Ou comment le nazisme est en train de renaître de ses cendres  » Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu  » (Mat 10:26) L’Alliance Franco-Allemande : un pas de plus vers la dictature ?

La France et l’Allemagne ont toujours eu des relations très ambigües. De soeurs ennemies, ces deux nations sont passées à  une sorte d’entente cordiale, initiée par le Général de Gaulle et le Chancelier Adenauer en 1958, puis entretenue successivement par Pompidou et Willy Brandt en 1969, Giscard et Helmut Schmidt en 1974, Mitterrand et Helmut Kohl en 1982, Chirac et Schrà¶der en 1998 pour arriver à  Sarkozy et Angela Merkel depuis 2007.

On doit légitimement se demander à  quoi correspond véritablement ce désir d’unité. S’agit-il simplement  » d’oublier  » les périodes bien sombres de l’Histoire de ces deux grands pays naguère ennemis, ou bien de réaffirmer une unité quelque peu factice dont le seul but serait de consolider une mainmise sur le bloc européen ? Ce qui est certain c’est que l’Allemagne pèse très lourdement sur l’économie de l’Europe, tandis que la France, tiraillée par des querelles politicardes, embarquée dans des conflits où elle n’avait que faire et entachée par de multiples scandales, est en perte de vitesse et de crédibilité face à  ses partenaires, non seulement européens, mais également d’Outre-Atlantique et d’ailleurs. On est en tout cas bien loin d’une  » amitié  » désintéressée en ce qui concerne le  » couple  » franco-allemand en 2012. M.Sarkozy n’est pas le Général de Gaulle, loin s’en faut, et je ne pense pas que l’idée qu’il se fait de la France soit exactement la même que celle de son illustre prédécesseur…

Refondation de l’Empire Carolingien et de l’Empire Romain : Le St Empire Romain-Germanique au 21è siècle.

Au cours du haut Moyen-Age, l’idée d’un royaume soumis à  l’autorité de l’Église de Rome fait son chemin. L’Empire byzantin qui contrôle les provinces de l’Empire d’Orient depuis Constantinople (l’Istanbul actuelle), garde la souveraineté sur les territoires de l’ex-Empire romain d’Occident. En 730-732 a lieu la querelle iconoclaste entre les deux branches de l’Église sous le pontificat du pape Grégoire 1er (590-604). La papauté envisage alors de restaurer l’Empire d’Occident. Avec le danger d’une invasion Lombarde en Italie, la papauté décide de conférer un statut impérial au royaume des Francs qui est la puissance dominante de l’Europe occidentale. Charlemagne monte sur le trône en 768 ; il conquiert la Lombardie en 773 et étend ses territoires de façon conséquente, ce qui amènera le pape Léon III à  le couronner empereur le 25 décembre 800.

Le royaume franc oriental (Germanie), dirigé par Othon 1er le Grand se révèle être la principale puissance en Europe. Othon est un ardent défenseur de l’Église romaine, il déploie un zèle peu commun en nommant des clercs à  de hautes fonctions, organise des missions d’évangélisation et des campagnes militaires, notamment contre le Roi d’Italie Béranger II. Il est couronné Empereur de Rome par Jean XII en 962. Ainsi naquit le Saint Empire Romain Germanique, qui va subsister en Occident de manière quasi permanente pendant plus de 800 ans.Cet empire ne sera, en fait, qu’une sorte de confédération d’États souverains et de Principautés qui sera dissout lors des guerres napoléoniennes en 1806 par François II, dernier empereur.

