» Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu « 

(Mat 10 :26) Nom de code de l’opération qui a servi à  l’abattage du monstre : Geronimo !

Curieux… c’est le nom que l’on attribue au supposé propriétaire du crâne qui sert de fétiche à  la Fraternité de la mort-entendez la secte américaine Skull and Bones 322 dont sont issus d’illustres membres comme les Bush, Kerry et autres. Qui sait même si l’actuel locataire de la Maison de tous les vices, sépulcre blanchi de l’ère moderne, et  » sauveur  » de l’Occident n’en fait pas également partie ?

Ben Laden est mort,

vive l’Amérique !

C’est en gros ce que l’on croit comprendre lorsque l’on écoute les médias, toujours prêts à  faire entendre raison aux plus récalcitrants des auditeurs qui oseraient encore croire au complot mondial, et pourtant…

C’est hélas une fois de plus le visage de cette Amérique paranoïaque que l’on nous sert en pâture, un coup de force médiatique savamment orchestré- les élections ne sont pas loin, même tactique chez nous en France avec la Libye et la Côte d’Ivoire- lamentable, pitoyable, les mots sont décidément impuissants à  exprimer notre dégoût face à  ce genre de procédé qui n’est rien d’autre qu’une manière déguisée de redorer le blason de nos dirigeants dont la cote de popularité ne cesse de décroître.

Certes, loin de nous d’avoir une quelconque sympathie envers celui que l’on dit être le tout-puissant patron de l’énigmatique Al-Qaïda, dont au fond on ne connaît pas grand-chose et que l’on met volontiers en scène dès qu’il est question d’attentats à  la couleur islamisante touchant le monde que l’on dit  » libre  » (de quoi au juste ?). Un monde où le mensonge et l’hypocrisie, joints à  la cruauté et à  la barbarie se côtoient de plus en plus librement. Est-ce de cette soit-disant liberté dont on veut nous rabattre les oreilles ? Oui, liberté de tuer, de discréditer, de haïr, d’humilier son prochain. Oui, liberté de mentir de manière éhontée à  propos de tout et de rien, au nom de la religion, de la raison d’État, des intérêts économiques, rien ne peut arrêter cette machine infernale du mensonge et de la trahison, cette velléité de recourir à  la force plutôt qu’au dialogue équitable pour s’emparer des richesses d’autrui, imposer des systèmes de pensée, formater et abêtir les esprits  » mal-pensants  » et ainsi habituer les masses, ô combien stupides et ignorantes, à  absorber les informations les plus absurdes qui soient,  » pour leur plus grand bien « . Oui l’information est devenue un opium, un poison violent, mais à  dose homéopathique pour ne rien sentir, comme une sorte d’euthanasie, une mort douce finalement.

Les attentats du 11 septembre 2001 ont permis à  G.W BUSH de commencer sa croisade contre l’Irak pour le pétrole et pour tous les trésors historiques que recèle l’ancien empire babylonien, sous le fallacieux prétexte de dénicher et neutraliser d’hypothétiques  » armes de destruction massive « . Il fallait bien donner en pâture à  l’opinion publique le nom et le visage d’un ennemi, un bouc émissaire, source de tous les maux de cet occident avide et égoïste, inquiet de voir ses ressources énergétiques en voie d’épuisement. On connaît l’affreuse réalité de ces attentats fabriqués de toutes pièces par ceux-là  même qui ont mis en scène l’objet de toute leur haine par services secrets interposés. C’en était fait du tyran Saddam Hussein, installé pourtant par la CIA, mais qui ne faisait plus l’affaire, risquant de mettre des bâtons dans les roues de ses anciens bienfaiteurs.

Dès lors, les États-Unis, aux ordres de la City londonienne, aidés par les fidèles alliés européens, se mettent en tête de bouleverser totalement le monde méditerranéen en chassant tour à  tour les  » dictateurs  » des pays énergétiquement puissants : Kadhafi, Gbagbo, Ben Ali, Moubarak font les frais -bien chers payés en vies humaines sacrifiées sur l’autel de Mammon- à  grands renforts d’artilleries, bombardements et massacres en tous genres, sans oublier les viols et les pillages, de cette mainmise éhontée et crapuleuse sur les biens sans les personnes, sur fond de  » révolution populaire  » ou de  » guerre ethnique  » pour noyer le poisson.

 » L’information tournait en boucle depuis une heure sur les chaînes de télévision américaines. Oussama ben Laden est mort. Confirmation par le président américain en personne. Dans une allocution télévisée d’une dizaine de minutes prononcée dimanche soir (lundi matin en France) depuis la Maison Blanche, Barack Obama a annoncé le décès du chef d’ Al-Qaïda dans une opération menée au Pakistan par les États-Unis, avec l’aide des services de renseignements pakistanais.

