Paroles reçues – Jean-Clément – samedi 11 mai 2013

empreintes-pas-couchant

Jésus: Lorsque j’ai pris le rouleau d’Esaïe (lecture de Mathieu début du ministère de notre Seigneur) et lorsque j’ai lu ce passage, c’était au début de mon ministère.

De même pour vous, aujourd’hui, il est vrai que j’ai déclaré cette année de grâce pour restaurer les cœurs brisés, rendre la vue aux aveugles, que les sourds entendent, restaurer les cœurs brisés, restaurer les cœurs affligés.

C’est ce que je veux faire encore pour guérir, délivrer, restaurer, au milieu de vous et avec vous.

 

Vous êtes comme Abraham, il ne savait point où je l’amènerai mais je l’ai amené, en le conduisant chaque seconde, chaque minute, chaque jour. C’était Moi qui guidais ses pas sur le sentier, vers le pays promis.

S’il n’avait pas écouté, s’il s’était détourné, c’eût été au péril de sa vie.

Il n’est pas écrit dans la Parole comment je l’avais conduit: tout le long du chemin, il y avait des brigands, des précipices, des montagnes à  gravir, à  descendre, des rivières à  traverser. C’est Moi qui l’ai conduit. Ce n’est point écrit dans la Parole, mais c’est ainsi que cela s’est passé. Vous aussi, vous devez   être à  mon écoute seconde après seconde, jour après jour. Mon désir c’est que vous soyez comme Abraham, à  mon écoute, comme lui était à  mon écoute. Soyez à  mon écoute, afin que ce soit Moi qui vous conduise, qui vous dirige, dans ces temps qui arrivent. Alors, comme dans le Psaumes 23 de David, ma houlette et mon bâton vous rassureront, dans la vallée de l’ombre de la mort, vous n’aurez aucun mal car Je serai avec vous.

Si vous êtes vraiment à  mon écoute, aujourd’hui commence pour vous un nouveau chemin, une nouvelle route. Je vais vous restaurer, vous transformer, vous guérir et ce que je fais pour vous, je le ferai aussi pour vos frères et sœurs, ceux qui marcheront dans mes voies. Comme pour Abraham, je vous conduirai sur mes sentiers, seconde après seconde, jour après jour. Je ferai de vous une nation, un peuple que Je conduirai. Vous êtes ce peuple que J’ai greffé à  Mon peuple. Vous êtes ce peuple béni, comme Je bénis mon peuple  ; vous aussi, Je vous bénis avec abondance.

C’est vrai, vous êtes des ministres, des ambassadeurs, mais il vous faut en outre être limpides, clairs, purs , comme l’eau qui coule de mon trône est claire, pure, limpide. C’est cela que je demande, c’est là  mon exigence.

Ce peuple, sur qui est invoqué Mon Nom, doit être pur, sanctifié. Alors c’est Moi qui restaure et qui guéris.

Je vais retirer de vous le vêtement de deuil pour mettre une parure de louange, d’adoration, remplie d’or. (Comme Je me réjouis car vous rentrez avec abondance maintenant dans ce plan que Je veux pour vous.)

Comme avec Abraham, Je vous mènerai, je vous mènerai, je vous mènerai. Soyez à  mon écoute, seconde après seconde, heure après heure, jour après jour. La nuit Je veillerai sur vous, le jour Je serai votre droite, votre soutien. Les rayons du soleil ne vous toucheront pas, ni la lune la nuit. Vous n’aurez jamais soif, vous n’aurez jamais faim, vos habits ne s’useront point.

Dans ces temps de la fin, Je rassemble mes enfants qui marchent dans Mes voies. Allez chercher ceux en recherche, en train de se perdre, parmi mes enfants aussi. Je pleure sur eux car les personnes sont entraînées dans de mauvaises voies, dans des fausses doctrines. Beaucoup ont l’apparence de la piété, mais ils oublient ce qui en fait la force. Mon âme pleure, car Mon peuple, sur qui est invoqué Mon Nom, est en train de se déchirer à  cause de fausses doctrines, à  cause des loups ravisseurs, à  cause des pasteurs se paissant eux-mêmes en oubliant les brebis malades, les brebis blessées, les brebis captives. Ces brebis égarées ou délaissées, il faut les ramener dans la bonne bergerie, pas une bergerie constituée de murs, mais dans la bergerie de mon Royaume.

C’est Moi qui vais vous conduire, Je serai votre droite.