L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

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Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

Le Président Donald Trump, qui lui-même n’ignorait rien, bien sûr, a dit ce qui devait l’être, a vivement incriminé la Chine, et décidé que les Etats-Unis quittaient l’OMS.

Bien qu’ils n’ignoraient rien eux non plus, les grands médias américains, la principale autorité américaine en matière de maladies infectieuses (le docteur Anthony Fauci), les responsables du Center for Disease Control, les politiciens démocrates, ont choisi de mentir.

Le docteur Fauci l’a fait parce qu’il avait financé les travaux du laboratoire P4 de Wuhan. Les autres l’ont fait pour préserver la Chine avec laquelle ils avaient, pour la plupart, des liens financiers, et pour nuire à Trump qu’ils voulaient faire chuter (la Chine aussi voulait faire chuter Trump, et la pandémie a été une opportunité idéale pour cela).

Les uns et les autres essaient de préserver le mensonge, mais des langues se délient, des documents sortent, et il va devenir difficile de cacher la vérité plus longtemps aux Américains.

Cela prend la tournure d’un scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura des conséquences très importantes.

L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

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Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

Le Président Donald Trump, qui lui-même n’ignorait rien, bien sûr, a dit ce qui devait l’être, a vivement incriminé la Chine, et décidé que les Etats-Unis quittaient l’OMS.

Bien qu’ils n’ignoraient rien eux non plus, les grands médias américains, la principale autorité américaine en matière de maladies infectieuses (le docteur Anthony Fauci), les responsables du Center for Disease Control, les politiciens démocrates, ont choisi de mentir.

Le docteur Fauci l’a fait parce qu’il avait financé les travaux du laboratoire P4 de Wuhan. Les autres l’ont fait pour préserver la Chine avec laquelle ils avaient, pour la plupart, des liens financiers, et pour nuire à Trump qu’ils voulaient faire chuter (la Chine aussi voulait faire chuter Trump, et la pandémie a été une opportunité idéale pour cela).

Les uns et les autres essaient de préserver le mensonge, mais des langues se délient, des documents sortent, et il va devenir difficile de cacher la vérité plus longtemps aux Américains.

Cela prend la tournure d’un scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura des conséquences très importantes.

Il est strictement impossible que les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens aient tout ignoré, et le choix du mensonge a été fait en Europe aussi : pour préserver la Chine, là encore (l’Europe entière tremble devant la Chine et nombre d’Européens ont des liens financiers avec la Chine), et pour nuire à Trump, là encore (la haine anti-Trump est la chose la plus partagée en Europe).

A la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis, les langues ne se délient pas en Europe, et les documents ne sortent pas. Le mensonge reste quasiment hégémonique. C’est très grave. Cela semble signifier qu’en Europe la Chine a gagné.

Tout ce que je viens de décrire s’est doublé de décisions tout aussi graves, qui ont provoqué des dégâts économiques considérables et fait des millions de morts, et dégâts économiques et morts étaient largement évitables.

Des documents montrent désormais que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient que le confinement généralisé était délétère, et savaient aussi que le traitement hydroxychloroquine-azithromycine était efficace. Fauci et autorités médicales américaines ont néanmoins insisté pour que le confinement soit utilisé et pour que le traitement à l’hydroxychloroquine soit déclaré dangereux. Les grands médias américains et les politiciens démocrates, selon toute apparence, savaient ce que savaient le docteur Fauci et les autorités médicales américaines.

les langues qui se délient aux Etats-Unis disent qu’il s’agissait de donner tort à Trump, qui ne voulait pas de confinement et voulait utiliser le traitement à l’hydroxychloroquine.

Face au front du refus, Trump a dû se résoudre au confinement et renoncer au traitement. Pour éviter un désastre total aux Etats-Unis, il a lancé l’opération Warp Speed qui a conduit à produire des vaccins en un temps record.

Le confinement et le refus du traitement à l’hydroxychloroquine ont non seulement détruit et tué : ils ont permis les fraudes qui ont installé Biden à la Maison Blanche.

Des voix s’élèvent aux Etats-Unis disant que ceux qui ont prôné le confinement et dénigré le traitement à l’hydroxychloroquine sont des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables. Ces voix ajoutent que détruire et tuer (car c’est, de fait, cela qui s’est passé) pour faire chuter un dirigeant politique est abominable. Ces voix soulignent que ceux qui ont fait cela devront répondre de leurs crimes.