Oussama Ben Laden a été tué à  Abbottābād, au nord d’Islamabad, la capitale pakistanaise. Le président américain a indiqué que cette opération se préparait depuis l’été dernier déjà  quand, au mois d’août, il a été informé d’une possible piste pour mener vers l’homme le plus recherché au monde.  » Il a fallu plusieurs mois pour remonter ce fil. J’ai rencontré mon équipe de sécurité nationale à  de nombreuses reprises pour développer davantage de renseignements relatifs à  une localisation de Ben Laden dans un complexe de bâtiments en plein cœur du Pakistan », a dit Barack Obama.  » Et finalement, la semaine dernière, j’ai déterminé que nous avions suffisamment de renseignements pour agir, et ai autorisé une opération destinée à  capturer Oussama Ben Laden et à  le présenter devant la justice », a-t-il poursuivi.

« Aujourd’hui (dimanche), les États-Unis ont lancé une opération ciblée contre ce complexe au Pakistan. Une petite équipe d’Américains l’a menée avec un courage et une habileté extraordinaires. Aucun Américain n’a été blessé », a-t-il souligné.  » Après un échange de coups de feu, ils ont tué Oussama ben Laden et ont récupéré son corps « , a précisé le président américain, qui a rendu hommage à  l’aide du Pakistan. Le corps du terroriste a ensuite été immergé en mer, « en accord avec la pratique et la tradition musulmane« , selon un haut responsable américain. Aucune précision n’a été apportée sur le lieu et les circonstances de cette immersion.

Le corps d’un musulman doit être lavé par des hommes de confession musulmane et inhumé dans les 24 heures suivant le décès.

« Justice est faite »

« Justice est faite« , a lancé le président américain, près de dix ans après les attentats du 11 septembre 2001, qui avaient fait 3.000 morts aux États-Unis. Derrière des barrières de sécurité qui entourent la Maison Blanche à  Washington, des milliers de personnes en liesse se sont rassemblées, aux cris de « USA ! USA ! », tandis que la foule commençait à  envahir les abords de « Ground Zero », à  New York, là  où s’élevaient autrefois les tours jumelles du World Trade Center.  » (AFP/REUTERS 02/05/2011)

Quelle justice ? On ne saura sans doute jamais ce qu’il est réellement advenu du corps de Ben Laden puisque selon les sources officielles il aurait été immergé. Aucune possibilité de prouver quoi que ce soit. Est-ce vraiment lui qui a été capturé et mis à  mort, personne ne peut raisonnablement l’affirmer, et c’est sûrement ce que veulent éviter à  tout prix les services secrets américains. Opacité, langue de bois, contre-vérités… les armes habituelles de désinformation ont encore de beaux jours devant elles. La marionnette a été reléguée aux oubliettes un point c’est tout. Des sources proches ont cependant confirmé que Ben Laden serait déjà  mort et enterré depuis un certain temps, sa santé ayant été gravement altérée par une insuffisance rénale chronique. L’essentiel serait donc, une fois de plus pour l’Amérique, de prouver au monde sa supériorité et son habileté à  dénouer les affaires les plus difficiles en même temps que les plus sordides. En attendant, plus de 3000 familles de victimes du 11 septembre continuent à  réclamer justice, mais l’on doute fort que cette justice-là  leur sera rendue un jour…

On sait que la famille Ben Laden entretient de très étroits liens financiers avec le Groupe Carlyle, puissante multinationale opérant dans les ventes d’armes et remportant les marchés internationaux les plus juteux qui soient dans bien des domaines. La famille Bush lui est fortement redevable d’ailleurs, car cela a permis que père et fils régnassent sans partage sur le Nouveau Monde pendant assez longtemps. Carlyle possède aujourd’hui 89,3 milliards de dollars en capitaux propres. Dans les années 90, ce groupe noue des relations avec l’Arabie saoudite (pays natif de Ben Laden) et notamment le prince Alwaleed bin Talal, neveu du roi Fahd. Le Wall Street Journal avait, à  cette même époque, émis l’idée folle que la famille d’Oussama aurait eu l’opportunité de s’enrichir à  la faveur d’attentats, par le biais de Carlyle, ce qui eut pour effet d’obliger les dirigeants du groupe à  minimiser les investissements de la famille Ben Laden estimés à  2 millions de dollars, alors qu’en réalité il s’agirait de bien plus que cette somme dérisoire.

La porte est désormais largement ouverte pour la création de nouvelles vagues d’attentats à  travers le monde, en réponse à  une supposée vengeance d’un groupuscule terroriste ayant perdu sa  » tête « . De confortables bénéfices sont à  prévoir en perspective pour les sociétés pourvoyeuses en machines de guerre. Qui donc sera la prochaine victime de ce jeu de massacre? Une page de plus est tournée dans l’agenda mondialiste.

«  Pourquoi te glorifies-tu de ta méchanceté, tyran? La bonté de Dieu subsiste toujours. Ta langue n’invente que malice, comme un rasoir affilé, fourbe que tu es! Tu aimes le mal plutôt que le bien, le mensonge plutôt que la droiture. Tu aimes toutes les paroles de destruction, langue trompeuse! Aussi Dieu t’abattra pour toujours, Il te saisira et t’enlèvera de ta tente, Il te déracinera de la terre des vivants. Les justes le verront et auront de la crainte, et ils feront de lui le sujet de leurs moqueries: Voilà  l’homme qui ne prenait point Dieu pour protecteur, mais qui se confiait en ses grandes richesses, et qui triomphait dans sa malice!  » (Ps 52:1-8)

Soyez bénis.