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Chapitre 8                                                       L’humilité

La Parole de Dieu est bien vivante.  Je vous invite aussi à méditer les versets concernant l’humilité que ce soit pour vous-même ou que ce soit pour reconnaître les vrais serviteurs de Dieu :

Matthieu 20/25 à 27 : « Jésus les appela, et dit: Vous savez que les chefs des nations les tyrannisent, et que les grands les asservissent.   Il n’en sera pas de même au milieu de vous. Mais quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur ; et quiconque veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.  C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs ».

1 Pierre 5/3 : « non comme dominant sur ceux qui vous sont échus en partage, mais en étant les modèles du troupeau ».

1 Pierre 5/5 : « De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles ».

Romains 12/2 et 3 : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.  Par la grâce qui m’a été donnée, je dis à chacun de vous de n’avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun ».

Romains 12/16 : « Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres. N’aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne soyez point sages à vos propres yeux ».

1 Cor 4/9 à 13 : « Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes.  Nous sommes fous à cause de Christ ; mais vous, vous êtes sages en Christ ; nous sommes faibles, mais vous êtes forts.  Vous êtes honorés, et nous sommes méprisés !  Jusqu’à cette heure, nous souffrons la faim, la soif, la nudité ; nous sommes maltraités, errants çà et là ; nous nous fatiguons à travailler de nos propres mains ; injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous supportons ; calomniés, nous parlons avec bonté ; nous sommes devenus comme les balayures du monde, le rebut de tous, jusqu’à maintenant ».

1 Cor 10/24 : « Que personne ne cherche son propre intérêt, mais que chacun cherche celui d’autrui ».

Philippiens 2/3 à 5 : « Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes.  Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres.  Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ ».

1 Pierre 3/8 : « Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d’amour fraternel, de compassion, d’humilité ».

Matthieu 18/1 à 4 : « En ce moment, les disciples s’approchèrent de Jésus, et dirent : Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ?  Jésus, ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d’eux, et dit : Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.  C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux ».

Chapitre 9                                             Les riches et les pauvres

Dans la Bible, quand on prend un thème comme celui concernant les riches et les pauvres, les versets sont tellement clairs qu’il n’y a pas de commentaire à y ajouter.  La recherche de la richesse dans ce présent monde risque de vous faire perdre votre salut.  Je pourrai encore vous en trouvez bien d’autres.  Je vous invite à les méditer :

Proverbes 22/2 : « Riche et pauvre ont ceci en commun: c’est l’Éternel qui les a faits l’un et l’autre ».

Hébreux 13/5 : « Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent ; contentez–vous de ce que vous avez ; car Dieu lui–même a dit : Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point ».

Jacques 2/5 : « Écoutez, mes chers frères : Dieu a choisi ceux qui sont pauvres aux yeux du monde pour qu’ils deviennent riches dans la foi et reçoivent le Royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ».

Jacques 5/1 à 6 :  « A vous, riches, maintenant ! pleurez et jetez des cris, à cause des malheurs qui vont tomber sur vous.  Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés des vers.  Votre or et votre argent se sont rouillés, et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous et dévorera votre chair comme un feu.  Vous avez amassé un trésor pour les derniers jours.  Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie ; et les cris des moissonneurs sont parvenus aux oreilles du Seigneur des armées.  Vous avez vécu dans les voluptés et dans les délices sur la terre, et vous vous êtes rassasiés comme en un jour de sacrifice.  Vous avez condamné, vous avez mis à mort le juste, qui ne vous a point résisté ».

1 Jean 3/17 : « Si un homme riche voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui ».

1 Timothée 6/9 : « Mais ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation et le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux, qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition ».

1 Timothée 6/17 et 18 : « Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux, et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines, mais de la mettre en Dieu, qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions.  Recommande–leur de faire du bien, d’être riches en bonnes œuvres, d’avoir de la libéralité, de la générosité ».

Jacques 1/9 à 11 : « Que le frère d’humble condition se glorifie dans son élévation, et le riche dans son humiliation, car il passera comme la fleur de l’herbe.  En effet, le soleil s’est levé avec son ardeur, et il a séché l’herbe, et sa fleur est tombée, et la beauté de son éclat a disparu ; ainsi le riche se flétrira dans ses voies ».

