» Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu «  (Mat 10/26)

Plus d’un milliard de catholiques dans le monde aujourd’hui. Environ 405000 prêtres, presque autant de religieux(ses), l’église catholique romaine n’est pourtant plus qu’à  un cheveu de perdre sa primauté devant l’islam qui compte actuellement pratiquement autant de fidèles (entre 1 milliard et 1,8 milliards selon les sources).

La France et l’Allemagne sont les pays européens où la population de musulmans est la plus forte- près de 6 millions en France et près de 3,5 millions en Allemagne, et cela va continuer à  augmenter, alors que le nombre de fidèles catholiques romains tendrait plutôt à  amorcer une pente décroissante, surtout en ce qui concerne le clergé catholique qui semble subir, en dépit des appels désespérés du Vatican, une grave crise des vocations

En avril 1233, le pape Grégoire IX confie à  un tribunal d’exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères (c.à  .d ceux qui n’obéiraient pas strictement aux ordres émanant du St Siège).

Ce tribunal, qui relève du pape seul, avait pour but, officiellement, d’éviter les excès et l’arbitraire de la justice seigneuriale et épiscopale. Auparavant,c’est dans le Saint Empire Romain Germanique que Grégoire IX avait nommé en 1231 un prêtre : Conrad de Marburg auquel il conféra des pouvoirs quasi- illimités allant de l’excommunication jusqu’aux châtiments corporels à  l’encontre de ceux et celles qui seraient dénoncés comme étant hérétiques.

Ce Conrad de Marburg va hélas abuser de son pouvoir en utilisant systématiquement les bûchers et les actes de violence criminels commis par le bras séculier qui lui servira d’exécuteur des basses besognes. Il sera assassiné en 1233, marquant ainsi l’échec de l’Inquisition dans l’Empire, qui sera désormais confiée aux Ordres prêcheurs, Franciscains et Dominicains (fondé par Domenico de Guzman) surtout.

Le plus célèbre d’entre eux fut un Français, Bernard Gui (1261-1331), que l’on a pu voir encore récemment à  l’oeuvre dans le film  » Le Nom de la rose « . __ Pour résumer cette période sinistre qui a ensanglanté le monde et éclaboussé la papauté et le catholicisme romain tout entier,__ on pourra retenir la chronologie suivante : en 1244, massacre de plus de 200 cathares à  Montségur, près deToulouse ; en 1306 et 1394 eut lieu l’expulsion des Juifs de France ; en 1479 fut instaurée l’Inquisition en Espagne par les rois catholiques Ferdinand et Isabelle de Castille et dirigée entre 1483 et 1498 par Thomas de Torquemada sur les ordres du pape Sixte IV, et au cours de laquelle 8800 hérétiques furent brûlés ou mis à  morts ou torturés ; en 1492, 800.000 Juifs furent à  leur tour expulsés d’Espagne, et en 1542 le pape Paul III fonde l’Inquisition romaine sous le vocable de  » Sacrée Congrégation de l’Inquisition Romaine et universelle « .

En 1908, cette appellation fut changée en  » Sacrée Congrégation du Saint Office  » par Pie X, puis en  » Congrégation pour la Doctrine de la Foi  » par Paul VI en 1967. C’est cette institution qu’a dirigée le cardinal Josef Ratzinger avant d’être élu pape en 2005 sous le nom de Benoît XVI.

C’est l’Inquisition romaine qui de loin fut la plus sanglante et la plus meurtrière, et aujourd’hui encore, bien que l’Église romaine ait fait son mea culpa du bout des lèvres, elle continue cependant à  nier le grand nombre de victimes que ses agissements criminels ont occasionné, (tout comme elle minimise toujours son silence coupable pendant la période noire du IIIè Reich et la Shoah juive).

Au total, bien qu’il soit difficile de chiffrer exactement le nombre de victimes, il est admis par plusieurs historiens que celui-ci avoisine plusieurs millions sur 4 siècles.

Ce n’est qu’à  partir de 1992 (!) que l’Église romaine a commencé à  reconnaître ses erreurs commises pendant cette période de l’Inquisition -avec l’affaire Galilée entre autres- et en 1998 seulement que furent initiés des travaux de recherche par le Vatican.

