silh-homme-SENote M.A.V.: Ce témoignage me touche particulièrement car le Seigneur s’est servi de moi à  plusieurs reprises pour Charles. J’ai vu de mes yeux la conversion, puis la transformation, et cela, ce sont vraiment des merveilles de Dieu qui nous encouragent et nous donnent une grande joie!

CHARLES : J’ai grandi dans une famille catholique, après avoir suivi des cours de catéchisme et fait ma première communion, j’ai laissé la religion de côté pour mener ma vie comme je l’entendais. J’avais une idée confuse de Dieu, certes il devait sûrement y avoir quelque chose mais si Dieu existait pourquoi y avait-t-il encore des guerres, des famines, des abominations sur terre ? J’ai continué mon parcours avec cette pensée.

Mon chemin était plutôt ‘agréable’, je réussissais plutôt bien mes études, mes parents m’aidaient, je menais une jeunesse assez dorée…néanmoins derrière cette belle couche de fond de teint, le fond était creux et vide et je courrais après tout et n’importe quoi pour essayer de pallier ce vide, ce manque que seul Dieu peut combler.

Arrivé en classe préparatoire, je rencontre une fille pas comme les autres, Clémence : contente de vivre, souriante, et vraiment différente du reste de la classe (Elle ne semble pas abattue par ses études, ni même déprimée, ou encore moins angoissée, mais dégage une paix inexplicable, une joie de vivre hors du commun). Le comble, cette dernière ne boit pas d’alcool, ne sort pas, ne fume pas et porte une bague avec le nom de ‘Jésus’ inscrit dessus… très bizarre, incompréhensible. On parle, on rigole, on devient amis, on partage : elle me parle de Dieu, de Jésus, de la Bible. Merci c’est gentil, mais j’ai construit ma vie sans, je m’en suis assez bien sorti, je n’en ai pas besoin, je ne suis pas un faible – je m’en sortirai tout seul (quel orgueil !), comme je l’ai toujours fait. Je me suis construit moi même, tout seul, et je n’ai besoin de personne, je me débrouille parfaitement !

Après, de longues discussions, des temps de partages, je m’avoue que ma vie est en fait sens dessus -dessous, et que je n’arrive plus à  tout cacher, et enfouir … les vannes explosent ! Je reconnais que ça ne va pas, mais ce n’est pas pour autant que j’ai besoin de Jésus !

Je vais m’échapper et quand je reviendrai tout ira mieux, j’ai passé un an à  l’étranger entre les USA, la Chine et le Canada. Dieu n’a pas cessé de me travailler sans que j’en sois conscient pendant cette année hors de France. Aux Etats-Unis j’ai rencontré beaucoup de chrétiens sans le savoir, j’ai sympathisé avec une dame plus âgée très gentille qui m’encourageait, m’aidait à  m’en sortir… bref je ne comprenais d’où lui venait cette gentillesse (je ne savais pas pourquoi, j’ai compris peu après, elle était chrétienne, elle aussi). En Chine, mon colocataire me raconte comment son meilleur ami du jour au lendemain a tout laissé tomber pour consacrer entièrement sa vie à  Dieu, dans un monastère. Puis j’ai fini par le Canada, où j’ai commencé à  racler le fond, mais ce que je n’ai pas vu sur le coup mais ce dont je me suis rendu compte après c’est que Dieu était là . J’ai rencontré un groupe d’étudiants asiatiques sympas, une des filles du groupe s’avère être chrétienne et m’invite à  l’Eglise… Je n’y suis pas allé.

Mon retour en France, a été comme un boomerang, bim tout ce que j’avais laissé un an auparavant, en espérant que ça ait changé à  mon retour, était intact, voire pire et il fallait que je reparte avec ce que j’avais laissé.