Ce qui est important de souligner ici, c’est cette volonté de coalition entre le pouvoir spirituel (l’Église) et le pouvoir temporel (l’État), qui, en réalité accordera beaucoup plus de pouvoir politique à  l’Église, dont les souverains pontifs successifs useront et abuseront pour asseoir leur autorité. Il s’ensuivra des querelles permanentes entre empereurs et papes, chacun désirant s’ingérer dans les affaires de l’autre. Ainsi, au cours de la phase italo-germanique, l’Empire joue un rôle de premier plan dans la politique et les affaires religieuses de l’Europe centrale. Une caractéristique de cette période est la lutte entre les papes -principalement Grégoire VII- et les empereurs pour le contrôle de l’Église. Après la Réforme protestante, l’unité de l’Empire est affaiblie en 1555 avec la paix religieuse d’Augsbourg, qui permet à  chaque cité et État libre d’Allemagne de choisir entre l’adoption du luthérianisme et celle du catholicisme. La paix de Wesphalie, en 1648, met un terme à  la guerre de Trente Ans, mais surtout elle fait perdre à  l’Empire ce qui lui reste de souveraineté sur les États qui la composent : la France devient la puissance dominante en Europe.

En 1950, Richard Coudenhove-Kalergi (1894-1972), penseur et fondateur de la Paneurope, tenait le discours suivant :

(…) Le chemin qui mène à  une Europe unie, de l’Islande à  la Turquie comme de la Finlande au Portugal, est encore loin. Des années passeront avant que nous puissions l’atteindre. D’autant plus que nous devons mettre nos meilleurs forces au service de l’organisation strasbourgeoise afin qu’un jour tous les peuples d’Europe s’associent. (…). A ce nouveau groupe d’Etats (ndlr : France, Allemagne, Italie et Bénélux) qui s’étend de l’Elbe aux Pyrénées, il était plus digne de le relier à  l’Europe de la grande tradition et de lui donner le nom d’Union Charlemagne. (…). Il s’agit ni plus ni moins que la renaissance d’un Empire carolingien selon des principes démocratiques, fédéraux et sociaux. Le temps est venu de mettre un terme à  l’état de guerre entre l’Allemagne et la France, non pas par un traité de paix qui conduirait immanquablement à  des protestations et à  des efforts de révision, mais par une constitution fédérale qui fonderait la relation franco-allemande de l’avenir sur des lois et non sur des traités. (…). Le moyen le plus adapté et le plus rapide serait la réunion d’une constituante par des élections généralisées pour élaborer une constitution fédérale ». Par la suite, évoquant l’attitude voire le rejet des Anglo-Saxons face à  cette unité fédérale européenne, R. Coudenhove-Kalergi ajoute : « (…) Ce n’est que maintenant avec la signature d’un pacte atlantique que cette crainte est devenue sans objet depuis que l’Angleterre, l’Amérique et l’Europe s’associent dans un système de défense commun. La réalisation d’une fédération Charlemagne est pour cela dans les intérêts des Anglais comme des Américains. L’Union atlantique deviendrait une fédération à  trois avec l’Empire britannique comme pont entre l’Amérique et l’Europe ».[cité par P. Hillard dans  » La décomposition des nations européennes « Ed.François-Xavier de Guibert].

L’objectif avoué de R. Coudenhove-Kalergi consistait donc à  unir l’Europe afin qu’elle pût faire poids face aux  »grands » comme les États-Unis, l’ex-URSS et l’Empire britannique, tout en favorisant un rapprochement franco-allemand. A la mort de Coudenhove-Kalergi en 1972, Otto de Habsbourg a pris la tête de ce mouvement entraînant une mainmise et une germanisation progressive de l’organisation paneuropéenne.