Le Saint Office en question…

La  » Sacrée congrégation de l’inquisition romaine et universelle  » fondée par Paul III en 1542, devenue la  » Congrégation pour la doctrine de la foi  » a vu sa fonction actualisée par Jean-Paul II en 1988 par l’intermédiaire de la constitution apostolique Pastor Bonus :  » La tâche propre de la Congrégation pour la doctrine de la foi est de promouvoir et de protéger la doctrine et les mœurs conformes à  la foi dans tout le monde catholique : tout ce qui, de quelque manière, concerne ce domaine relève donc de sa compétence. « .

Depuis le 8 juillet 2008, le secrétaire de la congrégation est le théologien jésuite espagnol Luis Ladaria Ferrer, secrétaire de la Commission théologique Internationale depuis 2004. La présidence de la congrégation est assurée par le cardinal William Joseph Levada, ancien archevêque de San Francisco, également président de la Commission biblique pontificale.

«  Promouvoir et protéger la doctrine et les mœurs conformes à  la foi dans tout le monde catholique… « .

Il s’agit bien sûr du même prosélytisme dont parlait Jésus lorsqu’il s’adressait aux religieux de son époque -pharisiens et sadducéens- très néfaste car il entraînait fatalement les gens dans l’idolâtrie de la Loi et des choses matérielles, temple y compris, qui ne pouvait de toutes façon pas les sauver, cette même loi qu’ils transgressaient d’ailleurs en déclarant corban ce qui était destiné à  leurs familles :  » Malheur à  vous scribes et pharisiens hypocrites…  » (Mat 23).

Où il est de nouveau question des Jésuites et de la Fraternité de la mort pour le plan de destruction des États-Unis.

(Ignace de Loyola-fondateur de l’Ordre des Jésuites)

 » Les Jésuites ont répandu dans l’Église les ténèbres les plus épaisses qui soient jamais sorties du puits de l’abîme  » (Blaise Pascal).

Samuel Morse, l’inventeur du code télégraphique du même nom, a révélé en 1835 dans un ouvrage  » Foreign Conspiracy against the Liberties of the United States  » (Conspiration étrangère contre les libertés des États-Unis) l’existence d’une conspiration politique catholique contre les États-Unis sous le couvert d’une mission religieuse, considérant que la liberté dont jouit ce continent de par sa forme de gouvernement républicain serait un obstacle majeur et même une menace envers les gouvernements despotiques du monde, y compris celui du Vatican.

L’ancien responsable au Vatican des contacts avec la CIA fut un Jésuite, le cardinal Avery Dulles, neveu du fondateur et premier Directeur de la CIA Allen Welsh Dulles (impliqué entre autres dans l’assassinat de Lumumba au Congo et du fiasco de la Baie des Cochonsà  Cuba en 1961…).

Le soleil est un symbole de la Compagnie de Jésus. Leur but secret va au-delà  du plan terrestre. C’est le système solaire qui les intéresse, et c’est pourquoi ils ont développé la recherche spatiale de pointe. Le Vatican dépense chaque année de dizaines de millions de dollars pour financer son observatoire en Arizona dirigé par des Jésuites, où se trouve le télescope LUCIFER ! Tout un programme… La NASA est un repaire d’anciens nazis dont la plupart sont ou ont été des Jésuites.

Adolfo Nicolas Pachon, l’actuel pape noir (Général des Jésuites) nommé en 2008, donne directement ses ordres au pape, tout comme ses prédécesseurs l’ont fait depuis cinq siècles.

L’origine de la fortune des Jésuites est inconnue, mais si l’on cherche un peu du côté de la Mafia, on réalise que les  » fils d’Ignace de Loyola  » sont les plus grands trafiquants de drogue et de chair humaine de la planète. Les Jésuites mènent des guerres depuis plusieurs siècles, et tous les conflits ont été directement ou indirectement déclenchés par leur volonté avec le soutien financier de leur banque, la très  » généreuse  » Maison Rothschild.

