Il voulait faire leur procès cocovid « Nuremberg 2.0 »


Après avoir passé un an et demi en détention pour un procès qui n’en finissait plus, dont la majorité du temps dans des quartiers de haute sécurité particulièrement difficiles à vivre.

Le verdict est tombé.

La condamnation de Reiner Fuellmich arrive comme un coup de massue sur la liberté d’expression en Europe, après une attente interminable ainsi qu’une longue bataille menée par des médias alternatifs et avocats ayant diffusé les dessous de son affaire au public.

Crucifié par le gouvernement allemand, aucune des preuves montrées, impliquant la manipulation par les services secrets de son entourage direct, ou des gages de sa bonne foi, ainsi que son optimisme à toute épreuve, n’auront pu le mettre à l’abri d’une justice aussi sourde que déterminée à ne rien voir.

Bien qu’il ait déjà passé 1 an et 6 mois en prison, le juge a décidé de retirer 5 mois de temps à déduire de sa future détention sous prétexte d’une « défense ayant fait traîner le procès », lui infligeant une peine supplémentaire de 2 ans et 8 mois à faire.

Dans quelles conditions ? Après avoir été délesté de l’hypothèque de sa maison, du fruit de son travail, ainsi que de tout espoir de faire aboutir l’œuvre qu’il a initiée ?

La plaignante, son ancienne associée dans l’association du mouvement Nuremberg 2.0, continue à entretenir l’entité qu’il a créée avec des moyens semblant sortis de nulle part, transforme allègrement l’action courageuse de Reiner Fuellmich, probablement sans s’en rendre compte, en parodie.

Après délibération, le public présent dans la salle d’audience a crié haut et fort : « Pas en mon nom ».

Djamila le Pair, ayant été la première à partager la nouvelle sur X, rappelle à ses abonnés le slogan de Julian Assange :

Publier ou périr – Publier ou Périr