J’ai repris du site de Thomas une partie d’une très intéressante étude qu’il a faite sur RencontrerDieu.com. Pour la lire en entier sur son blog:  http://www.rencontrerdieu.com/project/lesclavagisme-moderne-et-la-date-du-debut-de-la-delivrance-finale-prophetisee-dans-la-torah-paracha-bechalah/

New York statue de la LibertéTout au début de la sortie d’Egypte, la Torah et les commentaires des sages d’Israël nous révèlent une chose extraordinairement étonnante et prophétique sur le verset d’Exode 14.1-2 : le verset décrit  le symbole de la perversion de l’Egypte, que l’on retrouvera dans  le monde à  la fin des temps, durant la période de  la délivrance finale :

 » L’Eternel parla à  Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël; qu’ils se détournent, et qu’ils campent devant  Pi-Hahiroth (littéralement : Bouche de la liberté), entre  Migdol (Tours)  et la mer, devant  Baal-Tsephon   »  (Statue de la Divinité Egyptienne).   »  

En hébreu,   » Pi-Hahiroth «   vient de deux mots : le mot   » Peh «   qui signifie   » bouche « , et le mot   » Hiroth  «   qui fait référence au mot   » liberté « .  Le mot   » Migdol «   signifie   » tours  » et  »  Baal-Tsephon  »  était une statue représentant une divinité Egyptienne).

Le Rav Dynovisz* enseigne sur ce verset de la paracha Bechalah :

 » Dès la sortie d’Egypte : La Torah nous dit que lorsque le peuple est sorti d’Egypte, il a campé au pied d’une grande statue qui s’appelait  » La bouche de la liberté  » : une statue qui incarnait la liberté. Où se trouvait cette statue disent nos maîtres ? Elle se trouvait sur l’eau. Elle était en face de grandes tours. Nos pères sont sorties  d’Egypte, ils ont campé devant une immense statue qui est quelque part sur l’eau : elle était entre les eaux et face aux tours. Les maîtres posent la question : mais qu’est-ce que cette statue fait là  ? C’est la seule qui n’avait pas encore été détruite. Elle incarnait le symbole de l’idéologie Egyptienne :  » Pi-Hahiroth  » donne en français  » bouche de la liberté  » ou encore  » Liberté d’expression « .

paracha bechallah statue liberté egypte torah israelToute ressemblance avec une quelconque  »  statue de la liberté   » représentant une divinité païenne située sur les eaux et en face de grandes tours, est évidemment fortuite !  Car oui, la statue de la liberté est la statue d’une divinité païenne romaine nommé  »  libertas  « , comme nous le verrons plus bas.

Comme le souligne le Rav :  comment une civilisation qui fait de l’esclavage et du musellement des bouches, peut-elle avoir l’audace de prendre comme symbole la statue de la liberté et prôner la liberté d’expression ? … Personne n’a crié au scandale en voyant la civilisation de l’esclavagisme brandir  le  symbole la liberté !?

Mais finalement, n’en est-il pas de même aujourd’hui…? N’est-ce pas exactement ce qui se passe dans notre monde moderne ? N’est-ce pas régulièrement que l’on entend l’expression  » esclavagisme moderne  » de la part de quelques personnes plus ou moins éveillées qui crient au scandale face au terrible paradoxe  d’une société brandissant le symbole de la liberté tout en pratiquant la censure, la désinformation et le musellement des pensées et des bouches !?

En vérité, il est très intéressant de savoir que l’on éduquait les hommes et les esclaves depuis leur plus jeûne âge à  croire qu’ils vivaient dans le système le plus libre qui puisse exister.  C’est aussi pour cela que, selon les sages, 4/5 des enfants d’Israël sont restés en Egypte et ont périt durant la plaie de l’obscurité et c’est aussi pour cela qu’il y eut autant de murmures dans le désert… Leur pensée était si conditionnée, que plusieurs se croyaient libre en Egypte au point d’y  rester, mais également, peu après être sortie d’Egypte, plusieurs étaient prêt à  retourner en Egypte au moindre problème  ainsi qu’il est dit :   »  Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : le  chien  est retourné à  ce qu’il avait  vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier. «   (2 Pierre 2:22)  !

Le parallèle est frappant : L’ensemble des sociétés occidentales proclament la liberté alors qu’en vérité, chacun a été éduqué en tant qu’esclave d’un système qui lie etdessin-chaines-tele-tnt-telespectateur-enchaine  emprisonne les gens dans une idéologie uniformisée et imposée dès le plus jeune âge par le biais de  systèmes éducatifs, mûrement réfléchis pour conditionner le peuple dans une idéologie présentant une belle façade mais qui est en vérité destructrice, consumériste et esclavagiste.