Jacques 2/1 à 10 : « Mes frères, ne mêlez pas à des considérations de personnes votre foi en notre Seigneur de gloire, Jésus–Christ.  S’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit resplendissant, et s’il y entre aussi un pauvre avec un habit misérable ;  si, pleins d’attention pour celui qui porte l’habit resplendissant, vous lui dites : Toi, assieds–toi ici à cette place d’honneur ! et si vous dites au pauvre : Toi, tiens–toi là debout ! ou bien : Assieds–toi au–dessous de mon marchepied !  Ne faites–vous pas en vous–mêmes une distinction, et n’êtes–vous pas des juges aux pensées mauvaises ?   Écoutez, mes frères bien–aimés : Dieu n’a–t–il pas choisi les pauvres selon le monde, pour qu’ils soient riches en la foi et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ?  Et vous, vous avez déshonoré le pauvre ! Les riches ne vous oppriment–ils pas et ne vous traînent–ils pas devant les tribunaux ?  Ne sont–ils pas ceux qui blasphèment le beau nom invoqué sur vous ?  Sans doute, si vous accomplissez la loi royale, selon l’Écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi–même, vous faites bien.  Mais si vous vous livrez à des considérations de personnes, vous commettez un péché, vous êtes convaincus de transgression par la loi.  Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable envers tous ».

1 Timothée 6/6 à 10 : « C’est vrai, la foi en Dieu est une grande richesse, à une condition : il faut se contenter de ce qu’on a.  Nous n’avons rien apporté sur cette terre, et nous ne pouvons rien emporter non plus.  Alors, si nous avons de quoi manger et nous habiller, cela doit nous suffire.  Mais ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation.  De nombreux désirs stupides et dangereux les prennent au piège. Ils conduisent les gens vers la mort et les détruisent.  Oui, la racine de tous les malheurs, c’est l’amour de l’argent. Plusieurs l’ont trop cherché, c’est pourquoi ils se sont perdus loin de la foi. Ils ont beaucoup souffert, et c’est leur faute ».

Luc 6/19 à 21 : « Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous.  Alors il leva les yeux sur ses disciples et dit : Heureux vous les pauvres, car le royaume de Dieu est à vous !  Heureux vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés ! Heureux vous qui pleurez maintenant, car vous serez dans la joie » !

Luc 6/24 : « Mais malheur à vous, les riches, car vous avez votre consolation. 25 Malheur à vous qui êtes rassasiés maintenant, car vous aurez faim ! Malheur à vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et dans les larmes » !

Luc 16/13 : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un et aimera l’autre ; ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon ».  (Mammon est un esprit qui considère la richesse comme fondement du bonheur, comme seule chose nécessaire à la vie).

Riches comme pauvres, je vous invite à prendre ce dernier verset comme une prière pour vous-même.

Proverbes 30/8 et 9 : « garde–moi de dire des paroles fausses ou mensongères, ne me donne ni pauvreté ni richesse ; accorde–moi seulement ce qui m’est nécessaire pour vivre, car dans l’abondance, je pourrais te renier et dire : « Qui est l’Éternel ? » Ou bien, pressé par la misère, je pourrais me mettre à voler et déshonorer ainsi mon Dieu ».

Chapitre 10                                                      La dîme

Je vais vous donner toute la clarté sur ce sujet et je vais commencer par une étude sérieuse concernant la dîme. J’ai lu et écouté énormément de messages concernant la dîme tant les messages favorables à la dîme que les contre. J’ai tout pesé et maintenant, je peux en toute sincérité vous donner mes conclusions.

La dîme est l’un des sujets les plus controversés entre les chrétiens. Je ne vais pas choisir quelques versets que je trouve intéressants pour mon exposé et les interpréter dans ce que je pense sur ce thème, mais je vais prendre dans la Bible tous les versets concernant la dîme, l’étude sera complète et véritable, vous serez donc au clair avec le sujet. Vous aurez ainsi tous les éléments et il sera très difficile de les contester, sauf pour les bornés ou pour ceux qui ont des intérêts personnels.

Genèse 14/17 à 20 : « Après qu’Abram fut revenu vainqueur de Kedorlaomer et des rois qui étaient avec lui, le roi de Sodome sortit à sa rencontre dans la vallée de Schavé, qui est la vallée du roi. Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin : il était sacrificateur du Dieu Très-Haut. Il bénit Abram, et dit : Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, maître du ciel et de la terre ! Et béni soit le Dieu Très-haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! Et Abram lui donna la dîme de tout ».