L’Ordre des Jésuite est à  lui seul une Inquisition qui domine la terre entière.

Les Jésuites se sont toujours fixés un nombre invraisemblable d’obligations morales tordues basées sur une éthique qui leur est propre. Par exemple, à  propos du commandement divin  » Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain  » (Ex 20:16), les Jésuites s’autorisent du mensonge sous serment pour obtenir les faveurs de la justice ou pour obtenir quelque avantage, ainsi que d’autres préceptes moraux de leur cru, tel celui-ci :  » Si un père, cédant à  la tentation, abuse d’une femme et qu’elle publie ce qui est arrivé, et, à  cause de cela, le déshonore, ce même père peut la tuer pour éviter la disgrâce  » E. Paris, L’histoire secrète des Jésuites.

Le pasteur et théologien protestant Jules-Marcel Nicole retrace dans son Précis d’Histoire de l’Église les différentes étapes obligatoires pour entrer dans cette milice secrète, véritable bras armé du pape :  » Pour être admis dans la Société, il faut d’abord passer par un noviciat sévère, ensuite faire des études prolongées comme scolastique, puis être, un certain temps coadjuteur spirituel. Après cela seulement, le candidat prononce le quatrième vœu, prend le titre de profès et est initié aux règles secrètes. Les profès sont organisés hiérarchiquement ; chacun a une autorité illimitée sur ses subordonnés et doit être docile comme un cadavre en face de ses supérieurs. A la tête de l’organisation se trouve un général nommé à  vie, appelé parfois le pape noir à  cause de son influence, et qui d’ailleurs est étroitement espionné par d’autres Jésuites… Par l’Ordre des Jésuites, Rome pouvait ainsi opposer au Protestantisme conquérant une forme de catholicisme tout aussi enthousiaste et tout aussi expansif « . Le pape Paul III les appelait Regimen Ecclesiae Militantis soit Régiment Ecclésiastique Militaire (de la Papauté).

Il nous paraît nécessaire de parler des Exercices spirituels inventés par Loyola qui sont une sorte de distorsion de la volonté humaine, poussée jusqu’au mysticisme, tel que le décrit H. Boehmer dans son ouvrage ‘‘Les Jésuites :  » Nous injectons dans l’homme des forces spirituelles qu’il trouvera très difficile de se débarrasser plus tard ; des forces plus tenaces que tous les meilleurs principes ou doctrines. Ces forces reviendront à  la surface, même après plusieurs années, et deviendront si importantes que la volonté ne pourra plus s’y opposer et elle en suivra les moindres impulsions » « .

On comprend tout de suite que ces Exercices Spirituels, qui ne sont rien de moins que de l’occultisme sous un vernis bien religieux, permettent à  des démons d’opprimer et d’aveugler ceux qui s’y livrent.

De son côté, Edmond Paris affirme que  » Pour ajouter à  la puissance des Jésuites, une bulle papale remit l’inquisition entre leurs mains. Tels étaient les moyens auxquels Rome recourait pour éteindre la lumière de la Réforme, et pour enlever aux hommes la Parole de Dieu qui engendrait la liberté de conscience, si longtemps interdite par la papauté. Ignace de Loyola écrivit lui-même :- Ce que nous voyons noir, nous devons le voir blanc, si l’Église Romaine le dit « .

Les Jésuites sont des persécuteurs zélés des chrétiens ou de tous ceux qu’ils considèrent ennemis du Vatican ; ils font même le vœu solennel de détruire les chrétiens protestants et d’anéantir tout gouvernement qui offre protection à  ces chrétiens.

J.E.C Shepherd, The Babington Plot (1), Wittenburg Publications-1987.

Ils sont ennemis naturels de la liberté et tout leur système est fondé sur une obéissance irréfléchie, aveugle et impitoyable. Ils sont les ambassadeurs subversifs de l’Église Romaine, amenant le chaos et la ruine dans toutes les nations où ils s’infiltrent. Ils prétendent même que L’Église catholique a le droit et le devoir de tuer les hérétiques parce que ce n’est que par le feu et l’épée que l’hérésie peut être extirpée (…) Le repentir ne peut leur être accordé pour les sauver, comme le repentir n’est pas permis pour sauver les criminels civils ; car le plus grand bien de l’église est l’unité de la foi, et cela ne peut être préservé que si les hérétiques sont mis à  mort. »  » J.E.C. Shepherd, The Babington Plot, citant Marianus de Luce, S.J., professeur de Droit Canon, Université grégorienne de Rome-1901.