Le fameux trio  »  Métros-Boulot-Dodo   » est connu de tous : esclave des transports qui polluent la vie de millions de personnes, esclave d’un travail que beaucoup n’aiment pas, dans des conditions déplaisantes pour la majorité, esclave d’une pensée pervertie véhiculée au travers de médias papiers et télévisés imposés à  la masse et soigneusement étudiés pour être utilisés en vue de distiller subtilement  des idéologies destructrice des valeurs fondamentales, en opposition aux valeurs de Dieu et de sa Torah parfaite. La société occidentale prône la liberté d’expression, tandis que jamais la vérité et la vraie liberté d’expression n’ont autant été falsifiées, les témoignages sont innombrables : dès qu’un discours quelconque, qu’il soit politique, économique, scientifique ou religieux, va à  l’encontre de la pensée dominante imposée par une poignée de pharaons modernes, il est systématiquement muselé, étouffé, censuré, condamné, éliminé.

Essayez donc de sortir du système sans l’aide de Dieu et vous constaterez rapidement dans quelles difficultés  ce chemin vous conduira… Combien de personnes seraient  capables de vivre du jour au lendemain sans internet, Tv, CB, téléphone et compte bancaires ? Quelques mots qui sont comme des menottes mises sur les poignées de nos vies. Oh, ces choses ne sont pas forcément mauvaises en soit, mais elles le sont devenus par la mauvaise utilisation qui en est faite et la dépendance malsaine qui s’est installée. Mais aussi, combien de personnes seraient réellement capables de choisir leur travail, leurs conditions de travail, leurs horaires ? Le moindre crash financier et le masque tombe : supermarché vide, pillage, meurtre, famine et c’est la bête humaine, plus terrible que jamais, qui refait surface… A part quelques rares cas, quelqu’un peut-il facilement subsister dans cette société moderne sans CB ni compte bancaire ? L’esclavagisme moderne est une réalité et cette parole de l’Ecriture est sur le point de s’accomplir :   »  personne ne pût  acheter  ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. «   (Apocalypse 13:17)

Dans notre texte, la statue de la divinité était sur les eaux, en face des tours. Ces détails sont très intéressants car les tours symbolisent aussi l’uniformité ainsi que l’eau :  »  ontelephone portable chaine esclave menotte  se ressemble comme deux gouttes d’eau   » dit le proverbe populaire. Jetez un coup d’oeil dans les métros parisiens et voyez comme cette uniformité est flagrante : tous marchant au même pas, dans la même direction, au même rythme et aux mêmes horaires afin de maintenir et faire vivre un système établi par une poignée de puissants pharaons qui imposent et enchaînent subtilement nos vies à  leur idéologie par toutes sortes de stratagèmes, empêchant la masse de se rebeller par cette injection massive  de plaisirs éphémères : séries Tv, Jeux vidéos, nouvelles technologies, drogues, etc. La majorité est devenue esclave des mêmes produits, des mêmes pubs, des mêmes magazines distribués gratuitement le matin dans les transports, tous sont affairés à  lire le même quotidien puis, téléphone portable enchaîné  au poignet, tous sont ensuite rivés sur leur petit écran, pris dans la spirale infernale d’un consumérisme effréné, ligotés au rythme infernal du métro-boulot-dodo par ces lourdes chaînes jetées sur les pensées et les coeurs du plus grand nombre…

 » Nul n’est plus désespérément esclave que celui qui est faussement convaincu d’être libre « 

L’Egypte moderne est bien là , sous nos yeux. Ce n’est pas sans raisons que les enfants d’Israël, dans le désert, après avoir eut la grâce de sortir d’Egypte, oublièrent vite les prodiges de Dieu et murmuraient contre l’Eternel, regrettant déjà  leur Egypte :   »  Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx. Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. «   et aussi :   »  quand nous étions assis près des pots de  viande, quand nous mangions du pain à  satiété « . Aujourd’hui encore, combien d’enfants de Dieu n’ont-ils pas cette réaction après que Dieu leur ait ouvert les yeux en leur accordant de sortir leur Egypte spirituelle :   »  Nous nous souvenons des plaisirs  que nous jouissions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, les bonne séries TV, les Jeux, les fêtes et les sorties à  tout va, les relations faciles et des drogues plus ou moins douces etc,… Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. « 

