« Le Courroux de Dieu résonne comme le rugissement d’un Lion, ceux qui l’ont causé sont morts désormais. C’est l’honneur d’un soldat que d’éviter le combat car il n’y a que les fous qui cherchent la guerre. »

Parfois, il est difficile de porter tel un fardeau la certitude d’un choix que l’on sait juste. Juste au regard de notre Foi, parce que notre espérance est au-delà de ce monde.

Hélas, notre corps est encore sur la surface de cette terre et nos pieds ancrés sur le sol que nous devons fouler jusqu’à la fin.

Les attaques viennent de toutes parts, les pressions s’accélèrent et nous voilà bien misérables parfois, en tout cas bien petit devant ces forces qui se déchaînent autour de nous !

Tout semble nous écraser et j’ai la sensation qu’il en faudrait peu pour être balayé dans l’oubli hors de ce tumulte infernal qui se déverse sur le monde chaque jour davantage.

Je me demande ce que penseraient ceux qui nous ont précédé, dans les persécutions et les souffrances, isolés, emprisonnés souvent et tués parce qu’ils refusaient d’abdiquer aux lois profanant celles de Dieu.

Les combats n’ont jamais cessé et bien des hommes pourraient sortir des tombeaux pour en témoigner même si leur âme sont, elles, dans un lieu divin qu’aucune puissance ne peut atteindre dorénavant.

Et j’ai à l’esprit le nom de David. David un simple berger devenu Roi, un Roi bien courageux et fou de ce Dieu, le même que nous adorons aujourd’hui.

David qui prenait soin des brebis, un troupeau qu’il veillait avec patience et un attachement certain.

Il pansait les blessures, cherchait sans relâche si l’une d’elle s’était égarée, partait à la poursuite des prédateurs imprudents pour en arracher la proie de leur gueule. David mena le troupeau comme le peuple avec un cœur intègre, et les conduisit avec des mains intelligentes.

Ce berger doux et attentionné envers de simples brebis avait touché le cœur de Dieu, et c’est par cet homme humble et pétri de bravoure que Goliath, un géant terrifiant Israël, fut vaincu et humilié avec une arme des plus surprenantes : une fronde et une pierre !

Nous pourrions imaginer aujourd’hui Goliath non plus comme un homme extraordinairement fort, mais comme une Union Européenne qui encercle, impose, terrifie, ordonne et oblige les peuples à plier le genou.

Une « bête » monstrueuse qui déploie ses tentacules de haine et de peur, diffuse ses pensées perverses et mensongères, elle s’infiltre partout, sur toutes les images, surfe sur le virtuel pour en extraire la colère et la confusion.

Des nations comme l’Australie ou le Canada demandent de l’aide, l’aide internationale par le biais d’hommes et de femmes écrasés sous le poids de ce « monstre » infernal.  Ils ne savent pas pour la plupart que le compte à rebours à commencé.

Toutefois, le « Berger » veille sur ses brebis, un berger hors du commun, dont le nom est écrit en lettres lumineuses : Jésus-Christ.

Il nous protégera de tous les dangers, nous arrachera à l’ennemi avec puissance et nous relèvera quand nous serons brisés.

L’année 2022 sera une année spectaculaire, je le sens, je le discerne !

Nous avons été préparés et avertis, certes, mais renforçons notre « système immu-spirituel« , imprégnons-nous de sa Parole, revêtons-nous de son courage et sa détermination, abritons-nous derrière ce « Berger » face à un « Goliath » moqueur et méprisant. Pour un temps.

Et tel un manège de foire, les secousses vont être vertigineuses et rapides, soyez donc sur vos gardes.

Source a-l-aube-de-l-esperance.over-blog.com