plus de 22 à 24 semaines d’aménorrhée, une anesthésie fœticide est recommandée avant le déclenchement de l’accouchement, au vu des connaissances sur la douleur chez le fœtus. Les protocoles sont très variables d’une équipe à l’autre. Le plus souvent, il consiste à injecter dans le cordon ombilical une drogue anesthésiante ou analgésiante puis une drogue fœticide (entraînant la mort du fœtus).

Pendant et après l’intervention, des précautions sont prises pour éviter les effets secondaires et les risques, tant pour la santé de la mère que pour une future grossesse. (fin de citation)

Retenons le terme « foeticide ». « Le suffixe « -cide » est un tueur parce qu’il signifie “qui tue” et il tue le radical qui le précède. Son origine est latine et vient du verbe “caedere” … ».

En bref, AMELI considère bien qu’un ÊTRE VIVANT est tué volontairement.

Lisons encore AMELI

Pour les grossesses de plus de 22 semaines (soit plus de 24 semaines d’aménorrhée) ou pour les fœtus pesant plus de 500 g, une déclaration à l’état civil est obligatoire lorsque l’enfant est né vivant. L’inhumation ou la crémation sont également obligatoires. 

Pour les fœtus de plus de 22 semaines de grossesse (soit plus de 24 semaines d’aménorrhée ) ou pour les fœtus pesant plus de 500 g, nés sans vie, l’inscription à l’état civil est obligatoire. L’enfant est alors déclaré né sans vie. L’inhumation et les funérailles par la famille sont possibles. Sinon la prise en charge est assurée par l’hôpital.

DONC LA MÈRE LUI DONNE UN PRÉNOM, UN NOM, ELLE RECONNAÎT SON EXISTENCE EN TANT QU’ÊTRE HUMAIN ET NON EN TANT QU’AMAS DE CELLULES ! ET LES INSTANCES PUBLIQUES LE RECONNAISSENT AUSSI !

Le texte officiel ne précise pas comment il est mort dans le ventre de la mère : empoisonné, ou découpé en petits morceaux par un chirurgien après anesthésie du fœtus ? Et s’il naît vivant, après péridurale pour la mère pour qu’elle ne souffre pas des contractions (provoquées), comment tue-t-on l’enfant ? Des infirmières en ont témoigné : on laisse mourir l’enfant, de froid, de lente asphyxie. Il peut agoniser durant un quart d’heure ou vingt minutes, l’infirmière ayant ordre (du médecin) de ne pas s’en occuper.

Qu’en est-il à la 36/37/38,39,40ème semaine, c’est-à-dire quand l’enfant est sur le point de sortir ? Est-ce un foeticide ou un infanticide ?

Un État américain a osé légiférer : tant qu’il reste encore une partie de l’enfant dans la mère (un pied ?), on peut encore le tuer par empoisonnement : ce n’est pas encore, officiellement, un enfant ! Mais il devra tout de même recevoir officiellement un nom, un prénom et être légalement inhumé.

Si je transmets ces faits, vérifiables sur les sites officiels, c’est pour que nous ayons conscience de ce que des députés ont osé voter, et de ce que le Sénat pourrait entériner dans peu de jours.

(Là encore, pas de date nous est donnée.)

Lisons sur le site officiel du Sénat :

Lors de son premier passage au Sénat en début d’année, le texte avait été largement amendé par la Haute chambre. Cet été, en commission parlementaire, les députés ont réintroduit nombre de mesures écartées par les sénateurs.

Voilà ce à quoi nous sommes exposés. Même si le Sénat retoque complètement cette loi, l’Assemblée Nationale peut passer outre.

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne faut pas nous relâcher dans l’intercession, ni par rapport au Sénat, ni par rapport à l’Assemblée Nationale !

Proverbes 16:7 : Quand l’Eternel approuve les voies d’un homme, Il dispose favorablement à son égard même ses ennemis.

Prions pour qu’il y ait une levée de boucliers contre cette loi inique ! (et une levée d’intercesseurs !)

Je parlerai dans les jours qui viennent des conséquences spirituelles épouvantables auxquelles nous exposent ces lois infâmes. On ne se moque pas de Dieu ! »