Donald Trump, homme de parole et de courage, a pris une décision juste. Que D. ieu le bénisse et le protège !

 

Transférer l’ambassade des USA à  Jérusalem signifie reconnaître officiellement la ville du Roi David comme la capitale d’Israël. Une vérité historique, n’en déplaise aux négationnistes de l’histoire du peuple Juif ! Toutefois, cette héroïque décision de Donald Trump enflamme déjà  le monde musulman et inquiète l’Occident, toujours aussi courageux. D’ores et déjà , des menaces à  peine voilées fusent. C’est ainsi que les arabo-musulmans ont toujours progressé, en distillant la peur dans le cœur des mécréants.

 

Toute cette agitation planétaire prouve une fois encore qu’Israël, ce petit pays, est bien le centre du monde.

Le Hamas a promis une escalade de l’intifada si l’Administration américaine devait reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël. Selon cette organisation terroriste, cette reconnaissance équivaudrait à  une flagrante agression à  l’encontre de la loi internationale, qui considère Jérusalem comme un  »  territoire occupé  »  .

Toujours d’après les terroristes du Hamas, reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël est une façon de légitimer le crime de la judaïsation de la ville et l’expulsion des  »  Arabo-palestiniens  « .

Les Juifs veulent judaïser Jérusalem, leur capitale ancestrale! C’est la blague du siècle !

Si crime il y a, c’est la réécriture honteuse de l’histoire de Jérusalem par l’UNESCO via la négation de tout lien entre le peuple juif et Jérusalem, capitale fondée par le Roi David il y a plus de trois mille ans.

L’Autorité palestinienne a mis en garde les USA :  »  Cette décision mettra fin à  toute possibilité d’un accord de paix.  « 

Les hypocrites : ils ne veulent pas la paix, mais l’éradication pure et simple d’Israël et de son peuple.

Jérusalem est la capitale une et indivisible d’Israël et ainsi elle le restera. Un état palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale serait une aberration totale.

Le ministère des Affaires étrangères égyptien a appelé Washington à  agir avec  »  sagesse   » par rapport à  toute décision relative à  la Ville sainte, afin d’éviter d’accroître la tension dans la région.

L’antisémite université al Azhar du Caire, l’un des principaux centres d’enseignement de l’islam sunnite, a mis en garde Washington. Une reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu alimenterait des sentiments de rage dans le monde musulman, menacerait la paix dans le monde et approfondirait la tension, la division et la haine des musulmans… Toujours animés de bons et pieux sentiments les fidèles d’Allah. Ils ont la rage haineuse chevillée au corps.

En Jordanie, le ministre des Affaires étrangères a averti le Secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, que cette décision suscitera une très grande colère à  travers tout le monde arabe.

Et le colérique sultan d’Ankara a fait remarquer que le statut de Jérusalem est la ligne rouge à  ne pas franchir. Lui, il y a longtemps qu’il a franchi la ligne rouge de la démocratie dans son propre pays!

Quant au président jupitérien, il a exprimé sa grande préoccupation lors d’une conversation téléphonique avec Donald Trump. Selon lui, la question du statut de Jérusalem doit trouver la solution dans les négociations de paix entre Israéliens et  »  Palestiniens  « . Quel doux rêveur !

Il serait illusoire d’attendre un quelconque soutien de la part de l’UE, trop occupée à  poursuivre l’islamisation de ses états membres et à  apaiser les nations arabes, quitte à  cautionner le déni des droits historiques des Israéliens à  leur terre ancestrale. L’UE, en soutenant les résolutions infâmes de l’UNESCO, est complice de l’appropriation et de l’islamisation du patrimoine spirituel et culturel du peuple juif par les Arabo-Palestiniens. Ces derniers, n’ayant pas de passé historique, s’approprient de l’histoire d’Israël, l’arabisent et l’islamisent. Tradition musulmane, qui se poursuit sans trêve depuis de 14 siècles !

Juste pour rappel, Jérusalem est mentionné 669 fois dans la Torah et Sion, qui signifie Jérusalem, parfois la terre d’Israël, 154 fois, soit 823 fois au total. Dans les Evangiles, Jérusalem est mentionnée 154 fois et Sion 7 fois. Dans le coran, Jérusalem et Sion apparaissent aussi souvent que dans le Hindu Bhagava-Gita, le Taoist Tao-Te Ching, le Buddhist Dhamapada et le Zorostrian Zend Avesta, c’est à  dire pas une seule fois.

Alors, claironner que Jérusalem est le troisième lieu saint de l’islam est un mensonge colossal. Hélas, plus le mensonge est gros, plus il passe facilement.