Ce fédéralisme humaniste, tel qu’il est prôné, implique nécessairement à  plus ou moins long terme, la perte de souveraineté des États-Nations, il est synonyme de décentralisation, régionalisme (c’est-à -dire morcellement des territoires et résurgence des particularismes culturels) et conduit inexorablement à  une gouvernance mondiale telle que prévue de longue date par les puissances financières du monde anglo-saxon. Sous les prétextes fallacieux d’une réconciliation franco-allemande et de (fausses) promesses de liberté et de prospérité, on est en train d’assister à  une prise en mains radicale de l’Allemagne sur les nations européennes, avec la bénédiction des États-Unis, qui, on ne le répètera jamais assez, sont directement à  l’origine de la construction du nouvel Empire européen. Ajouter à  cela le rôle néfaste et néanmoins prédominant du Vatican religieux, et l’on retourne immanquablement à  un Nouvel Empire Romain-Germanique qui étend chaque jour davantage ses tentacules. La majorité des textes régissant l’actuelle Union Européenne vient d’Allemagne, ont été pensés et rédigés par des experts allemands et adoptés comme un seul homme par les instances européennes sans souciller. La destruction de l’ex-Yougoslavie et la réorganisation de son espace géographique en 1999, a été la conséquence de manœuvres allemandes de déstabilisation du pays, à  commencer par la sécession de la Slovénie et de la Croatie, régions du nord les plus riches, qui devaient être intégrées à  l’économie européenne, en particulier l’Autriche et l’Allemagne.

L’éclatement de la Fédération yougoslave aboutit finalement à  l’émergence de multiples unités indépendantes. Puis le Kosovo, province autonome de la Serbie ayant appartenu à  la Yougoslavie, fut déclaré à  son tour indépendant, soutenu par l’Union fédéraliste des communautés ethniques européennes (l’UFCE) qui est un organisme allemand promouvant une organisation ethnique de l’Europe. En fait, le Kosovo soi-disant indépendant depuis le 17 février 2008, n’a aucune souveraineté, et sert à  héberger une des bases militaires US des plus sophistiquées sur le continent européen. Toute cette opération de destruction, ou  » balkanisation  » n’avait qu’un seul objectif: celui d’ouvrir un canal d’acheminement des richesses pétrolières et gazières depuis la Mer Noire et les pays du grand Moyen-Orient.

La réalisation d’un grand marché transatlantique pour 2015 est la grande ambition des dirigeants européens et états-uniens. L’élaboration et la mise en oeuvre de ce projet est le fruit des travaux de la Fondation Bertelsmann, vaste consortium allemand, un véritable empire des médias connecté dans le monde entier, disposant d’un chiffre d’affaires de plusieurs milliards, qui entretient des relations privilégiées avec des politiciens de haut rang, des présidents de partis et des chefs d’État, ainsi qu’avec des fonctionnaires. Cet empire siège dans des institutions et commissions de l’UE et influence tous les domaines de la politique, qu’il s’agisse de la Constitution européenne, de la formation d’une armée européenne, ou de la privatisation dans les domaines de la formation et de la santé. La  » vision  » de Bertelsmann est une Europe des régions dans laquelle les nations souveraines auront disparu, et dont les unités administratives sont des  » espaces métropolitains  » ou des communes fusionnées, sous l’administration directe de Bruxelles, et exploitées sur le marché par Bertelsmann. Les décisions démocratiques des citoyens ne seront bientôt plus qu’un souvenir…

On le voit bien, l’Allemagne joue un rôle crucial dans la construction de l’Europe, et ce n’est pas pour rien :

Le Nazislamisme- similitudes entre le fascisme hitlérien et l’islamisme radical

Tous les extrêmes sont dangereux. Qu’ils soient d’inspiration religieuse ou non, ils aboutissent tous à  l’intolérance, la subversion et finalement le crime. Point besoin de réitérer l’Histoire et ses périodes obscures pour s’en convaincre. Malheureusement, l’homme ne retient rien de l’Histoire et les mêmes graves erreurs se reproduisent de siècles en siècles. Le Siècle des Lumières a, pour un temps, fait croire qu’un renouveau allait se faire jour, que l’homme, après tout, n’était pas si mauvais, à  telle enseigne qu’il pouvait parfaitement bien se suffire à  lui-même et se passer de Dieu… tout le monde a en mémoire ce verset :  » Vous serez comme des dieux  » (Gen 3:5), largement repris et utilisé à  contre-emploi, même par certaines églises, pour justifier le besoin soi-disant légitime qu’aurait l’être humain de se prendre pour ce qu’il n’est pas.