Cela prend la tournure d’un autre scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura là aussi des conséquences très importantes.

Les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens savaient ce que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient : les documents en circulation aux Etats-Unis le montrent.

L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

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Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

Le Président Donald Trump, qui lui-même n’ignorait rien, bien sûr, a dit ce qui devait l’être, a vivement incriminé la Chine, et décidé que les Etats-Unis quittaient l’OMS.

Bien qu’ils n’ignoraient rien eux non plus, les grands médias américains, la principale autorité américaine en matière de maladies infectieuses (le docteur Anthony Fauci), les responsables du Center for Disease Control, les politiciens démocrates, ont choisi de mentir.

Le docteur Fauci l’a fait parce qu’il avait financé les travaux du laboratoire P4 de Wuhan. Les autres l’ont fait pour préserver la Chine avec laquelle ils avaient, pour la plupart, des liens financiers, et pour nuire à Trump qu’ils voulaient faire chuter (la Chine aussi voulait faire chuter Trump, et la pandémie a été une opportunité idéale pour cela).

Les uns et les autres essaient de préserver le mensonge, mais des langues se délient, des documents sortent, et il va devenir difficile de cacher la vérité plus longtemps aux Américains.

Cela prend la tournure d’un scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura des conséquences très importantes.

Il est strictement impossible que les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens aient tout ignoré, et le choix du mensonge a été fait en Europe aussi : pour préserver la Chine, là encore (l’Europe entière tremble devant la Chine et nombre d’Européens ont des liens financiers avec la Chine), et pour nuire à Trump, là encore (la haine anti-Trump est la chose la plus partagée en Europe).

A la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis, les langues ne se délient pas en Europe, et les documents ne sortent pas. Le mensonge reste quasiment hégémonique. C’est très grave. Cela semble signifier qu’en Europe la Chine a gagné.

Tout ce que je viens de décrire s’est doublé de décisions tout aussi graves, qui ont provoqué des dégâts économiques considérables et fait des millions de morts, et dégâts économiques et morts étaient largement évitables.

Des documents montrent désormais que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient que le confinement généralisé était délétère, et savaient aussi que le traitement hydroxychloroquine-azithromycine était efficace. Fauci et autorités médicales américaines ont néanmoins insisté pour que le confinement soit utilisé et pour que le traitement à l’hydroxychloroquine soit déclaré dangereux. Les grands médias américains et les politiciens démocrates, selon toute apparence, savaient ce que savaient le docteur Fauci et les autorités médicales américaines.

Les langues qui se délient aux Etats-Unis disent qu’il s’agissait de donner tort à Trump, qui ne voulait pas de confinement et voulait utiliser le traitement à l’hydroxychloroquine.

Face au front du refus, Trump a dû se résoudre au confinement et renoncer au traitement. Pour éviter un désastre total aux Etats-Unis, il a lancé l’opération Warp Speed qui a conduit à produire des vaccins en un temps record.

Le confinement et le refus du traitement à l’hydroxychloroquine ont non seulement détruit et tué : ils ont permis les fraudes qui ont installé Biden à la Maison Blanche.

Des voix s’élèvent aux Etats-Unis disant que ceux qui ont prôné le confinement et dénigré le traitement à l’hydroxychloroquine sont des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables.  Ces voix ajoutent que détruire et tuer (car c’est, de fait, cela qui s’est passé) pour faire chuter un dirigeant politique est abominable. Ces voix soulignent que ceux qui ont fait cela devront répondre de leurs crimes.

Cela prend la tournure d’un autre scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura là aussi des conséquences très importantes.

Les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens savaient ce que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient : les documents en circulation aux Etats-Unis le montrent.

Il y a, de surcroît, en France l’un des plus grands épidemiologues au monde, le professeur Raoult.

Le professeur Raoult avait dit d’emblée que le confinement généralisé était délétère et que le traitement à l’hydroxychloroquine était efficace. Il a cité le plus grands épidémiologue américain, John Ioannidis, qui a le même avis que lui. Il a été trainé dans la boue, insulté, diffamé. Les dirigeants politiques français n’ont pas écouté ce que le professeur Raoult a dit. Ils se sont fiés à des médecins liés à des laboratoires qui avaient des médicaments chers et inefficaces à vendre.