Melchisédek bénit Abram, et en retour Abram donna à ce sacrificateur de Dieu la dîme de tous les trésors qu’il avait saisis.

Abram reconnaît en Melchisédek, roi de justice, le sacrificateur du vrai Dieu. Aussitôt, il lui offre, à ce titre, et par là à Dieu lui-même, la dîme de tout le butin. Donc, cette dîme ne venait pas des biens d’Abram, mais du butin gagné grâce à la victoire contre ses ennemis et on voit Abraham donner ce don qu’une seule fois dans sa vie.

Genèse 28/20 à 22 : « Jacob fit un vœu, en disant: Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors l’Éternel sera mon Dieu ; et cette pierre que j’ai dressée pour monument, sera la maison de Dieu ; et de tout ce que tu m’auras donné, je t’en donnerai entièrement la dîme ».

Jacob fait un vœu en y mettant des conditions : si Dieu fait ceci, cela et tout le reste, si j’obtiens tout ce que je désire dans ce marchandage, alors l’Éternel sera mon Dieu. Dieu fait tout ce qu’il a promis et même davantage. Toutes les conditions fixées par Jacob sont remplies. Nous n’avons pas connaissance par la suite que Jacob donne la dîme, en outre, on ne parle de celle-ci que dans un événement particulier dans sa vie.

Lévitique 27/30 à 32 : « Toute dîme de la terre, de la semence de la terre, du fruit des arbres, est à l’Éternel, c’est une chose sainte consacrée à l’Éternel. Et si quelqu’un veut racheter quelque chose de sa dîme, il y ajoutera un cinquième par-dessus. Quant à toute dîme du gros et du menu bétail, de tout ce qui passe sous la verge, la dîme sera sainte, consacrée à l’Éternel ».

Jusqu’à présent, nous avions deux exemples au temps d’Abram et de Jacob de donner une dîme à Dieu, mais c’était sous une forme de remerciements pour le premier et sous forme de vœux pour Jacob. Maintenant, avec Lévitique 27, la dîme devient une loi. Cette dernière représente donc un dixième des récoltes de céréales et de fruits, appartenant à l’Éternel. Si quelqu’un voulait racheter la dîme, il payait le prix en y ajoutant un cinquième.

Nombres 18/26 : « Tu parleras aussi aux Lévites, et tu leur diras, Quand vous prendrez des fils d’Israël la dîme que je vous ai donnée de leur part pour votre héritage, vous en offrirez une offrande élevée à l’Éternel, la dîme de la dîme ». Les Lévites auront à payer aux sacrificateurs la dixième partie de ce qu’ils retireront eux-mêmes par les dîmes que leur paiera le peuple. C’est ce qui est appelé la dîme de la dîme.

Deutéronome 12/17 : « Tu ne pourras pas manger, dans tes portes, la dîme de ton froment, ou de ton moût, ou de ton huile, ni les premiers-nés de ton gros et de ton menu bétail, ni aucune des choses que tu auras vouées, ni tes offrandes volontaires, ni l’offrande élevée de ta main » ; Tous les sacrifices et toutes les offrandes devaient être amenés au lieu choisi par Dieu.

Deutéronome 14/22 à 27 : « Tu lèveras la dîme de tout ce que produira ta semence, de ce que rapportera ton champ chaque année. Et tu mangeras devant l’Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu’il choisira pour y faire résider son nom, la dîme de ton blé, de ton moût et de ton huile, et les premiers-nés de ton gros et de ton menu bétail, afin que tu apprennes à craindre toujours l’Éternel, ton Dieu. Peut-être lorsque l’Éternel, ton Dieu, t’aura béni, le chemin sera-t-il trop long pour que tu puisses transporter ta dîme, à cause de ton éloignement du lieu qu’aura choisi l’Éternel, ton Dieu, pour y faire résider son nom. Alors, tu échangeras ta dîme contre de l’argent, tu serreras cet argent dans ta main, et tu iras au lieu que l’Éternel, ton Dieu, aura choisi. Là, tu achèteras avec l’argent tout ce que tu désireras, des bœufs, des brebis, du vin et des liqueurs fortes, tout ce qui te fera plaisir, tu mangeras devant l’Éternel, ton Dieu, et tu te réjouiras, toi et ta famille. Tu ne délaisseras point le Lévite qui sera dans tes portes, car il n’a ni part ni héritage avec toi ».