Mais alors, si l’homme est comme un dieu, pourquoi tant de massacres, de guerres et d’intolérance dans ce monde ?

L’homme n’est donc qu’un mauvais dieu sanguinaire et violent. C’est ce qui transparaît dans la plupart des idéologies extrémistes, telles que le marxisme, le communisme, le fascisme, et bien sûr l’islamisme radical comme on le voit à  l’œuvre dans notre monde depuis des décennies.

Aujourd’hui, un nouvel ennemi est en train de se manifester : le Nazislamisme, entité hybride, croisement abominable de deux idéologies non moins abominables inspirées par l’Enfer, le nazisme hitlérien et le fascisme islamique radical, personnifié par le Hamas, le Hezbollah et autres officines, financés par les banquiers internationaux, encouragés par certains gouvernements et services secrets (CIA…), et destinés à  éradiquer tout particulièrement les Juifs et les Chrétiens de la planète, qui sont des obstacles majeurs à  l’établissement d’un Gouvernement Mondial unique dont la seule ambition est d’asservir les peuples, et de les réunir sous une seule bannière religieuse, politique, économique et sociale. Mais le but ultime de cette idéologie satanique est la destruction d’Israël, seule nation qui ose encore défier ses nombreux détracteurs, forte de sa position stratégique au Moyen-Orient, et surtout détentrice des Promesses Divines qui font d’elle un Peuple à  part.

Israël centre du monde et proie des nations

 » Si chaque musulman jette un seau d’eau sur Israël, Israël sera anéantie, effacée. Aujourd’hui la résistance islamiste dans cette région a fracassé la légende d’invicibilité du régime israélien « (M. Mottaki, chef de la Diplomatie iranienne).

Cette phrase assassine d’un  » diplomate  » musulman montre à  quel point la haine de l’Islam à  l’encontre d’Israël n’est pas qu’une légende. Les déclarations d’un Ahmadinejad à  propos de sa volonté de voir Israël  » balayée de la carte  » et autres vœux de cet ordre, ne sont plus à  prendre à  la légère comme étant de simples provocations d’esprits dérangés. Curieusement, on constate une étrange parenté entre ces déclarations de haine et d’autres discours prononcés il n’y a pas si longtemps par un certain Adolf Hitler qui appelait à   » tuer tous les juifs « . C’est ce même A.H qui parlait à  cette même période d’un Nouvel Ordre Mondial, thème désormais à  la mode et repris depuis par toute une classe d’intellectuels et de chefs d’État à  l’imagination débordante dont les seules ambitions sont de se nourrir à  moindres frais de ce qui fait la richesse de ce monde, tout en se passant des hommes, particulièrement de ceux qui  » dérangent  » :  » Je te donnerai tout ce pouvoir, et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été remise, et je la donne à  qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à  toi «  (Lc 4:6). Aujourd’hui, Satan  » le prince de ce monde  » n’a pas changé de tactique ; le problème est que ce n’est plus Jésus son interlocuteur qui avait le pouvoir de le contrer, mais des hommes avides et cupides qui ne pourront jamais lui résister et c’est ce à  quoi nous sommes en train d’assister.

L’Islam, joint au nazisme qui est en train de renaître, particulièrement en Allemagne bien sûr mais pas seulement – la plupart des pays d’Europe de l’Est, anciennement communistes, de même que la Belgique, la Hollande, l’Angleterre et même la Suisse- connaissent ces nouveaux mouvements extrémistes criminels, se préparent à  entrer en guerre contre les Juifs et les Chrétiens (moins les catholiques puisqu’ils font partie de Rome). Ces groupes organisés et hiérarchisés sont une partie du bras armé du désormais très proche Gouvernement Mondial, qui sèment la haine et la peur, provoquent des désordres, des attentats afin de provoquer un chaos social général favorable à  l’installation du pouvoir de l’Antéchrist. Curieusement, ces organisations ne sont pas ou peu condamnées par les pouvoirs en place, ce qui démontre la complicité de beaucoup d’organes gouvernementaux à  leur endroit. (A ce sujet, revoir l’émission Enquête exclusive diffusée sur M6 le 15 janvier dernier :  » le retour des extrémistes en Europe « ).

