Note MAV: D’aucuns pourraient s’étonner que je relaie tant d’articles sur Donald Trump. Mais justement, ce sont nos affaires. L’avenir du monde est dans les mains de Donald Trump, seul Président du monde (à  part quelques dirigeRésultat d'images pour cible Trumpants de pays qui n’ont pas un poids international suffisant) à  résister en face à  l’antisémitisme et à  l’antisionnisme, à  observer lucidement, en ayant les moyens d’agir, le très dangereux président de la Corée du Nord prêt à  déclencher une troisième guerre mondiale, ou encore à  s’opposer aux dirigeants iraniens complaisamment dôtés de l’arme atomique par Obama, Merkel, Hollande et leur clique, alors que les Ayatollahs n’ont cessé de proclamer leur volonté de détruire Israël dès qu’ils en auraient les moyens. (lire CECI)

 

Nous pouvons pleurer que nos dirigeants soient des marionnettes dans les mains des détenteurs de pétrodollars, et que nos médias soient investis par des journalistes politiques pleutres, myopes et serviles. Oh oui, nous pouvons pleurer: car l’invasion d’immigrants hostiles facilitant dans la foulée l’entrée de milliers de terroristes, c’est un jugement qui s’abât sur cette France qui a piétiné toutes ses valeurs judéo-chrétiennes (id. pour l’Allemagne, la Belgique, etc.) ! Nous nous sommes mis nous-mêmes hors-jeu ! Alors, l’avenir du monde se prépare ailleurs. L’enjeu est gigantesque, c’est pourquoi Satan, via les islamo-gauchistes, se déchaîne contre Trump.  Et bien sûr, contre le seul pays qui reste encore une lumière dans un monde où les ténèbres règnent: Israël.

ARTICLE :  

Qui est antisémite aux Etats-Unis aujourd’hui ?

Par Guy Millière   © Metula  News  Agency

 

Parmi les innombrables accusations qui n’ont cessé, depuis plus d’un an, d’être déversées sur Donald Trump, la plus ignoble et la plus abjecte n’a pas été celle parlant de ses « collusions » avec la Russie. Dans quelques mois, il ne restera rien de cette accusation, qui ne survit que grâce au lancinant travail de désinformation des grands media occidentaux et à  l’esprit vicié des multiples acteurs d’une gauche américaine sans scrupules. La plus infâme n’est pas même celle présentant Donald Trump comme ayant des penchants le conduisant à  la complaisance avec le fascisme ou le racisme, quand bien même cette accusation est particulièrement répugnante. Non, la plus ignoble et abjecte à  mes yeux est celle l’accusant d’avoir des penchants antisémites.

 

Oser traiter d’antisémite le premier président des Etats-Unis à  avoir une famille juive implique un degré d’abjection particulièrement élevé. Oser traiter d’antisémite un président dont une large part des principaux conseillers et membres de cabinet sont juifs et dont le principal  speechwriter  [rédacteur de discours] (Stephen Miller) est lui aussi juif, implique d’en rajouter beaucoup dans l’ignominie. Oser traiter d’antisémite le premier président américain en exercice à  s’être rendu au Kotel [le mur des lamentations], le premier président depuis les accords d’Oslo à  ne pas avoir soutenu la « solution à  deux Etats » et à  avoir affirmé un soutien quasiment inconditionnel à  Israël, c’est atteindre le sommet de l’ignominie.

Tout comme les « collusions » imaginaires de Donald Trump avec la Russie apparaissent de plus en plus nettement comme étant un écran de fumée destiné à  dissimuler les véritables collusions avec la Russie  : celle par laquelle Hillary Clinton et Barack Obama ont vendu vingt pour cent de l’uranium américain à  la Russie en échange du versement de cent-quarante-cinq millions de dollars à  la Fondation Clinton, et celle de l’utilisation de faux documents venus des services secrets russes (achetés douze millions de dollars au travers d’une société douteuse appelée Fusion GPS) par la campagne de Hillary Clinton aux fins de nuire à  Donald Trump pendant la campagne électorale de 2016.

L’uranium n’a pas d’odeur

Ce à  quoi on devrait ajouter l’utilisation par l’Administration Obama des mêmes faux documents pour faire ouvrir une enquête sur l’entourage de Donald Trump par le FBI pendant la dernière année de la présidence Obama.

Et tout comme les accusations infondées de complaisance de Donald Trump avec le fascisme ou le racisme sont utilisées pour dissimuler ou disculper le fascisme et le racisme de la gauche américaine, qui soutient depuis des mois des mouvements fascistes tels qu’Antifa, responsable d’un grand nombre d’agressions et d’incendies volontaires, et des mouvements racistes tels que Black Lives Matter [les vies noires importent], les accusations d’antisémitisme portées contre Donald Trump semblent destinées à  occulter le réel antisémitisme qui emplit l’atmosphère aux Etats-Unis, l’antisémitisme islamo-gauchiste.

 

Le parti Démocrate est devenu un parti très « propalestinien », et reprend désormais régulièrement des éléments de propagande accusant les Juifs israéliens de multiples crimes, ce qui conduit concrètement à  des actes d’intimidation vis-à -vis de Juifs « visibles » dans les grandes villes américaines.  

 

L’une des principales organisations de soi-disant lutte contre l’antisémitisme aux Etats-Unis, l’Anti Defamation League [la ligue anti-diffamation], utilise la même propagande que le parti Démocrate, protégeant l’avancée de l’islamisme dans le pays au nom de la lutte contre l' »islamophobie », et osant parler de la recrudescence des actes antisémites aux Etats-Unis depuis l’élection de Donald Trump, en l’attribuant à  Donald Trump.

Nombre de campus universitaires utilisent une propagande identique et organisent des conférences qui mêlent allègrement haine « antisioniste » et haine antisémite.

Que les Juifs américains, en ce contexte, et en leur grande majorité, continuent à  soutenir les ennemis de Donald Trump est affligeant.

La seule bonne nouvelle que l’on peut tirer de tout cela est que la gauche américaine désormais va tellement loin dans le mensonge, dans l’excitation, et dans l’incitation à  la violence, qu’elle ne peut que faire peur à  la frange modérée de ses électeurs potentiels, ce qui devrait être suffisant pour l’écarter du pouvoir dans les années avenir.

Il ne faut néanmoins jurer de rien. Le mensonge peut avoir un impact sur les esprits faibles et les cerveaux malléables. L’achat de voix par les chèques d’assistance sociale peut se révéler efficace.

 

Si la gauche américaine devait revenir au pouvoir, en tout cas, le pire serait à  craindre. Je l’affirme et je signe.

 

 

Metula  News

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