Les dirigeants du reste de l’Europe se sont conduits comme les dirigeants français.

Tous ces gens en Europe savaient ce que leurs homologues américains savaient (ils diront qu’ils ne savaient pas, bien sûr).

Ce sont eux aussi des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables. 

L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

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Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

Le Président Donald Trump, qui lui-même n’ignorait rien, bien sûr, a dit ce qui devait l’être, a vivement incriminé la Chine, et décidé que les Etats-Unis quittaient l’OMS.

Bien qu’ils n’ignoraient rien eux non plus, les grands médias américains, la principale autorité américaine en matière de maladies infectieuses (le docteur Anthony Fauci), les responsables du Center for Disease Control, les politiciens démocrates, ont choisi de mentir.

Le docteur Fauci l’a fait parce qu’il avait financé les travaux du laboratoire P4 de Wuhan. Les autres l’ont fait pour préserver la Chine avec laquelle ils avaient, pour la plupart, des liens financiers, et pour nuire à Trump qu’ils voulaient faire chuter (la Chine aussi voulait faire chuter Trump, et la pandémie a été une opportunité idéale pour cela).

Les uns et les autres essaient de préserver le mensonge, mais des langues se délient, des documents sortent, et il va devenir difficile de cacher la vérité plus longtemps aux Américains.

Cela prend la tournure d’un scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura des conséquences très importantes.

Il est strictement impossible que les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens aient tout ignoré, et le choix du mensonge a été fait en Europe aussi : pour préserver la Chine, là encore (l’Europe entière tremble devant la Chine et nombre d’Européens ont des liens financiers avec la Chine), et pour nuire à Trump, là encore (la haine anti-Trump est la chose la plus partagée en Europe).

A la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis, les langues ne se délient pas en Europe, et les documents ne sortent pas. Le mensonge reste quasiment hégémonique. C’est très grave. Cela semble signifier qu’en Europe la Chine a gagné.

Tout ce que je viens de décrire s’est doublé de décisions tout aussi graves, qui ont provoqué des dégâts économiques considérables et fait des millions de morts, et dégâts économiques et morts étaient largement évitables.

Des documents montrent désormais que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient que le confinement généralisé était délétère, et savaient aussi que le traitement hydroxychloroquine-azithromycine était efficace. Fauci et autorités médicales américaines ont néanmoins insisté pour que le confinement soit utilisé et pour que le traitement à l’hydroxychloroquine soit déclaré dangereux. Les grands médias américains et les politiciens démocrates, selon toute apparence, savaient ce que savaient le docteur Fauci et les autorités médicales américaines.

Les langues qui se délient aux Etats-Unis disent qu’il s’agissait de donner tort à Trump, qui ne voulait pas de confinement et voulait utiliser le traitement à l’hydroxychloroquine.

Face au front du refus, Trump a dû se résoudre au confinement et renoncer au traitement. Pour éviter un désastre total aux Etats-Unis, il a lancé l’opération Warp Speed qui a conduit à produire des vaccins en un temps record.

Le confinement et le refus du traitement à l’hydroxychloroquine ont non seulement détruit et tué : ils ont permis les fraudes qui ont installé Biden à la Maison Blanche.

Des voix s’élèvent aux Etats-Unis disant que ceux qui ont prôné le confinement et dénigré le traitement à l’hydroxychloroquine sont des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables.  Ces voix ajoutent que détruire et tuer (car c’est, de fait, cela qui s’est passé) pour faire chuter un dirigeant politique est abominable. Ces voix soulignent que ceux qui ont fait cela devront répondre de leurs crimes.

Cela prend la tournure d’un autre scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura là aussi des conséquences très importantes.

Les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens savaient ce que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient : les documents en circulation aux Etats-Unis le montrent.

Il y a, de surcroit, en France l’un des plus grands épidemiologues au monde, le professeur Raoult.

