Coup de tonnerre sur la vaccination anti-Covid.

Un professeur canadien respecté, le Dr Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, sort de sa réserve et fait cette grande révélation publique :

« Nous avons fait une erreur avec les vaccins.

La protéine Spike produite par le vaccin est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme »[1].

C’est plus qu’une « erreur », c’est peut-être le début d’une catastrophe sanitaire.

Mais au moins, nous avons désormais la clé du mystère.

ENFIN, nous avons une explication crédible des effets indésirables graves et inattendus de ces vaccins contre la Covid-19.

ENFIN, on sait mieux d’où viennent tous ces caillots sanguins, ces hausses brutales de tension artérielle, ces maladies cardiaques (myocardites…)… et ces milliers de morts dans les jours qui suivent le vaccin.

Dans cette lettre, je vais TOUT vous expliquer.

Il est temps de dire la vérité : les vaccins Pfizer, Moderna ou AstraZeneca sont dangereux !

Des grandes voix s’élèvent dans le monde entier pour demander un coup d’arrêt aux programmes de vaccination avec ces produits expérimentaux : c’est le cas notamment du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine ou de la Dr Tess Lawrie, consultante pour l’Organisation mondiale de la Santé[2].

Ils ont raison, et voici pourquoi :

(Rappel) Pr Caumes « Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin »

Commençons par ce sur quoi tout le monde est d’accord : ces nouveaux vaccins causent un nombre totalement inédit d’effets indésirables immédiats, subis dans les quelques jours qui suivent l’injection.

Ainsi, le Pr Raoult s’est vivement étonné que 70 % des vaccinés se plaignent d’une douleur au point d’injection[3].

Cela n’a rien de grave en soi, mais c’est très inhabituel pour un vaccin – et mauvais signe.

Rappelons aussi ce que le Pr Caumes de la Pitié-Salpêtrière a déclaré, en décembre dernier :

« En lisant les 53 pages du rapport de l’agence du médicament américaine (FDA) sur le vaccin Pfizer, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin !

Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue.

Non mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème… »[4]

Là encore, ces effets indésirables « immédiats » ne sont pas très graves, mais c’était encore un signal que ces vaccins n’étaient pas comme les autres.

Cela n’a pas empêché les États occidentaux d’autoriser massivement ces vaccins.

Et toutes les craintes que l’on pouvait avoir avant[5] ont été confirmées après[6].

Tout récemment, le Pr Christian Perronne s’est ému de ce qu’il voyait autour de lui[7] :

« Je n’ai jamais vu autour de moi autant d’effets secondaires. Je passe mon temps à recevoir des coups de fil d’amis : « j’ai ma maman qui a été vaccinée, elle est hospitalisée, elle ne peut plus marcher ». Une autre a fait une embolie pulmonaire. On m’envoie des photos : « le papa d’une amie dont la jambe avait doublé de volume (phlébite) ».

Je veux bien que ces effets secondaires soient très rares, comme on dit officiellement, mais ce qui est bizarre, c’est que j’en entende autant parler autour de moi. »

Et ce n’est pas qu’une « impression ».

Il y a quelques semaines, le centre de pharmacovigilance du CHU de Tours a envoyé un message public demandant aux médecins d’arrêter de déclarer les effets secondaires des vaccins, tant ils étaient submergés de signalements[8] !

Comme l’a expliqué le Pr Perrone, « au CHU de Tours, ils ont eu plus de déclarations d’effets indésirables en un mois sur le vaccin que sur tous les médicaments l’année précédente » !

« Cela m’inquiète car je n’ai jamais entendu ça de toute ma carrière de médecin », a conclu le Pr Perronne, qui, je le rappelle, a été vice-président du groupe de travail sur la politique vaccinale européenne, pour l’Organisation mondiale de la Santé.

En fait, c’est plus qu’inquiétant : c’est alarmant !

Car il faut aussi parler du nombre de morts rapportés après vaccination.

D’après les bases officielles qui recensent les morts après vaccination, on a environ 100 fois plus de morts rapportés après les vaccins Covid-19 qu’après les vaccins contre la grippe[9] !

Regardez bien le graphique ci-dessous[10].

Il s’agit du nombre de morts spontanément rapportés à la pharmacovigilance américaine depuis 1990.

