(Statuette du démon Pazazu)

 » Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu «  (Mat 10 :26)

Chaque nation un jour ou l’autre paiera chèrement le prix de sa propre histoire. Là  où le sang a coulé, alors le sang coulera de nouveau, d’une façon ou d’une autre, là  où la cruauté et la méchanceté auront fleuri, alors de nouveau la méchanceté et la cruauté séviront car Dieu tire vengeance de ces choses et il punit la faute des pères sur les enfants.

S’il livre les nations à  leurs ennemis, et c’est ce que nous constatons dans les jours que nous vivons, c’est que les nations se sont rendues coupables en se livrant à  l’idolâtrie et à  la débauche de la manière la plus abominable et la plus abjecte qui soit, à  l’exemple de ses dirigeants.

Aujourd’hui le mal s’affiche sans vergogne au vu et au su de tous, les hommes n’ont même plus honte de leurs péchés, on nomme désormais bien ce qui est mal et mal ce qui est bien. L’homme ne domine plus rien, ni de lui-même ni de la nature qui l’environne, il est au contraire dominé par ses passions mauvaises. Voici le temps du jugement des nations. L’humanité déchue a tant aimé le péché, qu’à  présent la voici bientôt livrée aux mains de l’homme impie qui arrive pour prendre possession des peuples afin de les placer sous un joug dominateur implacable et cruel.

 » Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu «  (Rm 3 :23)

 » Ils sont donc inexcusables, car ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous ; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles. «  (Rm 1 :20-23)

Le monde regorge de symboles, d’effigies et autant de signes qui impliquent de grandes activités démoniaques. Pas une seule capitale n’y échappe ; ceux-ci sont d’ailleurs si nombreux qu’on aurait bien du mal à  tous les répertorier. Ainsi à  Paris avons-nous droit à  l’Obélisque de la Concorde, la pyramide du Louvre et quantité d’autres  » marques  » de l’occultisme, sans oublier les innombrables statues  » religieuses  » de la Reine du ciel et autres qui encombrent les églises et ne servent à  rien d’autre qu’à  attirer des malédictions sur le pays.

À Londres, la banque Rothschild vient d’acquérir pour la modique somme de 670 000 euros une reproduction du  » roi des démons  » Pazuzu, idole issue de la mythologie mésopotamienne (la Mésopotamie étant l’Irak actuelle) datant du 1er millénaire avant JC. Cette statue a été conçue par un artiste italien, Roberto Cuoghi, spécialiste de l’horreur et de l’innommable dans son domaine. Elle vient d’être érigée à  Londres. Pour la petite histoire, sachons que ce Pazuzu est le roi des démons, spécialisé dans les vents du sud-ouest porteur d’orages, et le fils du dieu Hanbi qui règne sur l’enfer… Ce démon fut utilisé par le cinéaste William Friedkin en 1973 dans son  » fameux  » film l’Exorciste, dans la lignée et la même veine que le Rosemary’s Baby de Polanski (illuminati et adepte de pédophilie).

On peut s’interroger sur le lien qui pourrait exister entre ce démon et la guerre en Irak… et sur les catastrophes climatiques qui sont en train de s’abattre sur l’Europe et le monde en général ces derniers mois. Bien sûr Pazuzu n’est autre que Satan lui-même- le prince de la puissance de l’air- représenté sous une forme particulière propre à  la culture et la civilisation babylonienne.

 » Selon la société internationale de vente aux enchères d’œuvres d’art Sotheby’s, NM Rothschild & Sons, banque d’affaire issue de la branche anglaise de la famille du même nom, vient d’acquérir une statue de 6 mètres à  l’effigie du Pazuzu, le  » roi des démons  » dans la mythologie mésopotamienne.