En 1764, les Jésuites furent mis hors-la-loi en France et, en 1767, ils furent bannis de l’Espagne (2). En février 1769, le pape Clément XIII décida de dissoudre l’Ordre, mais la nuit précédant l’exécution de la dissolution, celui-ci mourut de façon étrange (3). Il trouva la force de s’écrier : « Je me meurs… C’est qu’il est fort dangereux de s’attaquer aux Jésuites ! « .

Son successeur, Clément XIV fit également les frais de cette volonté de dissolution et y perdit aussi la vie le 22 septembre 1774. C’est en 1776 que l’organisation des Illuminati vit le jour, censément fondée par Adam Weishaupt, un Jésuite enseignant le Droit Canon à  Ingolstadt en Bavière, université jésuitique et centre de la contre-réforme jésuite. Les Illuminati constituèrent ensuite une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild.

Eric Jon Phelps nous livre quelques explications à  ce sujet dans Les assassins du Vatican :

 » Ces 41 ans entre leur suppression, en 1773, par Clément XIV et leur rétablissement par Pie VII en 1814 furent des années d’or pour la Société de Jésus. Car les Fils de Loyola punirent tous leurs ennemis, y compris les prêtres dominicains, perfectionnèrent les œuvres internes entre eux et la Franc-Maçonnerie, en créant des alliances avec la Maison Rothschild par l’établissement des Illuminati ; punirent et absorbèrent les Chevaliers de Malte (…). Ils employèrent l’orthodoxe Catherine de Russie et le luthérien Frédéric de Prusse pour conquérir et diviser la Pologne, rendant la Bulle de Suppression du pape sans effet dans cette contrée catholique romaine. Ils causèrent la Révolution française, décapitèrent un roi bourbonien et une reine des Habsbourg comme punition pour avoir été expulsés de France et d’Autriche (4). Grâce au Franc-maçon Napoléon Bonaparte, ils évincèrent les Bourbons du trône d’Espagne et les Bragances de leur trône au Portugal. « 

Ensuite les Jésuites finirent par prendre le contrôle de la Couronne et de la Banque d’Angleterre.

John Robison, professeur de philosophie, fut Secrétaire général de la Société Royale d’Édimbourg et franc-maçon. Il fut témoin de l’influence des Illuminati et des Jésuites au sein de la Franc-Maçonnerie. En 1798, il publia un livre Proofs of a Conspiracy (Preuves d’une Conspiration) dans lequel il déclare qu’une association a été formée dans le dessein express de déraciner toutes les religions établies et renverser tous les gouvernements existant en Europe : «  J’ai vu cette association se déployer avec zèle et systématiquement jusqu’à  ce qu’elle devienne quasi irrésistible ; et j’ai vu que les leaders les plus actifs de la Révolution française étaient membres de cette association et menaient leurs premiers mouvements selon ses principes et au moyen de ses instructions et de son assistance préalablement requises et obtenues.  » John Robison, Proofs of a Conspiracy-1798, cité par moissondeselus.org.

Les Jésuites utilisaient donc la Franc-Maçonnerie comme moyen de maintenir leur pouvoir. Le contrôle des Jésuites sur la FM fut si complet que les Jésuites eux-mêmes modifièrent de nombreuses cérémonies et des degrés de la maçonnerie. En 1754, les 25 premiers degrés du Rite écossais de la FM furent écrits par les Jésuites au Collège des Jésuites de Clermont, à  Paris, dans le but de remettre au pouvoir, sur le trône d’Angleterre, la Maison des Stuart que contrôlaient les Jésuites (cf. Chronique La perfidie d’Albion 3è partie, sur ce blog). On ne s’étonnera donc pas que le Vatican soit entièrement sous l’influence des loges maçonniques lorsque l’on connaît désormais la parenté étroite qui l’unit à  l’Ordre des Jésuites, une société secrète qui en cache une autre…