Le peuple d’Israël devait se rassembler trois fois par an à Jérusalem, à l’endroit désigné par l’Éternel, pour de grandes fêtes. Ces temps devaient être réjouissants et l’Éternel s’assurait que chacun ait suffisamment de ressources disponibles pour qu’ils puissent entrer pleinement dans les temps de réjouissances en leur disant de mettre de côté 10% de leur revenu annuel dans ce but. Notez le verset suivant (27) « Tu ne délaisseras point le Lévite… » Ceci faisait référence à la première dîme. En d’autres mots, la troisième dîme, pour les fêtes annuelles, ne devait pas être confondue avec la dîme générale pour les Lévites.

Deutéronome 14/28 : « Au bout de trois ans, tu mettras à part toute la dîme de ta récolte de cette année-là, et tu la déposeras dans tes portes ».

Deutéronome 26/12 : « Quand tu auras achevé de lever toute la dîme de ta récolte, dans la troisième année, qui est l’année de la dîme, tu la donneras au Lévite, à l’étranger, à l’orphelin, et à la veuve ; et ils la mangeront dans tes portes et seront rassasiés ».

Chaque troisième année, le donateur devait employer la dîme chez lui pour donner à manger au Lévite, à l’étranger, à l’orphelin et à la veuve.

1 Samuel 8/15 : « et il prendra la dîme de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses eunuques et à ses serviteurs » ;

Le peuple d’Israël demande un roi, Dieu finit par être d’accord, mais Il prévient qu’une dîme sera aussi prélevée sur le peuple pour payer les fonctionnaires du Roi.

2 Chroniques 31/5 et 6, 12 : « Et quand la parole du roi se répandit, les fils d’Israël apportèrent en grande quantité les prémices du blé, du moût, et de l’huile, et du miel, et de tous les produits des champs ; et ils apportèrent la dîme de tout, en abondance. Et les fils d’Israël et de Juda, qui habitaient dans les villes de Juda, eux aussi apportèrent la dîme du gros bétail et du menu bétail, et la dîme des choses saintes, qui étaient consacrées à l’Éternel, leur Dieu, et ils les mirent par monceaux. … et on les prépara ; et on apporta fidèlement l’offrande, et la dîme, et les choses saintes ; et Conania, le lévite, en eut la surintendance, et Shimhi, son frère, en second ». Le roi Ézéchias rétablit les classes des sacrificateurs et des Lévites … chacun selon ses fonctions, puis pourvu à leurs besoins en donnant la dîme de tout. Le peuple répondit avec une telle générosité qu’il y eut suffisamment à manger et même des restes. Des chambres spéciales durent être réservées dans le Temple pour stocker le surplus, et des hommes capables furent désignés comme surveillants. La mention de leur nom montre que Dieu prend note de toute personne qui le sert.

Néhémie 10/37 et 38 : « et nous apporterons les prémices de notre pâte et nos offrandes élevées, et le fruit de tout arbre, le moût et l’huile, aux sacrificateurs, dans les chambres de la maison de notre Dieu, et les dîmes de notre terre aux lévites ; et eux, les lévites, prélèveront la dîme dans toutes les villes de notre labour ; et le sacrificateur, fils d’Aaron, sera avec les lévites quand les lévites prélèveront la dîme, et les lévites apporteront la dîme de la dîme à la maison de notre Dieu, dans les chambres de la maison du trésor » ;

Néhémie 13/12 : « Et tout Juda apporta dans les magasins la dîme du blé, et du moût, et de l’huile ». Du temps de Néhémie, la muraille de Jérusalem est reconstruite, avec l’aide de Dieu. Aussi Néhémie, qui aime l’Éternel, désire-t-il que Dieu soit honoré par le peuple. C’est pourquoi il ordonne de mettre en pratique la loi de Moïse afin que le service dans le temple soit accompli fidèlement. Le peuple s’engage donc très solennellement à suivre cette loi. Les redevances dues aux sacrificateurs étaient apportées par les Israélites à Jérusalem. La dîme due aux Lévites leur était livrée sur place, et c’était à eux qu’incombait le soin de transporter la dîme de cette dîme au temple.

Malachie 3/10 : « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance ». Comme la maison du trésor est mentionnée, la dîme dont parle ce verset est de toute évidence la dîme de la dîme que les lévites doivent donner aux sacrificateurs. Retenez bien que nous sommes toujours dans l’Ancien Testament. Ce verset est utilisé de tort et de travers par les partisans de la dîme. Les écluses des cieux ne sont pas définies comme la richesse ou la prospérité, mais Dieu nous parle de bénédictions et ces dernières sont définies dans Deutéronome 28/1 à 14 et particulièrement dans ce cas, tout simplement que Dieu donnera la pluie aux bons moments afin d’avoir de bonnes récoltes.

