»Recueillis sur le site  » la Trompette  » et transmis par Hussein –

Note MAV: J’adhère pleinement à  ce message et bien des chrétiens ont besoin de relire et méditer Roms 9 à  11- Et je suis aussi d’accord, bien entendu, avec l’urgence des temps: ce matin, j’ai reçu la vision d’un sablier dans la main du Seigneur. Il me montrait qu’il ne restait vraiment que très peu, très peu de temps !

Et je réponds à  la question finale de Henri Viaud-Murat un « oui » sans réserve –

« Seigneur, envoie-moi! J’aime ton peuple – »

Le peuple Juif, qui a, dans le passé, été si souvent persécuté ou massacré par des « Chrétiens, » a besoin de consolation et d’amour, et doit savoir qu’il existe des vrais Chrétiens qui l’aiment sincèrement. C’est cet amour de Christ qui doit toucher son cœur et l’amener à  s’interroger sur la source de cet amour. Ce travail préparatoire est donc absolument nécessaire. Mais il ne doit pas s’arrêter là .

Il est clair que l’on ne peut pas évangéliser le peuple Juif d’une manière agressive, compte tenu des relations passées entre (faux) Chrétiens et Juifs.

Ce serait provoquer un blocage immédiat qui ne produirait aucun fruit. Il faut d’abord que les Juifs apprennent à  connaître les vrais Chrétiens, ceux qui ont été transformés par l’amour de Jésus. Comme avec tous les peuples, nos rapports avec le peuple Juif doivent d’abord manifester le changement que Dieu a produit dans nos vies par la conversion à  Christ.

Notre message doit correspondre à  notre vie. Notre message ne sera pas cru, si nos interlocuteurs ne voient pas Jésus vivant en nous et au travers de nous.


Par ailleurs, le message de l’Évangile que nous pourrons transmettre aux Juifs (comme aux Gentils) perdra toute sa force de conviction s’il n’est pas accompagné de la puissance de l’Esprit, telle qu’elle est décrite dans Marc 16 : 20 :

« Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient. »

Nous devons nous repentir devant Dieu de ne pas voir plus de miracles accompagner notre évangélisation !


Les Juifs, comme les Gentils, et avant même les Gentils, doivent donc avoir l’occasion d’entendre clairement l’Évangile de Jésus-Christ. Avant d’aller plus loin, il me semble que nous devrions simplement relire certains passages écrits par l’apôtre Paul, dans ces magnifiques chapitres 9 à  11 de l’épître aux Romains :

« Je dis la vérité en Christ, je ne mens point, ma conscience m’en rend témoignage par le Saint-Esprit : J’éprouve une grande tristesse, et j’ai dans le cœur un chagrin continuel. Car je voudrais moi-même être anathème et séparé de Christ pour mes frères, mes parents selon la chair, qui sont Israélites, à  qui appartiennent l’adoption, et la gloire, et les alliances, et la loi, et le culte, et les promesses, et les patriarches, et de qui est issu, selon la chair, le Christ, qui est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen !


« Ce n’est point à  dire que la parole de Dieu soit restée sans effet. Car tous ceux qui descendent d’Israël ne sont pas Israël, et, pour être la postérité d’Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants ; mais il est dit : En Isaac sera nommée pour toi une postérité, c’est-à -dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité…


« … Esaïe, de son côté, s’écrie au sujet d’Israël : Quand le nombre des fils d’Israël serait comme le sable de la mer, un reste seulement sera sauvé. Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu’il a résolu. Et, comme Esaïe l’avait dit auparavant : Si le Seigneur des armées ne nous eût laissé une postérité, nous serions devenus comme Sodome, nous aurions été semblables à  Gomorrhe.


« Que dirons-nous donc ? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi, tandis qu’Israël, qui cherchait une loi de justice, n’est pas parvenu à  cette loi. Pourquoi ? Parce qu’Israël l’a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des œuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement, selon qu’il est écrit : Voici, je mets en Sion une pierre d’achoppement et un rocher de scandale, et celui qui croit en lui ne sera point confus. »Frères, le vœu de mon cœur et ma prière à  Dieu pour eux, c’est qu’ils soient sauvés. Je leur rends le témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence : ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à  établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à  la justice de Dieu ; car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient. En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L’homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.

« Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi : Ne dis pas en ton cœur : Qui montera au ciel ? c’est en faire descendre Christ ; ou : Qui descendra dans l’abîme ? c’est faire remonter Christ d’entre les morts. Que dit-elle donc ? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Or, c’est la parole de la foi, que nous prêchons. Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à  la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus.


« Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. Comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés ? selon qu’il est écrit : Qu’ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, de ceux qui annoncent de bonnes nouvelles ! » Mais tous n’ont pas obéi à  la bonne nouvelle. Aussi Esaïe dit-il : Seigneur, qui a cru à  notre prédication ?


Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ. Mais je dis : N’ont-ils pas entendu ? Au contraire ! Leur voix est allée par toute la terre, Et leurs paroles jusqu’aux extrémités du monde. Mais je dis : Israël ne l’a-t-il pas su ? Moïse le premier dit : J’exciterai votre jalousie par ce qui n’est point une nation, je provoquerai votre colère par une nation sans intelligence. Et Esaïe pousse la hardiesse jusqu’à  dire : J’ai été trouvé par ceux qui ne me cherchaient pas, je me suis manifesté à  ceux qui ne me demandaient pas. Mais au sujet d’Israël, il dit : J’ai tendu mes mains tout le jour vers un peuple rebelle et contredisant. »

Je dis donc : Dieu a-t-il rejeté son peuple ? Loin de là  !

Car moi aussi je suis Israélite, de la postérité d’Abraham, de la tribu de Benjamin. Dieu n’a point rejeté son peuple, qu’il a connu d’avance. Ne savez-vous pas ce que l’Ecriture rapporte d’Elie, comment il adresse à  Dieu cette plainte contre Israël : Seigneur, ils ont tué tes prophètes, ils ont renversé tes autels ; je suis resté moi seul, et ils cherchent à  m’ôter la vie ? Mais quelle réponse Dieu lui fait-il ? Je me suis réservé sept mille hommes, qui n’ont point fléchi le genou devant Baal.


« De même aussi dans le temps présent il y a un reste, selon l’élection de la grâce. Or, si c’est par grâce, ce n’est plus par les œuvres ; autrement la grâce n’est plus une grâce. Et si c’est par les œuvres, ce n’est plus une grâce ; autrement l’œuvre n’est plus une œuvre. Quoi donc ? Ce qu’Israël cherche, il ne l’a pas obtenu, mais l’élection l’a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis, selon qu’il est écrit : Dieu leur a donné un esprit d’assoupissement, des yeux pour ne point voir, et des oreilles pour ne point entendre, jusqu’à  ce jour. Et David dit : Que leur table soit pour eux un piège, un filet, une occasion de chute, et une rétribution ! Que leurs yeux soient obscurcis pour ne point voir, et tiens leur dos continuellement courbé !


« Je dis donc : Est-ce pour tomber qu’ils ont bronché ? Loin de là  ! Mais, par leur chute, le salut est devenu accessible aux païens, afin qu’ils fussent excités à  la jalousie. Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. Je vous le dis à  vous, païens : en tant que je suis apôtre des païens, je glorifie mon ministère, afin, s’il est possible, d’exciter la jalousie de ceux de ma race, et d’en sauver quelques-uns. Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d’entre les morts ? Or, si les prémices sont saintes, la masse l’est aussi ; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi.


« Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été enté à  leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l’olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n’est pas toi qui portes la racine, mais que c’est la racine qui te porte. Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d’incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t’abandonne pas à  l’orgueil, mais crains ; car si Dieu n’a pas épargné les branches naturelles, il ne t’épargnera pas non plus.


« Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté ; autrement, tu seras aussi retranché. Eux de même, s’ils ne persistent pas dans l’incrédulité, ils seront entés ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. Si toi, tu as été coupé de l’olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à  ta nature sur l’olivier franc, à  plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c’est qu’une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à  ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu’il est écrit : Le libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les impiétés ; et ce sera mon alliance avec eux, lorsque j’ôterai leurs péchés.