Dans la mythologie mésopotamienne du Ier millénaire av. J.-C., Pazuzu est le roi des démons du vent, et le fils du dieu Hanbi, qui règne sur le monde des enfers. Le Pazuzu est souvent dépeint avec le corps d’un homme mais avec la tête d’une chauve-souris, avec des griffes à  la place des pieds, deux paires d’ailes, une queue de scorpion et un pénis en forme de serpent. Il est aussi représenté avec la main droite levée, et la main gauche baissée, ce qui n’est pas sans rappeler Baphomet, l’idole mystérieuse que les chevaliers de l’ordre du Temple vénéraient au 14ème siècle (et qui est vénéré en Franc-Maçonnerie NDLR)

Le  » Pazuzu  » de Cuoghi avait été inauguré en en octobre 2008, à  l’Institute of Contemporary Art (ICA) de Londres. La statue était alors accompagnée d’une vaste installation sonore dans laquelle on pouvait entendre les enregistrements « d’une reconstitution de rituels sacrificiels, réalisés avec la voix d’une centaine de personnes « , permettant un  » voyage dans le temps au sixième siècle avant JC de la Mésopotamie des anciens Assyriens « , indique le magazine Preview, sans préciser toutefois si la banque d’affaire a également fait l’acquisition de ces enregistrements. «  (Cité par Julian Diesdorf pour Mecanopolis- Zürick 14/06/2010)

Ceci nous amène de nouveau à  comprendre que le monde est en train de se transformer inexorablement et que la conduite des nations est entre les mains d’une élite dégénérée aux ordres directs de Satan, par le biais des organisations, Think tanks(*) et autres groupes occultes (**) qui se dévoilent peu à  peu pour montrer leurs vrais visages et laisser entrevoir leurs plans machiavéliques pour nos sociétés de demain. Pour l’heure intéressons-nous à  l’Angleterre et au rôle prépondérant qu’elle joue dans l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, désormais à  nos portes.

L’Angleterre est-elle à  la base de tous nos maux ?

 » Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont l’œil ne plonge pas dans les coulisses. «  (Benjamin Disraeli, ministre des finances britannique de la Reine Victoria)

On ignore bien souvent le rôle éminemment important joué par la puissance financière et aristocratique anglo-saxonne.

Historiquement, la défaite française en Amérique du Nord conduisant au Traité de Paris le 10 février 1763, met fin à  la guerre de sept ans avec l’Angleterre, l’Espagne et le Portugal. Avec la signature de ce Traité, la France perd la Nouvelle France, sa principale implantation en Amérique du Nord, qui devient la Province du Québec. En même temps la France cède à  l’Angleterre ce qui lui reste de la Louisiane, c’est-à -dire la Rive gauche du Mississipi. Enfin elle cède, toujours à  l’Angleterre, la quasi-totalité de ses possessions aux Indes. Ainsi, fortes de la défaite française et des pertes de ses territoires, les élites conquérantes américaines en liaison avec leurs homologues britanniques sont prêtes à  imposer leur modèle au monde entier. Après les guerres de la Révolution et la défaite de Napoléon en 1815, la puissance anglo-saxonne n’a plus de rival sur les mers. Devenue une puissance démographique sans égale, désormais propriétaire de vastes domaines en Amérique du Nord, en Afrique australe, en Australie et en Nouvelle Zélande, par la mise au point de technologie de pointe et le perfectionnement de son système bancaire, l’aristocratie commerciale de Londres et de New-York peut à  présent songer à  un contrôle du monde sous les auspices de la City et de Wall Street. Un homme a été à  la tête pour concrétiser cette mainmise progressive des élites que l’on nomme de ce terrible mot de mondialisation, Cecil Rhodes (1853-1902).

Ardent défenseur de l’empire britannique, grand exploitant de mines de diamants – il a créé l’industrie diamantaire De Beers grâce à  l’appui financier de Nathaniel Mayer Rothschild- ce personnage avait émigré en Afrique Australe et créa la Rhodésie, devenue plus tard la Zambie et le Zimbabwe. Il avait également entrepris de construire et de développer des voies de communication, entre autres une immense voie de chemin de fer reliant Le Cap au Caire, dans le but de faciliter le commerce et l’exploitation des nombreuses richesses abritées dans les sous-sols africains. Cette forme de colonialisme, bien loin d’avoir disparu de nos jours, au contraire ne fait que s’amplifier et devient la raison principale et la cause de bien des conflits, coups d’états et massacres divers…