La dîme est donc dans la catégorie des lois sociales ou dites civiles et nous trouvons dans la loi 4 sortes de dîmes : la dîme du peuple pour les lévites, la dîme des lévites pour les sacrificateurs, la dîme que le peuple devait garder pour les fêtes, la dîme du peuple pour les étrangers, les orphelins, les veuves (cette dernière est payée une fois tous les trois ans). Maintenant, voyons ce qu’il en est de la dîme dans le Nouveau Testament.

Matthieu 23/23 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! car vous payez la dîme de la menthe et de l’aneth et du cumin, et vous avez laissé les choses plus importantes de la loi, le jugement et la miséricorde et la fidélité ; il fallait faire ces choses-ci, et ne pas laisser celles-là ». Ici, Jésus écœuré affirme que la dîme faisait partie de la Loi mais elle n’était pas la chose la plus importante même sous la Loi. Ensuite Jésus reprochait cela aux scribes et aux pharisiens mais pas au peuple. Notez toujours bien que nous sommes toujours dans le règne de la loi, le passage du règne de la grâce se situe après la résurrection de Jésus Christ et c’est bien à partir de là que nous sommes chrétiens.

Luc 18/12 : « Je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tout ce que je possède ». Nous sommes toujours dans le règne de la loi et on parle ici d’un pharisien qui accomplit ses devoirs, il pense avoir des droits vis-à-vis de Dieu. Il est particulièrement scrupuleux pour respecter le jeûne, et payer la dîme.

Hébreux 7/1 à 4 : « En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut, qui alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, et à qui Abraham donna la dîme de tout, qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix, qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie, mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité. Considérez combien est grand celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin ». Ici, nous nous situons bien dans le règne de la grâce. Ces versets nous rappellent simplement un événement historique lors de la vie d’Abraham. Donc, il n’y a aucun rapport à un commandement pour le chrétien de payer une dîme.

Après cette étude, il est très clair que les argumentations des chrétiens favorables au paiement d’une dîme sont sans fondements bibliques, à moins que nous rejetions Jésus-Christ comme notre Seigneur et Sauveur, alors, il faudrait retourner sous le règne des lois et ainsi rester dans l’état d’Israël avant Sa venue sur terre.

Je vous le répète : la dîme est donc une loi de l’Ancien Testament et nous, chrétiens, n’avons plus aucun attachement avec elle puisque nous vivons sous le règne de la grâce (voir l’étude dans le chapitre 6 : La Bible ; « d) Être sous la loi ou être sous la grâce). Je vous rappelle dès lors seulement ce verset très clair de Galates 3/24 et 25 : « Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. La foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce pédagogue », lisons aussi Romains 10/4 : « car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient ». Je vous rappelle que le but de la loi consiste à révéler le péché, à convaincre et à condamner les transgresseurs. Elle ne peut jamais conférer la justification. Le salaire de la transgression de la loi est la mort. En mourant, Christ paya le prix de la transgression de la loi commise par l’homme. Quand un pécheur reçoit le Seigneur Jésus-Christ comme son Sauveur, la loi n’a plus rien à lui dire. Par la mort de son Substitut, il est mort à la loi, c-à-d. libéré de toute tentative d’accomplir sa propre justification par l’obéissance à la loi.

En outre, dans le Nouveau Testament, nous ne lisons pas que Jésus Christ ainsi que les apôtres ont payé la dîme, alors, pourquoi devrions-nous le faire. Nous ne lisons pas non plus que Jésus Christ et les apôtres demandent à nous de la payer. Nulle part dans la Bible, il est écrit qu’il existe une dîme que l’on doit payer chaque mois.

Faire payer une dîme aux membres d’églises est aussi quelque chose d’injuste : quand le riche donne 10 % de ses revenus, il ne fait que donner dans son superflu, donc, l’impact de cette mesure pour sa vie quotidienne est très peu visible, il n’en va pas de même pour le pauvre, car pour pouvoir donner les 10 % de ses revenus, il devra prendre dans son nécessaire pour sa vie quotidienne et là, l’impact est bien plus considérable.