France, Allemagne, Italie : le trio infernal.

La seconde Guerre Mondiale a  » mis en scène  » quatre acteurs principaux en Europe : la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Angleterre. Nous savons désormais que le IIIè Reich allemand a été en grande partie financé par les États-Unis, par l’intermédiaire de grandes sociétés industrielles telles Thyssen, Ford et IG Farben tenues par de grandes familles illuminati richissimes. Le chancelier Hitler, avant son irrésistible ascension au pouvoir, était un parfait inconnu, modeste petit caporal, issu d’une union illégitime semble-t-il (on parle même d’un père de la lignée des Rothschild). Ce que l’on sait moins, c’est que, d’après des archives déclassifiées du KGB soviétique et de la STASI de l’ex-RDA, Hitler aurait eu une fille, née en 1954, à  la suite d’une insémination artificielle à  l’aide de la semence congelée du Fürher placée dans l’utérus d’une jeune fille, Gretl, sœur d’Eva Braun, son épouse. C’est un médecin nazi, le Dr Klauberg, spécialiste d’eugénisme qui serait à  l’origine de cette opération. On peut légitimement penser à  Madame Angela Merkel, née officiellement le 17 juillet 1954, mais en fait le 20 avril, soit 9 ans après le suicide d’Hitler, qui, lui était né également un 20 avril… 11 jours avant le haut sabbat Beltaine (1).

Dans la  » tradition  » des Illuminati, il est normal qu’il y ait des unions consanguines dans le but de produire une descendance  » fabriquée  » de toutes pièces qui perpétuera l’idéologie luciférienne, c’est-à -dire possédée par l’esprit de l’Antéchrist. C’est pourquoi il existe dans ces familles à  l’apparence honorable, de nombreux cas d’incestes. Mais il est aussi possible d’obtenir par le truchement de ces techniques médicales d’insémination artificielle des héritiers de ces mêmes lignées sataniques pour maintenir la race qui finit par donner des individus dégénérés mentalement, aptes à  montrer la plus extrême cruauté et un égoïsme sans égal dans l’espèce humaine la plus vile, et donc possesseurs des gènes requis.

 » Lorsque les hommes eurent commencé à  se multiplier à  la surface de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ce fut parmi elles qu’ils choisirent leurs femmes. «  (Ge 6:2)

Des détails plus pointus peuvent faire penser que Mme Merkel pourrait effectivement être la fille de l’ancien Chancelier. Tout d’abord, elle fut élue Chancelière d ‘Allemagne en 2005, et cette même année, le 20 avril (jour de sa naissance) fut élu le cardinal Josef Ratzinger en tant que pape Benoît XVI, ancien officier nazi… Madame Merkel a tissé des liens très étroits entre l’Église romaine et l’Église Luthérienne de la RDA dont son père officiel aurait été ministre. D’autres détails assez troublants révèlent que la Chancelière est férue de la musique de Wagner, compositeur également occultiste, dévoré par la passion de la mythologie allemande et nordique dans ses compositions (les walkyries, divinités femelles, le Walhalla, équivalent de l’Olympe grec, Wotan (2), Parsifal, chevalier gardien du  » St Graal « …), or Hitler était particulièrement influencé par la musique  » envoûtante  » de Wagner, qui n’est qu’un immonde ramassis d’abominations antichrétiennes blasphématoires, tout à  fait dans la lignée de la sorcellerie, du druidisme et des multiples divinités qui ne font que déifier l’homme et la nature.