À noter cependant que tout au long de l’Histoire, l’Église et les sociétés secrètes ont vécu périodiquement des schismes et des réconciliations. Le seul point était de savoir, pour le Vatican, s’il aurait le contrôle total sur la société en question. Si le Vatican se rend compte qu’une société possède un pouvoir politique, économique ou religieux, Rome la considérera comme une rivale et lui fera la guerre. Mais si, à  l’exemple des Jésuites, la société se soumet à  l’autorité de Rome, alors le Vatican est heureux d’accueillir en son sein une nouvelle prostituée.

Un ancien Jésuite, Alberto Rivera a révélé que le Général Jésuite d’alors était membre du parti communiste d’Espagne et aussi Maçon. Au fil des années, on s’est ému à  juste titre, des liens maçonniques d’Angelo Giuseppe Roncalli (pape Jean XXIII) et de Karol Wojtyla (Jean-Paul II). Mais on peut finalement se poser la question de savoir : qui contrôle qui ? Satan sait très bien manipuler ses agents, qui sont ennemis les uns des autres jusqu’au moment où ils seront tous jetés dans l’étang de feu et de soufre.

Il n’est pas incompatible d’être religieux et maçon, bien au contraire, c’est une habile façon de masquer sa véritable identité.

William Schnoebelen, ancien prêtre satanique et membre des Illuminati, a témoigné que pour avancer dans la hiérarchie satanique, il lui était nécessaire de devenir Maître Maçon et de recevoir les saints ordres pour devenir prêtre catholique, et que de toutes façons aux plus hauts degrés, Franc-Maçonnerie et Catholicisme romain se rejoignent parfaitement William et Sharon Schnoebelen, Lucifer Dethroned-1993.

Les Jésuites sont des caméléons religieux, sachant se faire païens avec les païens, bouddhistes avec les bouddhistes, musulmans avec les musulmans et chrétiens avec les chrétiens, puisqu’il semble qu’ils sachent appliquer à  leur manière (donc dans un mauvais sens) la recommandation de l’apôtre Paul (1 Co 9:21-23) qui souhaite se faire tout à  tous afin d’en sauver de toute manière quelques-uns.

La vieille Europe s’en est allée… le Nouvel Empire Romain est en train de s’édifier.

Aux États-Unis, la Société secrète Skull and Bones (Crâne et Os) a vu le jour en 1833 à  l’université de Yale. On la connaît également sous l’appellation Chapitre 322 (5) ou aussi Fraternité de la Mort. Ses membres sont recrutés chaque année parmi 15 étudiants les plus brillants et les plus prometteurs du campus, la future élite, celle dont les destinées sont déjà  inscrites pour gagner les postes les plus prestigieux en politique ou en finance.

Depuis sa création en 1833, on y retrouve des noms de vieilles familles américaines telles les Whitney, Lord, Phelps, Allen, Bundy, Adams, Harriman, Rockefeller, Payne, Davison… l’ancien président américain Georges W. Bush avoue lui-même en faire partie (son père en faisait déjà  partie ) :  » La dernière année de mes études à  Yale, je suis devenu membre de Skull and Bones, une société secrète, si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis.  » G.W. BUSH, Avec l’aide de Dieu, éditions Odile Jacob, 2000

Mais la véritable origine de la secte est allemande et son éthique d’essence hégélienne, est la principale doctrine à  l’origine du nazisme et du marxisme (cf. chroniques Retour sur la Shoah sur ce blog). Cette philosophie, si l’on peut la nommer ainsi, glorifie l’état en tant qu’unique véhicule des règles établies dans les domaines de l’éducation, les sciences, la politique et l’économie, ce qui va à  l’encontre du libéralisme classique qui veut que ce soit l’état qui soit subordonné à  l’individu et non l’inverse.