La fausse  »  liberté   » représentée aussi bien par l’Egypte ancienne que ce monde moderne, en est venu à  diviniser cette idéologie corrompue d’une liberté factice. La Statue de la liberté moderne, symbole perverti de la puissance mondiale de cette Egypte des temps  »  modernes  « , n’est que le reflet prophétisé 3000 ans plus tôt dans la Torah de cette falsification de la liberté fomenté par l’Egypte ancienne. Lorsque les enfants d’Israël sont sortis d’Egypte et ont vu cette même statue d’une divinité païenne, au milieux des eaux, en face des tours, publiant la liberté comme étant le symbole même d’une société en réalité esclavagiste, ils ne faisaient que vivre ce que le monde vivrait encore 3000 ans plus tard lors  de la délivrance finale.

Quelqu’un n’a-t-il pas dit :  » plus c’est gros mieux ça passe  » ?

Car oui, que cela soit dans notre verset de la Torah ou aujourd’hui, cette statue plantée sur les eaux en face des tours, est belle et bien celle d’une divinité païenne brandissant à   la face d’un monde  sans connaissance, un formidable écran de fumé nommé  »  liberté   » pour mieux voiler la réalité d’une situation nommée  »  esclavage spirituel, moral et matériel  « .

N’est-il pas dit : «   Mon peuple est détruit, faute de connaissance  (…)  puisque tu as oublié la Torah de ton Dieu, moi aussi j’oublierai tes enfants. «   (Osée 4.6).

Comme le dit Ruth* sur  le site messianique forum pro  :   » Le mot  »  liberté   » en Français était tout d’abord et avant tout le nom d’une déesse qui est ensuite devenue un mot dans la langue Française et latine pour désigner l’affranchissement.  D’ailleurs, c’est bien pour cela qu’en Anglais, ils ont un autre mot qui est  »  freedom   » tandis que la statue de la liberté est nommée en anglais :  »  statue of liberty   » « 

Effectivement, le Tome 26 de L’encyclopédie des connaissances humaines déclare :   » Liberté, déesse des Grecs et des romains. Les romains, qui l’appelèrent  »  Libertas  « , eurent cette divinité en singulière vénération, lui érigèrent quantité de statues « . Note : comme nous l’enseigne les sages d’Israël, au travers d’un tel symbole d’une divinité païenne et romaine, nous voyons ici encore, à  quel point le monde occidental (Europe + USA) possède les traits de l’empire romain païen et idolâtre et donc, d’Edom/Essav (Voir cette étude détaillée :  L’origine et Les vrais responsables des attentats de Paris dévoilés dans la Torah d’Israël – Paracha Toldot)

moshé moise mer jonc rouge traversee torah dieu hashemAinsi, la symbolique de la délivrance opérée par Dieu en faveur de ces 1/5 des enfants d’Israël ayant  eut le courage de sortir d’Egypte, culmine à  son paroxysme  lors de la traversée de la mer rouge : l’eau, qui représente cette uniformité de la pensée Egyptienne, se voit déchirée en deux pour laisser passer librement le peuple de Dieu et  ensuite  engloutir les armées de pharaons pour enfin permettre au enfants d’Israël  de se frayer un chemin au travers des eaux déchirée de la pensée unique, se dirigeant tout droit vers la lumière incarnée en bout de course, par la précieuse Torah reçue sur le mont Sinaï. C’est cette Torah que nous étudions ici en 2016, chaque semaine à  travers le monde, et qui fut donnée jadis par la bouche même du Dieu de l’univers, lorsqu’il s’est dévoilé avec puissance à  toute l’assemblée d’Israël :   »  Tout le peuple entendait les tonnerres et le son de la trompette; il voyait les flammes de la montagne fumante. A ce spectacle, le peuple tremblait, et se tenait dans l’éloignement. «   (Exode 20.18)

Tout ceci est assez extraordinaire, vous en conviendrez. Mais ce n’est pas tout ! Constatons ensemble  une  incroyable  synchronicité au niveau des dates :

Dans la paracha, au début du  retour du peuple juif, nous voyons les enfants d’Israël camper devant cette   »  statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours  « . Maintenant,  prenons  la date de la première vague de retour des juifs en Israël, et comparons la avec la date de l’inauguration de   »  la statue de la liberté au milieu des eaux, en face des tours  «   :

Peu  avant la création de l’état d’Israël, la date d’une des premières alyas majeure (début du retour en terre sainte du peuple juif comme annoncé par les prophètes)  se déroule de 1881 à  1890 environ. Nous sommes ici au début du retour des enfants d’Israël en terre sainte (cela correspond donc au début de la sortie d’Egypte).  Au même moment, en 1886, la statue de la liberté plantée au milieu des eaux en face des tours est officiellement découverte au grand jour !