Quant à  la mosquée d’Al-Aqsa, le soi disant  »  troisième lieu le plus saint de l’islam  « , elle fut construite sur le Mont du Temple, le site le plus sacré du Judaïsme, à  l’emplacement du deuxième Temple, détruit par Titus, le fils de l’empereur Vespasien, en l’an 70 après Jésus-Christ.

Aujourd’hui encore dans la ville de Rome, il existe un témoignage de la destruction de Jérusalem par les Romains. Il s’agit de l’Arc de Titus, un arc bâti à  l’entrée des forums romains en souvenir du triomphe de Titus. Sur l’une des fresques de l’arc de Titus, on peut apercevoir des Romains porter la Ménorah, le chandelier à  sept branches des Hébreux. Il faisait partie des trésors trouvés dans le temple de Jérusalem et rapportés à  Rome. Temple, qui selon les Arabo-Palestiniens n’a jamais existé ! Nier l’existence du temple de Jérusalem, c’est aussi nier l’histoire de l’Empire romain, celle du christianisme, mais ce n’est pas cela qui perturbera les effaceurs de l’histoire d’Israël.

Cette mosquée a toujours été au centre du conflit arabo-israélien. Quasi toutes les organisations politiques arabes connues ont exprimé le vœu de  » libérer Al-Aqsa de  »  l’occupation juive.   »

Comment un pays peut-il occuper une terre, une capitale qui lui appartiennent depuis des millénaires ? Mystère arabo-musulman !

Une petite anecdote sur l’histoire de Jérusalem du début du XXe siècle, peu connue en Occident, et qui démontre l’intérêt très limité des musulmans pour Jérusalem à  cette époque-là . Jérusalem n’est devenue  »  précieuse   » pour les Arabo-Palestiniens qu’après 1967.

En 1917, les maîtres turcs de Jérusalem, très courageux devant la progression des troupes britanniques, préférèrent abandonner la ville au lieu de la défendre et l’évacuèrent avant l’arrivée des soldats britanniques. Ils avaient, toutefois, pris la décision de faire raser la ville sainte après leur départ. Jamel Pasha, le commandant en chef ottoman, donna l’ordre à  ses alliés autrichiens de détruire la ville, de l’envoyer en enfer, si les Britanniques devaient y pénétrer. Les Autrichiens pointèrent donc leurs armes sur le Dôme du Rocher avec suffisamment de munitions pour soutenir un bombardement intensif de deux jours.

D’après le journaliste Pierre van Paasen, si le Dôme existe encore aujourd’hui, c’est grâce à  un capitaine d’artillerie juif de l’armée autrichienne, Marek Schwartz, qui au lieu de répondre à  l’avancée des troupes britanniques par un barrage de feu contre le Dôme, décida de désobéir aux ordres et rejoignit tranquillement les lignes britanniques. (danielpipes.org/the-muslim-claim-to-jerusalem)

Ci-dessous, deux photos qui illustrent tout l’intérêt porté par les musulmans au Dôme du Rocher.

Le Dôme du Rocher en 1890. La mosquée semble abandonnée : l’esplanade envahie par les mauvaises herbes montre que personne n’y vient jamais. La fontaine est à  sec, endommagée. (Israeli Daily Picture site)

Photo du Dôme du Rocher dans les années cinquante (1950) sous contrôle jordanien

 

Mahmoud Abbas, le roi Abdallah de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi ont joint leurs voix au chœur des lâches et des mécontents, avertissant Donald Trump que toute décision unilatérale des Etats-Unis en faveur de Jérusalem comme capitale d’Israël pourrait déclencher une énorme tempête. Le contraire aurait été la surprise du siècle.

Les États-Unis se sont pliés à  ce chantage pendant des décennies. Par sa juste et courageuse décision, Donald Trump envoie un signal fort : nous ne serons plus intimidés. Les menaces d’un djihad nous rendront plus forts à  long terme. Nous ne serons plus manipulés par vos promesses de violence. De toute façon, les Arabo-Palestiniens mènent le djihad contre Israël depuis des décennies. La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël ne constituera que le dernier prétexte à  la justification d’un énième déferlement de haine et de violence, car ces gens ne veulent pas la paix avec Israël, mais sa destruction.

Si l’Occident n’était pas aussi frileux, lâche et faible, il se joindrait à  Israël et à  Donald Trump au lieu de les juger, les condamner, les supplier de céder au chantage perpétuel des Arabo-Palestiniens. Face à  ce front uni, les arabo-musulmans seraient moins arrogants, car ils méprisent la faiblesse, mais reculent devant la force.

 

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