Savez-vous qu’une loi abominable pour les enfants à naître vient d’être déposée à l’Assemblée nationale ?

Toutes les revendications du lobby de l’avortement y figurent !

Si elle est votée, les médecins seront obligés de pratiquer des avortements, le délai légal pour se faire avorter sera allongé et le Planning familial pourra pratiquer des avortements dans ses propres locaux.

Il s’agit tout simplement de la pire loi sur l’avortement jamais déposée au parlement français !

La menace est très sérieuse car plusieurs députés signataires de ce texte appartiennent à la majorité présidentielle.

Il est peu probable qu’ils aient agi sans le consentement, au moins tacite, du Président de la République.

Sachez que votre réaction est vraiment urgente car cette proposition de loi doit être débattue – et donc votée – dans les semaines à venir.

S’il vous plait, réagissez sans perdre une seconde en signant l’avertissement adressé au premier ministre : « Non à une loi scélérate sur l’avortement ! »

Lisez et signez l’avertissement à M. Jean Castex

Le 15 juillet 2020, une quarantaine de députés ont déposé une proposition de loi qui contient les mesures suivantes :

*** Abolition de la clause de conscience des médecins leur permettant de refuser de pratiquer un avortement.

Les députés refusent que la loi Veil puisse être « contestée pour des raisons personnelles » et redoutent que la France emprunte le chemin de l’Italie où 70% des médecins refusent de tuer. Ils veulent donc contraindre les gynécologues à supprimer les bébés à naître si la demande leur est faite.

*** Allongement du délai pour avorter de 12 à 14 semaines.

Les députés citent le Royaume-Uni où l’avortement est permis jusqu’à 24 semaines, et concluent « qu’aucun argument médical ou scientifique ne justifie de s’opposer à l’allongement des délais ».

Ce n’est donc qu’un début ! Après 14 semaines, ils exigeront 18, puis 22, puis 24 et, enfin, la suppression de tout délai pour tuer le bébé !

*** Etendre l’autorisation de pratiquer des avortements chirurgicaux aux centres de planification familiale.

Autrement dit, permettre au Planning familial de pratiquer des avortements dans ses locaux éparpillés dans toute la France. C’est ouvrir la porte à un business macabre de l’avortement, comme aux USA où les avortoirs privés pullulent !

*** Faciliter l’accès à l’avortement médical pour raisons psychosociales.

Ces raisons sont extrêmement floues et l’avortement médical est déjà permis jusqu’au terme de la grossesse. Il s’agit d’un pas supplémentaire vers l’avortement sans limite de délai.  Si vous et moi les laissons faire, des bébés sur le point de naître seront tués de façon atroce.

*** Autoriser les sages-femmes à pratiquer des avortements.

Pervertir la profession de médecin ne leur suffit pas, ils veulent faire de même avec les sages-femmes !

*** Exiger un rapport du gouvernement afin d’évaluer la mise en œuvre des cours d’éducation à la sexualité à l’école.

Les députés souhaitent que ces cours aient lieu au primaire « dès le plus jeune âge », au collège et au lycée. Chaque année, 770 filles de 12 à 14 ans avortent en France. Hélas, ce n’est pas étonnant quand on sait que les cours en question sont souvent dispensés par les intervenantes du Planning familial !

Visiblement, les députés veulent être certains que les adolescentes sachent où et comment se faire avorter.

S’il vous plait, protestez immédiatement auprès du premier ministre.

JE SIGNE

Autrefois, les revendications extrêmes que contient cette proposition de loi auraient été le fait de députés marginaux.

Mais, cette fois-ci, les députés proviennent de 8 des 10 groupes parlementaires que compte l’Assemblée nationale.

Plusieurs de ces députés, je vous le disais, appartiennent même à la majorité présidentielle à commencer par le député à l’origine de cette initiative : Albane Gaillot.

La diversité d’origine des députés et l’appartenance à la majorité de certains d’entre eux laissent craindre le pire !

Par ailleurs, comme si cela était encore nécessaire, il est clair qu’ils trouveront en la personne du ministre de la Santé, Olivier Véran, un allié de premier plan.

Permettez-moi d’être très franc : si vous et moi restons les bras croisés, ou si nous tardons à réagir, cette proposition de loi a toutes les chances d’être adoptée.

Les médecins seront alors obligés de tuer et le délai légal protégeant les enfants à naître sera très affaibli !

Pour éviter cette catastrophe, je vous demande de signer très rapidement votre avertissement au premier ministre en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://petit.io/petition/droit-de-naitre/l-assemblee-nationale-va-forcer-les-medecins-a-tuer

Ensemble, nous sommes parvenus à repousser des projets similaires, mais, cette fois, l’unité de nos adversaires nous oblige à une mobilisation exceptionnelle.

Seul le nombre empêchera cette loi ignoble d’être votée.

Si nous sommes des dizaines de milliers à protester, le gouvernement voudra éviter une crise sociale au moment où la France traverse une grave crise sanitaire et économique.

Nos adversaires redoutent notre mobilisation !

« L’avortement n’est pas encore considéré comme un acquis », s’inquiètent-ils.

Je compte beaucoup sur votre signature.

Bien amicalement,

Georges Martin
Chargé de communication de Droit de Naître
www.droitdenaitre.org

P.S : Réagissez tout de suite !

Une proposition de loi contenant les revendications les plus extrêmes du lobby de l’avortement vient d’être déposée au parlement.

S’il vous plaît, signez votre avertissement au premier ministre « Non à une loi scélérate sur l’avortement ! »

JE SIGNE