Depuis la vaccination de masse contre la Covid-19, ce nombre a explosé :

 

Tenez-vous bien : il y a eu plus de morts signalées en lien avec les vaccins Covid-19 en 4 mois… qu’en lien avec tous les autres vaccins réunis en 30 ans !!

Et on a exactement le même phénomène en Europe.

Comment est-ce possible ??

La réponse est que ce ne sont pas des vaccins comme les autres.

Dans les vaccins « normaux », on vous injecte le virus ou la bactérie, qu’on a d’abord tué ou atténué, pour éviter que vous ayez une grave infection.

Mais avec les vaccins Pfizer, Moderna ou AstraZeneca, ce n’est pas du tout cela.

On vous injecte un message génétique qui va conduire votre propre corps à produire lui-même une partie du virus (la protéine spike).

C’est totalement nouveau. On n’avait jamais utilisé ces technologies à grande échelle.

C’était déjà imprudent, et de grands spécialistes de l’ARN s’en étaient inquiétés[11].

Mais ce qu’on vient de découvrir est peut-être pire encore.

Les scientifiques, comme le Dr Bridle cité au début de cette lettre, sont en train de réaliser que la partie du virus produite par le vaccin… est elle-même pathogène !

C’est une véritable révolution dans la compréhension des effets indésirables de ces vaccins.

On pensait au départ que la protéine spike du coronavirus (créée par le vaccin) ne pouvait pas faire de dégât à elle seule, sans le reste du virus.

On pensait que la maladie Covid-19 était liée uniquement au contenu du coronavirus, et pas à la protéine spike qui est à sa surface et lui sert à s’arrimer à nos cellules.

Mais c’est faux : on sait maintenant que la protéine spike cause une partie des symptômes graves de la maladie Covid-19 !

Donc, avec ces vaccins, on donne une partie de la maladie Covid-19 à des patients en bonne santé !!

C’est choquant, mais en voici la preuve :

La démonstration CHOC du Dr Bridle, sources scientifiques à l’appui !

D’abord, il n’est plus contesté par personne que la protéine spike du coronavirus est pathogène.

Une étude a montré que cette protéine seule (sans le reste du coronavirus) pouvait causer des dégâts aux poumons[12].

Mais surtout, il est désormais avéré que la protéine spike du coronavirus endommage la paroi de nos vaisseaux sanguins (la fonction endothéliale) – cela a été montré par une étude récente, publiée dans Circulation Research[13].

Voilà pourquoi les infections graves à Covid-19 ne se contentent pas de faire des dégâts aux poumons, comme les autres infections respiratoires !

Voilà pourquoi la Covid-19 provoque aussi des troubles de la circulation sanguine (notamment hypercoagulation, hémorragies et caillots sanguins[14]) !

La protéine spike serait donc la grande responsable des troubles cardio-vasculaires inhabituels observés chez certains malades de la Covid-19 !

Et pourtant, c’est bien cette protéine spike dangereuse que le vaccin vous fait fabriquer dans votre corps par milliers.

N’est-ce pas un énorme problème ?

Face à ces faits plus que troublants, les défenseurs officiels des vaccins n’ont que la mauvaise foi pour se défendre.

D’abord, ils ont rétorqué que le nombre de protéines spike créées par le vaccin était très inférieur au nombre de protéines spike créées par le virus.

Ce n’est pas vrai, ils n’en savent rien.

Car cela dépend des cas : si votre système immunitaire balaie votre infection à coronavirus au niveau du nez, vous n’aurez quasiment aucune protéine spike dans votre corps.

Dans ce cas, vous avez beaucoup plus de risques de répandre davantage de spike (pathogène) dans votre organisme avec le vaccin plutôt qu’avec l’infection.

Et de toute façon, le problème n’est pas tant le nombre de protéines spike dans le corps – ce qui compte, c’est surtout leur localisation dans votre organisme !

Les défenseurs des vaccins disent que les protéines spike créées par le vaccin restent essentiellement au niveau du muscle où il est injecté – ce qui limiterait considérablement les dégâts.

Mais c’est FAUX.

D’abord, il peut toujours arriver que votre vaccinateur fasse une erreur (c’est rare mais cela arrive) : plutôt que d’injecter le vaccin dans le muscle deltoïde, il arrive qu’il l’injecte directement dans le sang (raison pour laquelle il faut impérativement se faire vacciner par une main experte… ce qui rend troublant le fait que nos autorités viennent d’autoriser les kinés à vacciner la population[15] !).