Durant tout ce temps j’étais resté en contact avec Clémence, qui était une vraie bouffée d’air. Une fois rentré en France, elle m’invite à  un séminaire chrétien, je laisse la question en suspens pour finalement accepter une semaine avant le début du séminaire. La semaine qui a précédé le séminaire a été assez difficile, et je lui ai finalement décliné ma présence.

Lundi, jour du début du séminaire, je reçois une sms de sa part, pour le séminaire. Je campe sur mes positions.

a maman m’invite à  manger le midi mais je viens de rentrer d’un an à  l’étranger, je vais manger avec mon papa ce midi. Une demi heure après ce texto, je reçois un coup de fil de mon papa m’annonçant qu’il ne rentrerait pas manger avec moi ce midi, pour cause de travail… Mon papa rentre toujours manger le midi à  la maison même s’il n’a que très peu de temps, il aime bien cette coupure. D‘autant plus incompréhensible que je venais juste de rentrer à  la maison et je pensais déjeuner avec lui.

Je continuais d’échanger des sms avec mon amie, je lui dis que je suis seul finalement ce midi, et que je viendrais bien manger chez elle.

J’arrive chez ses parents, timide, mal dans mes baskets, entourés de chrétiens. Nous nous mettons à  table. Je mange en face de Michelle (la dame qui prêche pendant le séminaire). Je sens une tension intenable en moi depuis le début du repas, je ne comprends pas, j’ai qu’une envie : fuir.

Note MAV: Cela me fait toujours sourire quand j’entends raconter ces réactions. Car j’y suis très accoutumée, et je sais, par expérience, qui a envie de fuir: ce n’est pas la personne, ce sont ses squatters qui connaissent toujours ceux qui exercent la délivrance, et savent donc que leur tranquillité risque de ne plus durer longtemps ! Mais à  ce stade, bien qu’il soit assis en face de moi à  table, j’ignorais tout de Charles, et je ne savais rien de ce qu’il ressentait. Encore moins qu’il n’était pas encore chrétien… C’était juste « un ami de la famille », chrétienne, elle.

Charles : Question de politesse je ne peux pas prendre mes jambes à  mon coup au beau milieu du repas. « Sois fort, c’est bientôt fini « (ou pas mais ça je ne le savais..). Et là  dans la conversation, Michelle dit une phrase qui me percute de plein fouet :  » Je plains les enfants qui ne grandissent pas dans une famille chrétienne « .

Note MAV: Là  encore, cela me fait sourire. J’ignorais ces détails avant de recevoir (aujourd’hui   2 Octobre!) le témoignage de Charles, presque deux ans après. Mais c’est étonnant comment le Seigneur peut mettre des mots dans notre bouche, qu’on prononce au fil de la conversation, parmi des « banalités », mais qui vont faire mouche dans le coeur de celui que Dieu cherche !

Charles : Incontrôlables, les flots de larmes coulent, et je ne peux me contenir : je me remémore toutes les blessures non guéries et encore à  vif. Je me reprends quelques minutes après. Le repas se termine. Je passe l’après-midi à  discuter, parler, le temps passe assez vite, et la première session du séminaire commence le soir à  19h. Finalement je reste, et je décide de voir ce que c’est… Je n’ai pas mis les pieds dans une église depuis plus de 10 ans.

Je ne suis pas seul, je suis entouré, ce qui me rassure un peu. La réunion commence par des chants de louanges, les gens se lèvent chantent avec leur cœur, ensemble. Bon, ok ça va je maîtrise la partie louange, différente de l’église de mon enfance mais je surmonte. Ensuite, un temps d’enseignement est dispensé, j’écoute plus ou moins (on m’a déjà  parlé de Jésus pendant des années au catéchisme, merci je connais). Jusque là , je gère plutôt pas mal. Enfin, Michelle se met à  prier pour des personnes de l’assemblée, là  rien ne va plus en moi, je ne gère plus du tout… Le temps de ministère continue, et je m’effondre en larmes, sans savoir vraiment pourquoi.

