»   Monsieur le président de la République,

Je vous écris de mon Nord natal, du bassin minier précisément, une terre de souffrance généreuse dans ses sacrifices et dans l’accueil qu’elle aura réservé à  des centaines de milliers de Polonais, d’Italiens ou de Nord-africains venus user leur santé dans nos mines et nos industries. Je voudrais vous parler des Ch’tis, des gens simples et attachants qui n’ont pas la chance d’avoir des origines extra-européennes et qu’on peut brocarder et humilier à  loisir, ils ne menaceront personne de mort. Leurs grands-parents formaient le plus gros des bataillons de ceux qui remontaient le charbon.   »  

Lire suite

Un passage, entre autres:

… »Aprés quatre décennies d’impéritie dans la gestion de l’immigration, des quartiers en partition sont séparés de la communauté nationale.

Cinq millions de personnes y vivent, dominées par des caïds qui régentent une économie parallèle. Les islamistes protégés par le service de sécurité local colonisent les cœurs d’enfants offerts par les élus. Des professeurs qui se censurent pour éviter les menaces physiques, des immeubles défigurés et abîmés par le civisme de quelques uns. Cette contre-société nous a été imposée, et vous et vos prédécesseurs l’avez accompagnée pour de sombres avantages économiques d’un côté et des gains électoralistes de l’autre. Cette contre-société n’est pas la France, n’est pas notre continuité historique, nous ne l’aimons pas car elle est l’antithèse de tout ce qui fonde notre socle républicain et nos valeurs communes.  « …

Transmis par Laurence.