Surtout, même si le vaccin est bien injecté dans le muscle, on sait maintenant avec certitude qu’une partie du vaccin se retrouve dans tout l’organisme !

Le rapport de l’Agence européenne du Médicament sur le vaccin Pfizer révèle qu’il se répand un peu partout, y compris dans la rate, le cerveau, les testicules et les ovaires[16].

De plus, une étude a trouvé des éléments de la protéine spike dans le plasma sanguin de 11 jeunes professionnels de santé sur 13 ayant reçu le vaccin ARN Moderna.

Chez 3 patients sur 11, ils ont même retrouvé la protéine spike entière 15 jours après la première injection[17] !

Bref, la protéine spike, dangereuse en elle-même, atteint bien les vaisseaux sanguins d’au moins une partie des patients vaccinés.

Et dans ce cas, elle peut causer autant, voire plus de dégâts, que les infections les plus graves du coronavirus.

Dans le sang, la protéine spike s’attache aux récepteurs ACE2 de vos plaquettes et vaisseaux sanguins, et peut causer :

De l’hypercoagulation (caillots sanguins/thromboses qui peuvent causer des embolies pulmonaires et AVC) ;

Des hémorragies (saignements graves) ;

Et des dommages à votre cœur (myocardites et péricardites).
Vous vous souvenez du terrible cas de cet étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé, tué par le vaccin AstraZeneca, via une thrombose abdominale.

Mais les vaccins Pfizer et Moderna ne sont pas beaucoup plus rassurants !

Car Pfizer et Moderna, comme AstraZeneca, conduisent aussi votre organisme à produire la protéine spike, dont on sait maintenant qu’elle est dangereuse[18] !

Le dernier « argument » des ultra-pro-vaccins est RIDICULE !

Face à ces preuves accablantes, les défenseurs des vaccins ont un dernier argument.

Ils vous disent (sans honte) : « ok, la protéine spike est peut-être dangereuse en théorie, mais on n’a pas de preuve concrète que cela cause des dégâts chez les patients ».

Pas de preuve !?

Au contraire, de tous côtés, il y a énormément de preuves que la protéine spike du vaccin cause bien les mêmes dégâts (parfois en pire) que l’infection !

Ainsi, Israël a très vite signalé que le vaccin Pfizer causait des myocardites chez les jeunes.

Or les myocardites sont une inflammation du cœur, certainement causées par la protéine spike du vaccin.

Puis, les « bien-pensants » ont essayé de faire croire que ces myocardites ne sont pas graves.

Le journaliste et médecin Damien Mascret a osé dire, sur France Télévision, que les symptômes sont « bénins » et que les patients atteints de ces myocardites « récupèrent bien »…

Alors que ces myocardites ont déjà causé au moins deux morts officielles en Israël, un homme de 35 ans et une femme de 22 ans[19].

Ce signal alarmant sur les myocardites a été confirmé aux États-Unis : une étude publiée dans le journal Pediatrics a rapporté le cas de 7 adolescents qui ont subi une myocardite après le vaccin Pfizer[20].

Mais il faut bien comprendre que ces myocardites ne sont que la partie émergée de l’iceberg !

Elles sont intéressantes car elles nous apportent la preuve que la protéine spike créée par le vaccin ne reste pas dans le muscle, se transmet dans le sang… et cause de nombreux dégâts.

Mais elles ne sont probablement qu’une toute petite partie des dégâts cardiovasculaires causés par la protéine spike du vaccin : caillots, thromboses, embolies pulmonaires, AVC, infarctus, etc.

Sans oublier les occlusions rétiniennes pouvant rendre aveugle[21], les pertes soudaines de l’audition (surdité)[22], règles douloureuses, abondantes ou déréglées[23], etc. Tous ces dégâts, signalés suite au vaccin, pourraient être liés aux troubles de la circulation causés par la protéine spike.

Et ce n’est pas tout.

On commence à réaliser que la protéine spike du vaccin peut traverser la barrière hémato-encéphalique… et atteindre le cerveau !

Avec de gros problèmes neurologiques à court terme… et des risques de dégénérescence cérébrale à long terme !

Je vous en parlerai en détail dans une prochaine lettre – restez connecté et transmettez cette lettre autour de vous !

Bonne santé,

Xavier Bazin