Enfin, Madame Merkel, qui était auparavant une parfaite inconnue, est devenue en peu de temps la tête du plus puissant État d’Europe occidentale, elle a exprimé sa détermination d’accélérer la révision du Traité de Lisbonne au plus tard au printemps 2012, afin  » de donner à  l’UE plus de poids face aux États qui négligent les règles budgétaires « . De la même manière, Hitler avait accédé aux plus hautes fonctions du Reich subrepticement en imposant ses vues sur les autres nations qui n’ont rien eu à  répliquer.

Le MES (Mécanisme Européen de Stabilité)

Le 6 décembre dernier, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont célébré le Mécanisme Européen de Stabilité. Ce traité complexe car très  » technique  » instaure une sorte de FMI européen. Il aura pour but de  » mobiliser des ressources financières et de fournir, sous une stricte condition: (…) un soutien à  la stabilité à  ses membres qui connaissent ou risquent de connaître de graves problèmes de financement « . Ce qu’on ne dit pas, c’est que ce MES n’est pas un traité mais une société financière basée au Luxembourg dont les actionnaires sont les 17 États de la zone euro. Plus un pays est fort économiquement, plus il doit souscrire d’actions. Les deux plus  » gros  » actionnaires sont l’Allemagne (27%) et la France (20,5%), suivis par l’Italie (18%), l’Espagne (12%) et les Pays-Bas (5,5%).

Mais cette structure est totalement antidémocratique, car le  » Comité de surveillance  » ou Troïka (Commission européenne, BCE, et FMI) sera chargé de veiller au respect des plans d’austérité, et ne pourront en aucun cas être contesté. L’aide financière à  un État sera soumise au Traité sur le fonctionnement de l’UE qui prévoit une  » règle d’or  » à  savoir l’interdiction de tout endettement, donc la fin de tout investissement public sur le long terme. Il est désormais inutile de prouver le bon fonctionnement des plans d’austérité dont l’efficacité est totalement nulle. Un exemple est donné par l’Espagne, qui, en dix ans a remboursé pas moins de 1020 milliards d’euros pour aboutir à  une succession de plans d’austérité. Ce système joue le jeu des marchés et de la spéculation financière, il porte en lui la destruction du modèle social européen. Ce MES trahit en fin de compte l’idéal sur lequel s’est bâtie l’Union. Selon des économistes sérieux, les prêts accordés sous la pression des marchés dérégulés ne serviront plus à  construire ou solidifier socialement et économiquement un pays, mais à  détruire tout ce qui a été accompli. Hélas, l’actualité de ces derniers jours nous montre que les députés français ont voté en majorité pour l’adoption de ce système. Peu s’y sont opposés, et la presse dans son ensemble n’a porté que très peu d’intérêt à  cette question pourtant cruciale qui ajoute encore à  la dangerosité de la vie économique de l’Europe et hypothèque encore un peu plus son avenir.

Nous arrivons petit à  petit à  une Europe qui se désagrège économiquement et socialement, qui entre dans une lente agonie, à  laquelle on administre des remèdes aussi inefficaces que dangereux. Cet état de santé déplorable laisse nos politiciens assez indifférents, préoccupés qu’ils sont par la très prochaine échéance électorale, qui, on le sait, n’aura pas grande influence sur notre qualité de vie et ne rassureront personne quant à  l’avenir.

C’est là  qu’est le vrai danger. Profitant du désarroi général, les banques et les multinationales s’évertuent à  se consolider en multipliant les spéculations et les emprunts sur le dos du contribuable qui ne compte plus pour rien, ou presque. Les États membres de l’Union perdent leurs souverainetés en confiant les clefs de la maison à  cette hydre monstrueuse qu’est le gouvernement de Bruxelles, préférant ignorer le danger menaçant plutôt que de chercher à  lutter, et à  se soustraire à  cette emprise qui se fait de plus en plus pressante.