Mais l’idéal de Rhodes, au-delà  de l’exploitation des colonies étrangères pour le seul profit de la Couronne, persuadé de la supériorité de la  » race  » anglo-saxonne, était d’instaurer un bloc réunissant l’empire britannique et les États-Unis d’Amérique afin de constituer une base permettant la naissance d’un Etat mondial dans l’esprit de l’aristocratie commerciale anglo-saxonne. Pour ce faire, il décida de sélectionner des  » têtes pensantes  » au sein des grandes universités, pour occuper les postes-clefs des institutions bancaires, économiques, éducatives, policières, le tout concourant à  l’émergence de cet Etat commercial mondial. Par ailleurs, C. Rhodes créa des bourses d’études afin de stimuler les futures élites. Des personnalités connues telles Bob Hawke, premier ministre australien (1981-1993), J. Wolsey, ancien directeur de la CIA (1993-1995), ou l’ancien président Bill Clinton, en ont bénéficié. (****)

D’autres personnages ont pris la suite de Cecil Rhodes, Alfred Milner (1854-1925), Philip Kerr (1882-1940) devenu secrétaire particulier de Lloyd George ou Lionel Curtiss (1872-1955) précurseur de la notion de  » Commonwealth des nations  » et participa à  la création du Royal Institute of International Affairs (RIIA ou Chatham House) maillon prépondérant dans la mécanique mondialiste.

Rôle des sociétés secrètes

Il est indispensable de connaitre la place des sociétés et groupes secrets britanniques qui ont permis, au fil des siècles la naissance et la croissance du mondialisme.

La Grande Loge Unie d’Angleterre, créée en 1717 est la principale obédience maçonnique d’Angleterre. Sous sa juridiction se trouvent également des ex-colonies britanniques et des pays du Commonwealth. Elle est la plus grande obédience du monde en termes d’effectifs. On a coutume de la considérer comme la  » Loge-Mère  » de toutes les loges mondiales. Entre autres, la Grande Loge Nationale Française lui est affiliée.

Le Comité des 300, est une ancienne société secrète fondée en 1729 par la Sombre Noblesse (ou Noblesse Noire, celle qui donne les ordres aux gouvernements, les décideurs) à  travers la British East India Merchant Compagny. Cette société était chargée, entre autre, avec l’aide des banquiers internationaux, de réguler le trafic d’opium, et était placée directement sous les ordres de la Couronne d’Angleterre (***). Aujourd’hui toutes les grandes banques et le système bancaire mondial en général sont affiliés à  ce Comité et sont connectés à  la famille Rothschild.

 » Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destinés du continent européen et choisissent leurs successeurs dans leur entourage «  (Walter Rathenau dans le Wiener freie press 24 décembre 1912)

(À suivre…)

 » Je vis un autre ange qui volait au milieu du ciel ; il avait un Evangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à  toute nation, à  toute tribu, à  toute langue, et à  tout peuple. Il disait d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, la terre, la mer, et les sources d’eaux. « (Ap14 :6-7)

Soyez bénis

(Chefs d’Etat et de gouvernement du G20 réunis autour de la Reine Elisabeth II le 2 avril 2009)

(*) Les Think tanks sont des clubs de réflexion, littéralement réservoirs de pensée, sources d’influence qui sont en principe indépendants mais qui le plus souvent sont en réalité des propagateurs d’opinions, d’idéologies par l’intermédiaire des élites. Ce sont en fait des lobbies qui pèsent souvent très lourd sur les affaires publiques.

(**) Parmi les groupes occultes les plus influents, il y a en premier la Franc-Maçonnerie Internationale avec sa branche des Illuminati, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, la Round Table, etc… auxquels sont plus ou moins directement rattachées des sociétés secrètes (Skull and Bones, Bohemian Club…). Ce sont

(***) Ce qu’on appelle la Couronne d’Angleterre – Ne désigne pas en fait la Reine elle-même mais le gigantesque consortium constitué par les financiers de la City de Londres, qui sont placés au premier plan dans l’élaboration du Nouvel Ordre Mondial… car qui ignore que tout se joue à  partir de l’argent, dieu de ce monde ?

(****) Pierre Hillard  » La marche inexorable du Nouvel Ordre Mondial «