Les faux pasteurs utilisent des versets de l’Ancienne Alliance et ils citent principalement Malachie 3/10, ils en tordent complètement le sens afin de tirer des profits pécuniaires. Ils veulent nous faire croire qu’en donnant la dîme de nos revenus, Dieu nous la rendra en prospérité et richesses pour notre vie présente. Dans les faits, avez-vous remarqué cela dans votre vie ? Par contre pour les faux pasteurs, on le remarquera aisément.

Cet enseignement ne vient pas de Dieu, mais seulement de leurs supercheries. Le pire dans ceci, c’est qu’ils n’ont aucun scrupule, ils donnent une fausse espérance à des pauvres qui a comme résultat que ces derniers deviennent encore plus miséreux. Les croyants bien instruits ne devraient jamais considérer ce passage comme en vigueur aujourd’hui. Le vrai don chrétien, comme tout le reste dans la vie et le service d’un vrai croyant, doit être fait, non par la loi mais par la grâce, sous la direction du Saint Esprit et non par une directive d’un pasteur ou autre consort.

En réalité, la dîme ne devrait même pas être demandée à des pauvres, car, comme on l’a lu, une partie de la dîme devrait être donnée aux démunis, donc, ces derniers devraient plutôt être les bénéficiaires de la dîme des autres membres de l’église, voyons-nous cela dans nos églises ?

Il est aussi étonnant que l’on reprenne que cette loi de la dîme et que l’on oublie les 600 autres lois de l’Ancien Testament.

Essayons maintenant de répondre à la question : pourquoi certains pasteurs demandent encore la dîme aux fidèles de son église ?

Il existe des pasteurs qui n’ont pas toute la connaissance sur ce sujet et ils se basent sur les traditions de leurs églises. « On l’a toujours fait, donc, cela doit être juste ». Elle est souvent présentée comme une loi de Dieu qui est toujours en application.

D’autres pasteurs demandent la dîme comme une participation des membres aux frais de l’église, pour le salaire du pasteur. Généralement, on laisse un libre choix aux fidèles de la payer ou pas.

Très peu de pasteurs disent clairement la destination de votre don de la dîme, on vous laisse dans le flou et on va utiliser des interprétations de versets de la Bible bien choisis afin que vous donniez avec plus de facilité. On stimule les membres d’églises afin qu’ils donnent la dîme avec des arguments non bibliques.

Il y a des pasteurs qui demandent la dîme pour leurs enrichissements personnels et ils sont bien plus nombreux qu’on ne le croit. En général, ce sont les pasteurs d’églises apostates que l’on va étudier dans ce présent livre. Nous voyons leurs richesses à l’œil nu et leurs richesses ne viennent pas de Dieu, mais de vous.

Les faux pasteurs et consorts diront que pour honorer Dieu, il Lui faut donner dîme et offrandes de toutes sortes, … Malheureusement, ce que vous donnez ne va pas pour des œuvres préparées d’avance pour l’œuvre de Dieu, mais bien dans les poches de ses faux pasteurs, il suffit de regarder à leurs trains de vie pour s’en convaincre.

On honore Dieu par l’amour qu’on lui donne, par notre sanctification, par l’amour pour notre prochain, en faisant le bien et non par un don d’argent.

Il est dit en Aggée 2/8 : « L’argent est à moi, et l’or est à moi, Dit l’Éternel des armées ». En fait, tout appartient à Dieu et Il nous a tout donné. Alors, pourquoi devons-nous Lui restituer quelque chose qui Lui appartient déjà. Par exemple, je vous donne 100 euro et quinze jours après, je vous dis : rends-les-moi, pensez-vous que c’est normal ? N’est-ce pas un affront, pourtant, on le fait à Dieu. Tout ce que Dieu va vérifier de nous par rapport à l’argent, c’est comment on va le dépenser ?

Ses pasteurs ne vous diront jamais la vraie destination de l’argent que vous donnez, pourtant, vous avez le droit de le savoir.