J’étais pas bien, très mal à  l’aise, je pleure, pleure, pleure sans même pouvoir m’arrêter, je ne comprends pas. Je ne peux pas m’arrêter, cela dure une demi heure, le temps de finir la réunion. J‘attends pour dire au revoir et merci de m’avoir reçu, et vite partir car je ne suis pas bien du tout, je ne sais pas pourquoi je continue de pleurer. Malgré mon état, je suis prêt à  conduire car après m’être « ridiculisé « à  pleurer dans une pleine assemblée, c’est bon je veux arrêter cette journée et rentrer me cacher dans mon lit. Les parents de Clémence m’invitent à  prendre une boisson avant de partir pour que je me remette un peu, je suis toujours en pleurs, nous allons boire un thé. Je rentre dans la maison, je suis très mal, je ne sais où me mettre je cherche le trou de souris le plus proche, et les sanglots ne s’arrêtent pas :  » Charles contrôle toi, c’est quoi ça ! Tu pleures depuis 45 min ça va, reprend toi ! « 

Je ne peux pas.

Michelle, qui est hébergée dans cette famille pour la durée du séminaire, est aussi présente. Elle vient vers moi, prie, je pleure et   elle me pose une question

–  » Veux-tu donner ta vie à  Jésus ? « .

C’est la guerre en moi, je ne comprends rien ça me tire d’un côté, de l’autre, je pleure, ça s’agite.

Michelle me repose la même question, une petite voix en moi me dit:

–  » oui vas’-y  » !

mais une partie de moi s’y oppose de toute ses forces. Je ne réponds pas. On me demande une réponse, je dois répondre. Cette petite voix revient et réaffirme son « oui ». Je le dis à  haute voix, ‘Oui‘. Oui je décide de suivre Jésus, mon Sauveur et Seigneur. À peine ses paroles sorties de ma bouche, les pleurs cessent, les larmes se sèchent, je suis en paix comme jamais je ne l’avais été auparavant. J’ai reçu Jésus dans mon cœur. Alléluia.

Note MAV: Je ne fais pas de conversions au forceps ! Mais je voyais Charles pleurer, être bouleversé, et je SAVAIS que c’était Dieu qui le touchait au plus profond: c’était l’heure !

Suite à  ma conversion, je me rends à  la semaine entière du séminaire, où Jésus me délivre de beaucoup de chaines et autres démons, après que j’ai confessé   mes péchés et fautes. Ma vie a littéralement changé après cette rencontre, j’ai soif de Dieu, de Jésus, de sa parole et ma vie a retrouvé un sens.

Je grandis peu à  peu dans ma vie chrétienne, et un obstacle est toujours là . Je prie, je demande à  Dieu de me libérer, parce que j’en bave vraiment : je sais que ce n’est pas juste mais néanmoins c’est là  en moi et ça me pousse toujours, je dois me battre et me rebattre. J’ai l’impression que la bataille n’est pas gagné, alors que j’ai compris que Jésus avait tout vaincu à  la croix, tous les péchés il les avait portés et j’étais libre de ne plus pécher. Là  je ne comprenais pas car, je ne voulais pas pécher, mais, en moi, cette « force » me poussait.

Ce qui me faisait souffrir c’était le fait  » d’être homosexuel «  ou du moins d’être attiré sexuellement par les personnes du même sexe que le mien. Ce n’était pas nouveau, je crois n’avoir jamais vécu sans. Je suis né avec cette attraction sexuelle au fond de moi. Néanmoins, je savais dans mon cœur que ce n’était pas juste, que ce n’était pas moi. Mais cette attirance persistait, et c’était dur à  repousser … d’autant plus que le monde autour de moi était en train de me dire que c’était normal, c’était moi !

j’étais gay, c’est tout, que je n’avais qu’à  l’accepter !

