chiotAujourd’hui j’aimerais vous partager une histoire qu’Anne-Marie, une lectrice de « Un Miracle Chaque Jour » m’a fait parvenir. Ce récit m’a beaucoup ému.

Un agriculteur avait des chiots qu’il voulait vendre.  Il fit un panneau, informant qu’il avait 4 chiots à  vendre et le cloua à  un poteau sur le côté de sa cour.

Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il sentit quelqu’un qui lui tirait le pantalon…

Il vit un petit garçon qui le regardait.

« Monsieur », dit-il, « j’aimerais  veux acheter un de vos chiots. »

« Eh bien »,  dit le fermier, en frottant la sueur à  l’arrière de son cou: « Ces chiots viennent des parents très racés et coûtent beaucoup d’argent ».

Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de pièces et la tendit à  l’agriculteur.

« J’ai trente-neuf euros. Est-ce suffisant pour acheter un? »

« Bien sûr »  dit le fermier… Et il laissa échapper un sifflement. « Ici, Princesse! »  Venant de la niche et descendant la rampe, Princesse courut, suivie de quatre petites boules de fourrure.

Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à  la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d’autre qui remuait à  l’intérieur de la niche.

Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa. Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot clopina  vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper…

« Je veux celui-là  » dit le petit garçon, pointant le chiot. L’agriculteur s’agenouilla à  côté du garçon et lui dit:

« Mon fils, ne prends  ce chiot. Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. »

Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à  remonter une partie de son pantalon.

Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue…

En regardant vers l’agriculteur, il dit : « Vous voyez, Monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu’un qui le comprend. »

Avec des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot… Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.

« Combien ?  » demanda le petit garçon…

« Rien », répondit le paysan, « il n’y a pas de prix pour l’amour. »

Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu’un qui les comprenne.

Peut-être avez-vous souffert ? Dieu peut vous aider à  transformer cette souffrance en miracle pour les autres.

Merci d’exister,
Eric Célérier