Rapport OMS, Pfizergate : anatomie d’un crime concerté contre l’humanité – Pierrick Tillet

Peu à peu, les sombres agissements criminels que les autorités politiques et sanitaires corrompues voulaient tenir secrets sont en train de remonter à la surface, révélant une tragédie humanitaire d’une ampleur inédite :

La Shoah, c’était 6 millions de morts, la pandémie de coronavirus, si l’on en croît le récent communiqué publié par l’OMS, c’est 14,9 millions de décès directement ou indirectement liés au covid entre 2020 et 2021.

Un rapport de l’OMS affolant

L’OMS reste particulièrement floue pour décrire les causes de mortalité « indirecte ». Dans cette rubrique, combien de morts “indirectes” pour cause d’interdiction de soins par les autorités politiques et sanitaires ? Combien de victimes d’effets indésirables des vaccins, dont on découvre le nombre affolant et dont la liste est sans doute loin d’être exhaustive et définitive ? En bref, quelle est la part des victimes dites du covid réellement mortes du virus ou des maltraitances infligées par des oligarques meurtriers à leurs populations ?

L’OMS livre une piste aussi éclairante que confondante : « La plupart des décès en excès (84 %) sont concentrés en Asie du sud-est, en Europe et en Amérique. » C’est-à-dire dans les trois régions les plus vaccinées du monde ! Le virus a bon dos.

Répartition des populations pleinement vaccinées (source : Our World In Data)

Les pratiques criminelles du laboratoire Pfizer mises à nu

À mesure que le temps passe, les preuves de la responsabilité humaine dans ce carnage apparaissent au grand jour. Le labo Pfizer, qu voulait garder secrets pendant 75 ans les documents sur l’expérimentation et la production de son produit ARN, vient d’être contraint de les publier sans attendre par la justice américaine. Ils sont accablants.

Il en ressort que Pfizer savait parfaitement que l’efficacité de son produit n’excédait pas 12% (et non 90% comme il le prétendait en utilisant des méthodes de gangsters mises à jour dans un rapport de la biostatisticienne Christine Cotton). Il en ressort que Pfizer connaissait parfaitement, tout en la tenant secrète, la liste de tous les effets secondaires indésirables que pouvait procurer son pseudo-vaccin. Effets désastreux que ce poison a effectivement procurés, et qu’il va continuer à procurer, car on ne se débarrasse pas d’un produit génique une fois qu’il vous a été inoculé.

Des pièces à conviction accablantes

Je suis sûr que la comparaison du début avec la Shoah reste en travers de la gorge de certains lecteurs. Pourtant, l’accumulation de pièces à conviction (cf. ci-dessous) permet de conclure sans conteste que nous sommes bien en présence d’une entreprise criminelle à grande échelle, non seulement pour des raisons bassement lucratives, mais aussi parce qu’elle s’inscrit dans le cadre du sinistre Great Reset théorisé par des fous furieux comme Klaus Schwab, Bill Gates et autres Jacques Attali, appliqué sans scrupule par les dirigeants maffieux d’un monde en perdition, appuyé jusqu’au ridicule par la propagande médiatique mainstream et ses “désintox” désespérés.

« Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres »
Antonio Gramsci

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