La correspondance au niveau de la chronologie est identique à  celle de  notre paracha : Dès le début de la sortie d’Egypte et du retour d’Israël vers sa terre, nous voyons aussi cette   »  statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours  «   ! Ainsi, nous pourrions même oser dater le début du processus de la délivrance finale pour les années 1880 !

Conclusion

Nous sommes dans les tous derniers temps et des temps terribles de jugements vont s’abattre encore sur ce monde et balayer comme des ordures toutes statues de divinités païennes représentatives de systèmes idéologiques  factices et pervertis. La déesse  »  Libertas   » et toute l’idéologie factice qu’elle représente, arrive en fin de vie, si toute fois elle a un jour été vivante. Dieu a assez attendu et les temps sont proches ainsi qu’il est dit :

 » J’ai longtemps gardé le silence, je me suis tu, je me suis contenu; Je crierai comme une femme en travail, Je serai haletant et je soufflerai tout à  la fois. Je ravagerai montagnes et collines, Et j’en dessécherai toute la verdure; Je changerai les fleuves en terre ferme, Et je mettrai les étangs à  sec. Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, Je les conduirai par des sentiers qu’ils ignorent; Je changerai devant eux les ténèbres en lumière, Et les endroits tortueux en plaine : Voilà  ce que je ferai, et je ne les abandonnerai Point.  Ils reculeront, ils seront confus, Ceux qui se confient aux idoles taillées, Ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux ! «   (Esaïe 42)

La Torah est le laboratoire de l’histoire humaine, elle contient tout et Dieu nous enseigne ici un enseignement précieux pour ceux qui ont un coeur pour comprendre : allons-nous cesser d’endurcir nos coeurs pour enfin se repentir de nos fautes et suivre les voies de Dieu par la foi en Son Grand Nom et en son Messie Yéshoua ? Allons-nous enfin nous laisser avertir afin de sortir de notre Egypte physique, spirituelle et morale (esprit du monde et de l’apostasie) afin de suivre, sans murmurer, la nuée de Dieu, pour recevoir la Torah et se diriger ensuite vers la Terre promise qui est le royaume de Dieu ?

La Torah de Dieu est parfaite et véritable, son enseignement vaut plus que l’or le plus fin et la sagesse qui s’en dégagesource salut rocher yeshoua messie jesus desert moisevaut mieux que tous les trésors de ce monde. Tout y est ! Merci HaShem (Dieu en hébreu) pour un tel bienfait ! Merci au Messie d’Israël que nous croyons être Yéshoua, et qui ramène, par son esprit un nombre considérable et grandissant de gens des nations, de juifs et d’Israélites vers la Torah de vérité ainsi que le Messie a dit de Lui :   »  Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à  moi. «   (Jean 12:32) et aussi :   » Car la terre sera  remplie de la  connaissance  de l’Eternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. «   (Ésaïe 11.9).

Et évidemment : merci au peuple juif, qui a su conserver au travers les siècles la Torah de vérité et les enseignements des sages d’Israël pour retransmettre aujourd’hui encore, au monde entier, les joyaux de la sagesse de Dieu, malgré les attaques incessantes du satan ! Que l’Eternel bénisse son peuple, apporte la paix à  Jérusalem et face du bien à  tous ceux et celles qui le craignent, touchant aussi le coeur de tous ceux qui sont encore loin de Lui, permettant au plus grand nombre de monter dans cette glorieuse arche moderne dont la charpente est constituée du bois de la repentance et  dans laquelle nous trouvons  les sources du salut, de la sagesse, de la connaissance et ce délicieux pain de vie donné gratuitement à  qui veut bien, par la foi en Yéshoua le Messie d’Israël. Que Dieu nous aide dans nos faiblesses, nous apporte la consolation et use encore et encore de miséricorde face à  nos si nombreuses fautes. Que le Seigneur des armées, Adonaï, le Dieu de toute espérance, nous garde dans ses sentiers véritables, ceux de la Torah et de son Fils Yéshoua, le Messie d’Israël. Amen vé amen.

 » Dans le Messie sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance «  (Colossiens 2.3)

Etude de Thomas, inspirée de sources juives et d’un commentaire du RavDynovisz* sur la paracha Bechalah

*Mise à  part les interventions sur ce site, nous ne cautionnons pas forcément tous les propos et les enseignements des personnes citées dans cet article.