Je refusais, car je sentais que ce n’était pas juste et que l’accepter ne me rendrai pas plus heureux. Je cherchais un peu partout pour savoir si ce que j’avais au fond du cœur était juste ; auquel cas il fallait encore persévérer, Dieu me libérerait. Je suis tombé sur un tas de choses sur internet, sur des sites chrétiens où l’homosexualité ne semble plus être un péché; on le justifie par ‘Dieu est amour, il m’aime comme je suis’ (certes Dieu est amour, nous aime, mais ne supporte pas le péché, il est trois fois Saint).

Merci Seigneur, j’ai aussi lu un article qui m’a percuté concernant la sexualité et les relations dans la Bible… l’article était assez évasif mais concluait sur le verset 1Corinthiens 10.31 :  » Ainsi, que vous mangiez, que vous buviez, bref quoi que ce soit que vous fassiez, faites TOUT pour la gloire de Dieu.  » Je n’avais jamais parlé de mon problème, excepté à  Clémence. Néanmoins on m’avait souvent posé la question, à  laquelle j’ai toujours répondu par la négative. Je me disais que ce n’était pas pour la gloire de Dieu, donc je dois continuer à  chercher pour savoir ce que Dieu nous dit. J’ai ouvert ma Bible (ce que j’aurais dû faire dès le premier instant), et j’ai cherché dans le lexique de fin les versets traitant du sexe, je les ai quasiment tous parcourus.

J’ai assez vite compris que ce comportement n’était pas la volonté de Dieu, et encore moins érigé pour sa gloire.

Romains 1:24-28

La Bible du Semeur (BDS)

               » 24 C’est pourquoi Dieu les a abandonnés aux passions de leur cœur qui les portent à  des pratiques dégradantes, de sorte qu’ils ont avili leur propre corps. 25 Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, lui qui est loué éternellement. *Amen! 26 Voilà  pourquoi Dieu les a abandonnés à  des passions avilissantes: leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à  des pratiques contre nature. 27 Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. 28 Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à  leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas. « 

1 Corinthiens 6:9-11

La Bible du Semeur (BDS)

                 » 9-10 Ne savez-vous pas que ceux qui pratiquent l’injustice n’auront aucune part au *royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: il n’y aura point de part dans l’héritage de ce royaume pour les débauchés, les idolâtres, les adultères, les pervers ou les homosexuels, ni pour les voleurs, les avares, pas plus que pour les ivrognes, les calomniateurs ou les malhonnêtes. 11 Voilà  bien ce que vous étiez, certains d’entre vous. Mais vous avez été lavés, vous avez été *purifiés du péché, vous en avez été déclarés justes au nom du Seigneur Jésus-Christ et par l’Esprit de notre Dieu. « 

Je m’accroche alors à  Jésus, et continue de prier. Seigneur pardon pour les péchés que j’ai fait, délivre moi de ça, je sais que ce n’est pas vraiment moi tel que tu m’a crée, je n’en veux plus de tout ça ! Le Seigneur a répondu à  mes prières, j’ai rencontré à  nouveau Michelle, qui a prié pour moi et Jésus m’a délivré de l’homosexualité. Alléluia

Note MAV Dieu avait vraiment organisé les choses ! C’était parce que je me trouvais entre deux séminaires que j’étais restée dans ce lieu, chez les mêmes amis, ce que normalement je ne fais jamais: je rentre « entre deux » chez moi; Mais là , je sentais que Dieu voulait que je reste dans ce lieu quelques jours. Et la famille m’a amené Charles. J’avais déjà  participé à  plusieurs délivrances d’homosexuels, avec des résultats stupéfiants, comme de voir la voix d’un homme muer de deux octaves en quelques heures de délivrance et son visage se transformer ! Mais JE NE SAVAIS PAS COMMENT DIEU AVAIT ALORS CONDUIT LES CHOSES, me contentant de prier en langues et persévérant dans la prière alors que je voyais que le Seigneur agissait puissamment. Pour plusieurs d’entre eux, même, ce n’est QU’APRÈS COUP qu’ils m’ont avoué quel était leur problème et de quoi ils venaient d’être délivrés.

