« …Jean-Paul Brighelli a un mauvais pressentiment…

 

« …Une odeur de violence plane désormais sur la France. Nous sommes absolument mûrs pour une guerre civile, qui ne prendra peut-être pas la forme ritualisée des manifs qui dégénèrent, mais qui explosera — qui explose déjà — dans des coins obscurs, des quartiers difficiles, puis descendra vers le centre-ville,… « 

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