Cependant, toute cette torpeur fait le lit des révoltes qui se profilent à  l’horizon. Aujourd’hui c’est la Grèce, engluée dans des plans de sauvetage qui n’ont aucune raison d’être, alors qu’elle est tout de même, quelque part, un peu l’artisan de son propre malheur, demain ce seront l’Espagne, le Portugal, l’Italie, malgré le gouvernement de fer de M. Mario Monti (3) et qui sait… la France aussi. Tout est fait pour que l’on réclame à  cor et à  cri une gouvernance mondiale qui n’attend que le feu vert pour passer à  l’action. Le Moyen-Orient s’embrase peu à  peu, l’Iran veut en découdre avec Israël et ses alliés, plus très nombreux, la Syrie commence à  compter ses morts, l’Afrique persiste dans ses mauvaises voies avec ses Chefs d’État corrompus qui ne pensent jamais au peuple. Les États-Unis sont en perte de vitesse, les plans de relance de M. Obama n’ont pas eu le succès escompté, le niveau de vie des Américains se fait de plus en plus bas, car il faut bien, n’est-ce-pas, faire payer davantage d’impôts et de taxes (pour la santé par exemple) au peuple pour renflouer les caisse de l’État qui a su si bien gaspiller à  tout va…

Oui,  » Le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère, sachant qu’il a peu de temps « . (Ap 12:9-12).

L’esprit de l’Antéchrist est à  l’œuvre de façon bien visible, à  travers les dirigeants de cette planète, et il ne nous reste plus qu’à  être encore plus vigilants, car nous savons ce qui sortira bientôt de cette Europe vieillissante qui deviendra un Nouvel Empire. D’aucun pensent qu’il (l’homme de la perdition) sortira de l’Angleterre, d’autres de l’Allemagne, et beaucoup de détails nous le laissent croire. En effet, la judaïcité en Allemagne est la plus nombreuse après celle de France et de Grande-Bretagne. Depuis que l’Allemagne s’est réunifiée, la nouvelle République Fédérale d’Allemagne accorde aux réfugiés juifs (venant surtout de l’ex URSS) un statut privilégié. Or, nous savons que le futur Chef d’État mondial doit être d’origine juive, et le passé de l’Allemagne, comme celui de l’Angleterre d’ailleurs, est très fortement marqué par l’occultisme, dont le satanisme…

« De même, vous aussi, quand vous verrez ces choses arriver, sachez que le Fils de l’homme est proche, à  la porte[…]. Prenez garde, veillez et priez, car vous ne savez quand ce sera le moment « .(Mc 13:29;33)

Soyez bénis.

(1) Le Sabbat Beltaine, qui a lieu le 1er mai de chaque année, appellé aussi  » Nuit de Walpurgis  » vient du dieu solaire celte Bel (ou Belenos-le corbeau), célébré par les Celtes, les Gaulois, mais aussi en Autriche et en Italie.

(2) Wotan en germanique commun, le nom du dieu était Wōthanaz. Ce terme est apparenté au verbewehen (souffler), au substantif Wut (fureur, rage), woede en néerlandais, au vieil anglais wōthbora(poète, oracle), et de manière plus lointaine, au latin vātÄ“s (poète, devin, oracle) . Il est devenu Wotan ou Woden en Allemagne et Odin (à“Ä‘inn) en Scandinavie. Le mercredi (dédié au dieu romain Mercure) qui devient wednesday en anglais ou winsday en frison septentrional (langue germanique proche de l’anglais), onsdag en danois, norvégien et suédois et woensdag en néerlandais, noms tous dérivés de Wotan, lui était dédié. Ce jour-là , on lui offrait des sacrifices sur les rochers, près des sources ou dans des arbres.

(3) Mario Monti, nouveau Président du Conseil Italien, est ancien Commissaire européen à  la Concurrence, Consultant à  la banque Goldman-Sachs, il est aussi président de la section Europe à  la Commission Trilatérale et membre du Comité de direction du Groupe Bilderberg. Son compère Mario Draghi est le nouveau Président de la BCE (Banque Centrale Européenne).