Mais, avec Charles, j’ai demandé au Seigneur de me conduire pas à  pas. Par vision successive, Dieu m’a révélé les causes de l’homosexualité de Charles, et cela commençait par l’héritage familial d’idolâtrie et de sorcellerie… Mais il y avait bien d’autres choses.

Cela a duré trois heures, et des esprits méchants sortaient les uns après les autres. Ce n’était pas une mince affaire, c’était même très violent. Mais je me souviendrais toujours quand j’ai ordonné à  « l’esprit féminin de sortir ». C’était un des tous derniers. J’ai vu les yeux de ce démons, fixes, remplis de peur, mais surtout de haine ! Il s’était bien tapi jusqu’alors… Il a fini par sortir, au nom de Jésus, en poussant de grands cris ! C’était vraiment un instant particulier, tant j’avais senti la présence de Dieu durant tout ce temps de délivrance, et la puissance aide du Saint-Esprit, notamment par les révélations successives qu’Il me donnait. J’ai ainsi vu comment, depuis sa plus tendre enfance, Charles avait été lié par touches successives, parfois par ce qui eut sembler de banals jeux d’enfants… L’ennemi sait comment lier les gens de plus en plus, fil par fil, corde par corde … Mais IL EST VAINCU AU NOM DE JÉSUS; La délivrance, de fait, même ces délivrances d’homosexuels, n’est qu’une question de foi et de persévérance.

Mais je veux souligner quelque chose d’important et qui a été la clé de sa délivrance: Charles n’acceptait pas son état, malgré tout ce que le monde, et même le monde chrétien lui offrait comme bonnes excuses. Il savait que c’était mal, il en souffrait, il avait crié à  Dieu durant des mois, s’était profondément repenti de tout ce qu’il avait fait dans le domaine. Donc l’ennemi N’AVAIT PLUS DE DROIT LÉGAL ! On ne saurait trop insister sur cet aspect du renoncement, de la résistance au péché et de la repentance, qui sont les clés de toute délivrance, quelle que soit le degré de difficulté du problème ! Dans les autres cas de délivrance d’homosexuels qu’il m’a été donné de voir et où Dieu s’est servi de moi, j’ai pu vérifier que Dieu avait agi essentiellement parce que ces personnes REFUSAIENT D’ACCEPTER LEUR ÉTAT, le considéraient comme un abomination puisque la Bible le disait, et avaient eux-aussi résisté autant qu’ils le pouvaient et crié souvent longtemps à  Dieu !

Charles :  Quelques jours après cette délivrance, je me rends dans un café parisien avec une amie. Deux jeunes hommes homosexuels entrent dans le café, le stress commence à  monter en moi, car chaque fois que cela arrivait auparavant, c’était comme si une connexion s’établissait: ON SE RECONNAISSAIT D’EMBLÉE ! Mais je me posais des questions: «  Comment je vais esquiver la situation à  nouveau ? Jésus m’a délivré, c’est vrai, mais vraiment, je ne vais plus être attiré du tout, sentir ces regards de connivence qui s’échangeaient et se comprendre en un coup d’œil »

Alors, je jette un coup d’œil à  leur table, et… ils ne me voient même pas. Ok ! peut-être n’est qu’un coup de chance. Je réessaye, en posant mon regard sur eux, cherchant leurs regards. Ils ne me voient pas, comme si un voile protecteur nous séparait. Ils ne m’ont pas vu et encore moins considéré ! C’était bien la première fois que cela se produisait.

J’ÉTAIS LIBRE, VRAIMENT LIBRE   ! Alléluia!

Je m’empresse de raconter cette expérience à  mon amie, je suis libre, et je peux encore en témoigner aujourd’hui, des mois et des mois plus tard. Gloire à  Dieu.

DIEU M’A DÉLIVRÉ DE L’ENFER DE L’HOMOSEXUALITÉ !