Les faux pasteurs et consorts allieront le paiement de la dîme à des bénédictions futures avec des exemples à l’appui. Ceux-ci sont bien souvent incontrôlables et quand ils le sont, on doit savoir que satan peut parfaitement enrichir quelqu’un afin de le garder hors Dieu et surtout par ses quelques exemples, il vous prédira que bientôt ce sera votre tour, vous risquez vraiment d’attendre longtemps. On vous fait miroiter la richesse et le pasteur en est la démonstration. Pourtant, c’est simple, vous qui donnez la dîme, vous vous appauvrissez, celui qui la perçoit, s’enrichit. Encore une fois, est-ce qu’on a à payer Dieu pour quoi que ce soit ? Pire encore, on ne fera aucune distinction entre le riche et le pauvre, car, tous doivent la payer, même la prostituée à qui on ne dira même pas d’abandonner ses activités, car, elle rapporte beaucoup plus d’argent qui si elle était femme de ménage.

Vraiment, si le paiement de la dîme avait pour effet d’enrichir le donateur, cela se saurait et se serait un formidable investissement et il en serait fini des chrétiens pauvres, voyez-vous cela ?

J’insiste : pour le chrétien, les bénédictions de Dieu sont principalement spirituelles et non matérielles. Celles et ceux qui recherchent d’abord les bénédictions de Dieu pour des biens matériels sont simplement des chrétiens de nom ou autrement dit des chrétiens remplis d’illusions, mais qu’ils ne le sont pas. Ils se mettent en danger de passer à côté de la vie éternelle, car, le but de Dieu pour nous est bien là, d’être à ses côtés après notre pèlerinage sur cette terre.

Dans certaines églises et particulièrement les églises où l’on prône un faux évangile, l’argent est un l’un des thèmes principaux prêchait par les faux pasteurs. Ces derniers n’ont pas peur d’utiliser la Parole de Dieu pour s’enrichir à vos dépends avec des versets bien choisis et surtout avec leurs propres interprétations qui sont bien différentes de ce que Dieu a voulu nous dire.

Prenons un simple exemple d’une église où 100 adultes sont membres et ils paient leurs dîmes. En sachant que chacun d’eux a un revenu d’environ 1500 euro net par mois, ce qui est un petit salaire en Europe, cela fait un total de 15.000 euro pour l’église. Au plus large, on peut estimer les frais de fonctionnement de l’église à la moitié de cette somme, donc, il reste 7500 euro pour le pasteur et c’est net d’impôts. Cela lui donne un salaire mensuel de ministre, est-ce normal ?

Je vais vous raconter une petite anecdote. En 2008, mon épouse et moi-même étions à Abidjan (Côte d’Ivoire). Une amie est alors venue nous rendre visite. Elle a un petit commerce et elle nous explique que son activité est en train de décliner, ainsi les temps étaient durs pour elle. Dans la discussion, elle nous parle aussi de sa vie d’église et elle nous raconte qu’elle recevait de la part des responsables de son église une enveloppe chaque mois pour y déposer la dîme. Évidemment, je lui ai fait comprendre que cela n’était pas normal et je lui ai demandé que lorsqu’elle rentre à sa maison, qu’elle prenne les enveloppes et qu’elle les brûle immédiatement. Elle a agi de la sorte et elle a quitté son église. Elle est revenue toute joyeuse quelque jours plus tard nous rendre à nouveau visite. Elle nous a alors informé que son commerce avait repris vie et qu’elle avait donc beaucoup moins de problème financier. Elle a aussi et surtout rejeté les sbires de l’église qui venait la rencontrer en son lieu de travail afin de récupérer les enveloppes qui devaient donc contenir les dîmes. Elle a été menacée, mais elle a tenu ferme.

En Afrique Noire, je fais le constat que tous et je dis bien tous les pasteurs connus et reconnus dans le monde chrétien demandent la dîme à leurs membres d’églises. Souvent aussi, ils vont bien plus loin que la demande de la dîme, ils demandent d’autres libéralités pour toutes sortes de raisons, ils iront à vous faire payer chaque service spirituel qu’ils vont vous rendre. N’ayez pas peur et ne vous laissez plus séduire par eux, ils vous trompent.

En Europe, on est juste un peu plus subtil. Beaucoup réclament la dîme avec insistance, ce sont ceux qui sont et qui vous conduisent dans l’apostasie. D’autres la revendiquent, mais n’en font pas une loi pour leurs églises et enfin, certains et malheureusement les moins nombreux ne la réclament pas et même en sont opposés. A vous de choisir.

Celles et ceux qui défendent la dîme, c’est qu’ils ont des intérêts personnels et que cela leur rapporte. Maintenant, c’est à vous de savoir si vous allez rester complices et continuer à les enrichir. Ils se nomment femmes ou hommes de Dieu, déjà le vrai terme à utiliser est : serviteur de Dieu. Je vous dirai fuyez, fuyez, fuyez et retrouver la liberté en Christ pour vos finances comme pour le reste.