Le professeur Raoult avait dit d’emblée que le confinement généralisé était délétère et que le traitement à l’hydroxychloroquine était efficace. Il a cité le plus grands épidémiologue américain, John Ioannidis, qui a le même avis que lui. Il a été trainé dans la boue, insulté, diffamé. Les dirigeants politiques français n’ont pas écouté ce que le professeur Raoult a dit. Ils se sont fiés à des médecins liés à des laboratoires qui avaient des médicaments chers et inefficaces à vendre.

Les dirigeants du reste de l’Europe se sont conduits comme les dirigeants français.

Tous ces gens en Europe savaient ce que leurs homologues américains savaient (ils diront qu’ils ne savaient pas, bien sûr).

Ce sont eux aussi des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables.

On ne peut imaginer qu’ils ont fait ce qu’ils ont fait pour faire chuter Trump. On peut imaginer d’autres motifs : la corruption venant de laboratoires est l’un d’eux, et il est le premier qui vient à l’esprit. D’autres encore sont imaginables.

On peut craindre en Europe que les coupables n’auront pas à répondre de leurs crimes. C’est extrêmement grave.  

Aux Etats-Unis, l’administration Biden est en place grâce à ce que je viens de décrire, et elle fait des ravages.

L’année 2020 a été celle d’une guerre biologique déclenchée par la Chine contre le reste du monde et celle d’une guerre psychologique lancée par l’OMS au service de la Chine.

Ceux qui écrivaient cela en 2020 se faisaient traiter de complotistes par les défenseurs des mensonges officiels.

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Ceux qui écrivaient cela savaient que les services de renseignement américains avaient établi dès avril 2020 que le coronavirus incriminé avait été modifié, et que le laboratoire P4 de Wuhan était le lieu où la modification avait été effectuée : des médecins chinois avaient réussi à transmettre des documents à Hong Kong, puis aux Etats-Unis.

Ceux qui écrivaient cela savaient que la Chine connaissait la contagiosité et la létalité de la maladie, mais n’ont rien dit et ils savaient que, tout en fermant les frontières intérieures de la Chine aux gens présents à Wuhan, la Chine a laissé des milliers de gens quitter Wuhan et partir en avion vers de multiples points de la planète : tous les éléments de preuve étaient disponibles.

Ceux qui écrivaient cela savaient qu’après avoir nié les risques de contagion et la létalité de la maladie, l’OMS avait publié délibérément des chiffres de létalité dix fois supérieurs à la réalité, et provoqué la panique.

Ceux qui ont écrit cela ont exposé ce qui devait l’être dans des magazines conservateurs américains.

Le Président Donald Trump, qui lui-même n’ignorait rien, bien sûr, a dit ce qui devait l’être, a vivement incriminé la Chine, et décidé que les Etats-Unis quittaient l’OMS.

Bien qu’ils n’ignoraient rien eux non plus, les grands médias américains, la principale autorité américaine en matière de maladies infectieuses (le docteur Anthony Fauci), les responsables du Center for Disease Control, les politiciens démocrates, ont choisi de mentir.

Le docteur Fauci l’a fait parce qu’il avait financé les travaux du laboratoire P4 de Wuhan. Les autres l’ont fait pour préserver la Chine avec laquelle ils avaient, pour la plupart, des liens financiers, et pour nuire à Trump qu’ils voulaient faire chuter (la Chine aussi voulait faire chuter Trump, et la pandémie a été une opportunité idéale pour cela).

Les uns et les autres essaient de préserver le mensonge, mais des langues se délient, des documents sortent, et il va devenir difficile de cacher la vérité plus longtemps aux Américains.

Cela prend la tournure d’un scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura des conséquences très importantes.

Il est strictement impossible que les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens aient tout ignoré, et le choix du mensonge a été fait en Europe aussi : pour préserver la Chine, là encore (l’Europe entière tremble devant la Chine et nombre d’Européens ont des liens financiers avec la Chine), et pour nuire à Trump, là encore (la haine anti-Trump est la chose la plus partagée en Europe).

A la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis, les langues ne se délient pas en Europe, et les documents ne sortent pas. Le mensonge reste quasiment hégémonique. C’est très grave. Cela semble signifier qu’en Europe la Chine a gagné.

Tout ce que je viens de décrire s’est doublé de décisions tout aussi graves, qui ont provoqué des dégâts économiques considérables et fait des millions de morts, et dégâts économiques et morts étaient largement évitables.