Les connexions entre le Chapitre 322 (Skull & Bones) et les autres organes -plus ou moins- occultes qui gouvernent le monde sont complexes mais existent bel et bien (6). Ainsi le Council on Foreign Relations (CFR), le désormais célèbre Club Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Club de Rome, et surtout l’OTAN – qui est en fait le véritable gouvernement militaire mondial – sont tous infiltrés par des membres de l’Ordre, lui-même infiltré par les Jésuites, et pour cause : le futur Gouvernement Mondial sera basé sur la Religion dans sa composante la plus extrémiste et la plus intolérante qui soit. Ceci nous indique très clairement le rôle ô combien néfaste joué par le Vatican tout-puissant (la Bête de Rome) pour l’instauration de cette Religion totalement anti-chrétienne.

Elle vise à  détruire, comme elle l’a déjà  fait par le passé, tous les véritables chrétiens bibliques, ainsi que les vrais juifs, qui ne voudront absolument pas plier le genou devant ce nouveau Baal des temps modernes.

C’est ce qu’a refusé de faire Daniel devant la statue du roi Nebucadnetsar, encourant la mort pour son refus de soumission.

Le Nouvel Empire mondial verra son achèvement en Europe après la chute des États-Unis, programmée depuis longtemps. L’Union Européenne – nous l’avons vu- a été imaginée par les États-Unis qui constituent une menace directe pour tous les tyrans de la terre, y compris le Vatican -tyran religieux- et c’est pour cela que sa chute et sa destruction sont organisées depuis des siècles. L’Empire Romain, catholique, avec ses deux anciennes branches -Rome et Constantinople- va renaître de ses cendres, avec l’Empire Ottoman (Turquie) musulman. C’est la signification des deux jambes de fer de la statue vue en songe par Nebucadnetsar et révélée à  Daniel (Dan 2:37-45). Les deux  » se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à  l’autre, de même que le fer ne se mêle point avec l’argile « .

La prévisible entrée de la Turquie dans l’Union européenne ne fera que confirmer la vision de Daniel et scellera ainsi la Prophétie biblique des derniers Temps.

 » Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. À sa vue, je fus frappé d’un grand étonnement. «  (Ap 17/6)

Soyez bénis.

(1) Lors du Complot Babington (The Babington Plot) en 1586, les Jésuites, ainsi que d’autres catholiques papistes planifièrent d’assassiner la Reine protestante Élizabeth I, de placer Marie Stuart la catholique, Reine d’Écosse, sur le trône d’Angleterre et d’amener celle-ci sous la coupe du pape de Rome. Ce complot fut découvert et Marie fut exécutée pour les malheurs suscités. Après l’échec de ce complot, le pape, ligué avec Philippe II d’Espagne, fomenta l’invasion de l’Angleterre dans le but de l’amener sous contrôle papal. En 1588, l’Espagne envoya les 136 vaisseaux de son Armada espagnole contre l’Angleterre. Mais une tempête énorme dévasta l’Armada et permit à  l’Angleterre de défaire l’Espagne avec seulement 30 vaisseaux après une bataille maritime de huit heures. Les attaques politiques et religieuses de Rome contre l’Angleterre protestante continuèrent jusqu’en 1641 et au-delà  ; en cette période noire, Rome planifia une insurrection meurtrière en Irlande, dont l’objectif était d’assassiner tous les protestants irlandais sans exception. 150.000 innocents, hommes, femmes, vieillards, enfants et même bébés furent massacrés de toutes les façons possibles. Le Cardinal Richelieu, ministre français avait promis aux conspirateurs un support considérable en hommes et en argent. Comment s’étonner que la France paye maintenant encore tous ces crimes odieux en subissant tous les problèmes sociaux, politiques et économiques que l’on sait…

Encyclopédie Collier, volume 13

Edmond Paris, Histoire secrète des Jésuites

(4) Le sang du roi Louis XVI et de la Reine Marie-Antoinette crie vengeance et attire sur la France de très graves malédictions que nous subissons encore aujourd’hui.

(5) l’origine du nombre 322 est attribuée à  l’année de la mort de Demosthène (322 av J.C), mais d’autres théories plus ou moins obscures circulent sur la véritable origine de ce nombre 322.

(6) Antony C. Sutton, Le pouvoir occulte américain – L’Ordre des Skull and Bones