Sachez aussi que si la dîme n’est plus d’actualité pour le chrétien, il n’en est pas pour autant que le chrétien doit être avare. Dans le nouveau testament, à maintes reprises, on parle de dons, de libéralités, de générosités. Dans les prochains chapitres, nous verrons comment le chrétien agit avec ses finances.

 

Chapitre 11                                         Le chrétien et l’argent

 

Un pasteur peut recevoir un salaire comme il est dit en 1 Corinthiens 9/14  « De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l’évangile, de vivre de l’évangile ».  Bien que je croie que le salaire est plus destiné à un évangéliste ou un missionnaire. La rémunération doit être tout simplement raisonnable.

La dîme, pour nous chrétiens, n’est plus d’actualité : un point c’est tout.  Alors, qu’on cesse de demander la dîme,  que l’on cesse d’utiliser ce subterfuge pour remplir les caisses des églises ou les poches des responsables de ces dernières, que l’on soit honnête en disant que pour la vie de l’église, on a besoin des dons des membres.  Maintenant, si ces derniers sont trop peu nombreux pour donner un salaire au pasteur, alors, il suffit que celui-ci se trouve un job.  Être pasteur n’est pas une profession, c’est une réponse d’un appel de Dieu.

Le chrétien peut parfaitement décider de donner 1, 5, 10 15,…% de ses revenus pour les frais d’église, mais cela se passe dans un libre consentement et il n’y a pas d’obligation.  C’est l’Esprit Saint qui doit vous diriger, même dans vos finances.

Dans le Nouveau Testament, on parle de collectes, de dons, de libéralités et on définit comment ceux- ci devaient être donnés :

Hébreux 10/34 : « Car vous avez montré de la sympathie pour les prisonniers et vous avez accepté avec joie l’enlèvement de vos biens, sachant que vous avez pour vous-mêmes des biens meilleurs et permanents ».

2 Corinthiens 9/7 : « Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie ».

Matthieu 6/4 : « en sorte que ton aumône soit faite dans le secret ; et ton Père qui voit dans le secret, te récompensera ».

Actes 11/29 : « Et les disciples, chacun selon ses ressources, déterminèrent d’envoyer quelque chose pour le service des frères qui demeuraient en Judée ».

1 Corinthiens 16/2 : « Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité, afin qu’on n’attende pas mon arrivée pour recueillir les dons ».

 

Il est facile de donner les quatre conditions lorsqu’un chrétien fait un don, celui-ci se fait :

1) avec joie,

2) dans le secret,

3) sans contrainte, donc sans obligation,

4) selon sa prospérité, selon ses propres ressources, donc, sans se mettre dans les difficultés financières ou pire dans les dettes.

Je ne vais pas en dire de plus sur le sujet, car, je pense que c’est très clair et surtout selon la Parole de Dieu.

 

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MAV : Je rappelle ce que j’ai mis dans le préambule:

 J’ai trouvé ce livre essentiel, vital, pour beaucoup de chrétiens au final bien mal enseignés, à une heure où les événements se précipitent et où une meilleure connaissance de notre Grand Dieu est indispensable pour avoir les yeux tournés vers le ciel, et non vers la terre où il n’y a que ruine, désespoir, peur, terreur, et quand tout empire, presque chaque jour.

Comme l’a dit notre Dieu par son prophète Osée :

 » Osée 6:3 Oui, cherchons à connaître l’Eternel, efforçons-nous de le connaître. Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore, et il viendra vers nous comme la pluie, comme les ondées du printemps qui arrosent la terre. »

Cette connaissance grandit dans la lecture de la Bible. Merci à Dominique de nous transmettre le fruit de son formidable travail. Je publierai un chapitre par semaine, chaque samedi – si je peux ! – car il y a largement matière à méditation dans chacun d’eux. Mais vous pouvez aussi demander à Dominique la totalité du livre dès maintenant, si vous avez soif de vous plonger bien plus vite et loin dans cette lecture. Nous avons tous, toujours, besoin d’être enseignés dans la vérité.


LIVRE DE DOMINIQUE :

 Ce livre vous est proposé gratuitement, donc, si on vous en demande de l’argent, refusez.

Auteur : Dominique Verheye, dans l’écoute du Saint Esprit. verheyed@gmail.com