Des documents montrent désormais que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient que le confinement généralisé était délétère, et savaient aussi que le traitement hydroxychloroquine-azithromycine était efficace. Fauci et autorités médicales américaines ont néanmoins insisté pour que le confinement soit utilisé et pour que le traitement à l’hydroxychloroquine soit déclaré dangereux. Les grands médias américains et les politiciens démocrates, selon toute apparence, savaient ce que savaient le docteur Fauci et les autorités médicales américaines.

Les langues qui se délient aux Etats-Unis disent qu’il s’agissait de donner tort à Trump, qui ne voulait pas de confinement et voulait utiliser le traitement à l’hydroxychloroquine.

Face au front du refus, Trump a dû se résoudre au confinement et renoncer au traitement. Pour éviter un désastre total aux Etats-Unis, il a lancé l’opération Warp Speed qui a conduit à produire des vaccins en un temps record.

Le confinement et le refus du traitement à l’hydroxychloroquine ont non seulement détruit et tué : ils ont permis les fraudes qui ont installé Biden à la Maison Blanche.

Des voix s’élèvent aux Etats-Unis disant que ceux qui ont prôné le confinement et dénigré le traitement à l’hydroxychloroquine sont des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables.  Ces voix ajoutent que détruire et tuer (car c’est, de fait, cela qui s’est passé) pour faire chuter un dirigeant politique est abominable. Ces voix soulignent que ceux qui ont fait cela devront répondre de leurs crimes.

Cela prend la tournure d’un autre scandale immense, et si les républicains retrouvent la majorité dans les deux chambres du Congrès en 2022, il y aura là aussi des conséquences très importantes.

Les grands médias européens, les responsables scientifiques et les dirigeants politiques européens savaient ce que le docteur Fauci et les autorités médicales américaines savaient : les documents en circulation aux Etats-Unis le montrent.

Il y a, de surcroit, en France l’un des plus grands épidemiologues au monde, le professeur Raoult.

Le professeur Raoult avait dit d’emblée que le confinement généralisé était délétère et que le traitement à l’hydroxychloroquine était efficace. Il a cité le plus grands épidémiologue américain, John Ioannidis, qui a le même avis que lui. Il a été trainé dans la boue, insulté, diffamé. Les dirigeants politiques français n’ont pas écouté ce que le professeur Raoult a dit. Ils se sont fiés à des médecins liés à des laboratoires qui avaient des médicaments chers et inefficaces à vendre.

Les dirigeants du reste de l’Europe se sont conduits comme les dirigeants français.

Tous ces gens en Europe savaient ce que leurs homologues américains savaient (ils diront qu’ils ne savaient pas, bien sûr).

Ce sont eux aussi des criminels responsables de faillites, de suicides, de dizaines de milliers de morts qui auraient été très évitables.

On ne peut imaginer qu’ils ont fait ce qu’ils ont fait pour faire chuter Trump. On peut imaginer d’autres motifs : la corruption venant de laboratoires est l’un d’eux, et il est le premier qui vient à l’esprit.   D’autres encore sont imaginables.

On peut craindre en Europe que les coupables n’auront pas à répondre de leurs crimes. C’est extrêmement grave.

Aux Etats-Unis, l’administration Biden est en place grâce à ce que je viens de décrire, et elle fait des ravages.

En Europe, les dirigeants en place font des ravages depuis longtemps et n’ont pas eu besoin de la pandémie pour accéder au pouvoir

Aux Etats-Unis, le retour de dirigeants politiques dignes de ce nom est très envisageable.

En Europe, il n’y a quasiment plus de dirigeants dignes de ce nom à même d’accéder au pouvoir.

L’ombre de la grande réinitialisation plane dans tout ce que je viens de décrire.

Aux Etats-Unis il reste possible de parler de la grande réinitialisation et de la combattre. En Europe, il devient impossible d’en parler et impossible de la combattre.

Aux Etats-Unis, ceux qui décrivaient ce que je décris ici en 2020 se faisaient traiter de complotistes. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, car la vérité est visible, disponible, fondée, documentée.

En Europe, ceux qui décrivaient ce que je décris ici en 2020 se faisaient traiter de complotistes. C’est toujours le cas aujourd’hui.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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