« En ce qui concerne l’Evangile, ils sont ennemis à  cause de vous ; mais en ce qui concerne l’élection, ils sont aimés à  cause de leurs pères. Car Dieu ne se repent pas de ses dons et de son appel. De même que vous avez autrefois désobéi à  Dieu et que par leur désobéissance vous avez maintenant obtenu miséricorde, de même ils ont maintenant désobéi, afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi miséricorde.

Car Dieu a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à  tous. à” profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! Car qui a connu la pensée du Seigneur, ou qui a été son conseiller ? Qui lui a donné le premier, pour qu’il ait à  recevoir en retour ? C’est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. À lui la gloire dans tous les siècles ! Amen ! »


Notre position vis-à -vis d’Israël doit donc rester équilibrée. Les Juifs sont aimés à  cause de leurs pères, et Dieu ne les a pas rejetés.

L’Église n’a jamais remplacé Israël.

Il est nécessaire de nous faire connaître aux Juifs, et de leur manifester notre amour. Mais il faut aussi que notre message soit clair.


Les Juifs ne sont pas dupes. Ils savent très bien que les Chrétiens, quel que soit leur amour pour eux, auront toujours dans leur cœur le désir de les conduire à  Jésus. Il faut donc leur dire la vérité, comme Paul l’a fait devant Agrippa : « Que ce soit bientôt ou que ce soit tard, plaise à  Dieu que non seulement toi, mais encore tous ceux qui m’écoutent aujourd’hui, vous deveniez tels que je suis » (Actes 26 : 29). En leur disant la vérité dans l’amour, les choses seront claires, et ils ne pourront pas nous accuser de duplicité ni d’hypocrisie.


Il nous faut donc absolument parvenir au point où les Israélites finiront par entendre la prédication de la Bonne Nouvelle du salut en Jésus-Christ, car seule cette prédication pourra les sauver. Et si personne ne prêche, comment croiront-ils et pourront-ils être sauvés ?


Il y a un temps pour les aimer en silence, et un temps pour témoigner de Jésus, pour parler et pour prêcher. Nous n’aurons jamais d’opposition de la part des Juifs si nous nous contentons de les aimer en silence, en espérant seulement qu’ils finiront par nous poser quelques questions. Les oppositions ne viendront que quand nous commencerons à  prêcher et à  parler !

Exactement comme au début de l’Eglise ! Les premiers Chrétiens, qui étaient des Juifs, étaient remplis d’amour envers leurs frères Juifs, et ils ont certainement eu de multiples occasions de le leur prouver. Ils n’avaient pas derrière eux une longue histoire de persécuteurs, qui aurait terni leur image aux yeux des Juifs. Mais ils ne se sont pas contentés de les aimer. Ils leur ont prêché la repentance et la foi en Jésus.

La réaction a été immédiate : les Juifs qui appréciaient leur amour tant qu’ils ne prêchaient pas, se sont mis à  les persécuter violemment quand ils ont commencé à  prêcher ! (Voir Actes 8 : 1).

Les vrais Chrétiens n’ont jamais persécuté les Juifs.

Il ne faut donc pas oublier que, historiquement, ce sont les Juifs qui ont commencé à  persécuter les Chrétiens ! N’inversons pas les rôles ! Ils sont devenus persécuteurs parce que les disciples de Jésus osaient leur dire que l’on ne pouvait pas être justifié, ni recevoir un plein pardon des péchés, par les œuvres de la Loi, mais simplement par la foi en Jésus crucifié et ressuscité.


Plus tard, les (faux) Chrétiens ont commencé à  leur tour à  persécuter les Juifs, à  les convertir de force ou à  les massacrer. C’est cette attitude qu’il nous faut dénoncer, en prouvant par notre vie et nos paroles que nous n’avons rien à  faire avec ces (faux) Chrétiens, qui ont déshonoré le nom de Christ. Ces (faux) Chrétiens sont tout autant nos ennemis qu’ils sont les ennemis des Juifs !


Israël a besoin de prophètes qui dénoncent son péché et sa rébellion, et qui l’exhortent avec amour, comme Paul et les premiers disciples, à  revenir au Dieu d’Israël et à  Sa Parole, en commençant par la Torah et le Tanak, et à  reconnaître en Yeshoua son Messie ! C’est là  que se manifestera pleinement notre amour chrétien pour Israël.

Nous avons le sentiment d’une urgence absolue. Il y va du salut de nombreuses âmes, des âmes du peuple d’Israël !

Les jugements finaux s’approchent rapidement, et nous n’avons pas le droit de rester silencieux ! Il faut aussi que les Juifs aient la preuve, en nous voyant vivre et agir, que Jésus est vraiment ressuscité !


Avant que les armées de Nebucadnetsar et de Titus ne détruisent la ville sainte et le temple, Dieu avait envoyé depuis longtemps Ses prophètes pour prévenir Son peuple et l’amener à  la repentance. Il en est de même aujourd’hui : avant l’Holocauste final prédit par l’Apocalypse, Dieu veut prévenir Son peuple et le conduire à  la repentance et à  la foi en Jésus. Le sang des Juifs ne doit pas nous être redemandé par le Seigneur ! Il nous le redemandera, si nous ne les prévenons pas ! Un véritable amour pour les Juifs doit nous pousser à  les prévenir !

Chacun doit certainement répondre à  l’appel qu’il a reçu de Dieu. Mais il me semble qu’aujourd’hui, par rapport à  tous ceux qui ont reçu l’appel de donner aux Juifs un témoignage actif, mais silencieux, de consolation, de solidarité et d’amour, il y en a trop peu qui semblent avoir reçu l’appel de leur prêcher l’Evangile, dans la puissance du Saint-Esprit, comme les apôtres l’ont fait dès le jour de la Pentecôte ! Puissent ceux qui ont reçu cet appel y répondre hardiment !


Je souhaite que davantage de groupes de Chrétiens (et de Juifs Messianiques) puissent annoncer clairement la Bonne Nouvelle aux Juifs d’Israël et du monde entier, en mettant simplement en pratique les recommandations de notre Seigneur dans l’Evangile : prêcher la repentance et la foi en Jésus, baptiser d’eau, et enseigner les disciples à  observer tout ce que le Seigneur nous a prescrit.

L’un des moyens que nous pourrions développer, car il doit déjà  certainement être employé, serait d’organiser des rencontres entre Juifs et Chrétiens de bonne volonté, pour que nous puissions écouter ce qu’ils ont à  nous dire, pour dissiper les malentendus, et aussi pour expliquer à  ces Juifs, sans agressivité, sans sentiment de supériorité, mais dans l’amour, pourquoi, et comment, nous avons été persuadés que Jésus de Nazareth est le Messie d’Israël.


À l’occasion de ces rencontres, nous n’aurions comme texte de base que la Bible des Juifs, que nous appelons l’Ancien Testament, et nous n’évoquerions que les prophéties de l’Ancien Testament, comme Paul et les premiers disciples le faisaient :

« Paul discourait dans la synagogue chaque sabbat, et il persuadait des Juifs et des Grecs. Mais quand Silas et Timothée furent arrivés de la Macédoine, il se donna tout entier à  la parole, attestant aux Juifs que Jésus était le Christ » (Actes 18 : 4-5).

« Car il (Apollos) réfutait vivement les Juifs en public, démontrant par les Ecritures que Jésus est le Christ » (Actes 18 : 28).

Les Ecritures dont Apollos disposait étaient uniquement les textes de l’Ancien Testament.

Ce sont surtout ceux-là  qui pourront pleinement persuader les Juifs.

L’étude sérieuse des prophéties de l’Ancien Testament suffit pleinement pour être persuadé que Yeshoua est le Messie d’Israël, quand on recherche honnêtement la Vérité.

Serait-il possible d’envisager à  l’avenir de telles rencontres, avec des familles Juives ou des Juifs de bonne volonté, croyants ou non, dans des maisons, des synagogues, ou tout autre lieu propice à  l’échange, pour leur expliquer pourquoi et comment nous avons cru, par leurs propres Écritures ? Il ne faut surtout pas leur donner le sentiment que nous sommes là  pour détruire leur religion et les « convertir » de force à  une autre ! Mais il faut ouvrir avec eux leur Bible, et l’étudier honnêtement ensemble, dans un souci commun de recherche de la Vérité.