Monsieur le Président,

Ceci est la dernière lettre publique que je vous adresse, après quoi je me tairai pour toujours, du moins vous concernant et concernant ceux qui vous font hypocritement et servilement allégeance depuis le début de la fausse pandémie du coronavirus.

Bientôt un an que cette comédie dure…

Elle a assez duré maintenant.

Nous, citoyens de France en avons largement assez de vos manigances, faux-semblants, atermoiements, fausses commisérations, décisions à l’emporte-pièce, le tout faisant partie d’un arsenal politico-policier aussi arbitraire que totalement illogique et cruel.

  1. le Président, vous n’êtes pas le président de tous les Français, loin s’en faut, et de plus en plus de mes concitoyens sont en train de se réveiller pour constater votre incurie volontaire, l’infantilisation et l’abêtissement de vos mesures et décrets aussi absurdes qu’inutiles, votre méchanceté déguisée sous une espèce de faux paternalisme, car en réalité vous haïssez et la France et les Français, vous vous hissez vous-même sur une sorte de piédestal d’autosatisfaction permanente, vous cultivez une détestation croissante de ce peuple que vous dirigez de façon totalement illégitime, en vous entourant de personnages plus que douteux qui vous servent de faire-valoir, ouvriers trompeurs, ayant en eux la même méchanceté qui est la votre, sorte de mafia gouverne-mentale, ramassis de dérangés mentaux, aussi inutiles que dangereux, tout juste bons à placer sans ménagements dans des établissements spécialisés aptes à accueillir ce genre de pathologie de dégénérés que vous êtes devenus en quelques mois d’une pitoyable gouvernance.

Oui M. le Président, le peuple vous déteste, et il vous le rend très bien !

Comment pourrait-il continuer à vous obéir aveuglément tandis que vous vous acharnez à le détruire d’abord moralement, puis, à l’aide d’un soi-disant vaccin qui n’est qu’un immonde tripotage pseudo-scientifique, à le détruire physiquement, à commencer par les plus faibles, nos aînés qui ont trimé toute une vie pour rien et que vous jetez comme des déchets, et encore…des déchets peuvent être recyclables et bénéficier éventuellement d’une seconde vie, mais en ce qui concerne nos « vieux », rien, si ce n’est une fin définitive sans espoir de retour.

Tout ce méli-mélo, cette dramaturgie pour quoi en définitive ?

Tout simplement pour obéir à une stratégie de domination des peuples, les manants que nous sommes à vos yeux, en utilisant la peur, peur de la maladie, peur de la mort, peur du lendemain, peur de l’autre, peur du gendarme ou du flic, peur du qu’en dira-t-on, que sais-je encore…

Vous nous prenez donc pour des imbéciles incultes et ignorants, seulement préoccupés par leurs emplois, leurs loisirs et leurs estomacs ?

Non Monsieur, les Français sont des gens intelligents oui !

Vous oubliez, ou feignez d’oublier le passé culturel et religieux de ce pays, que beaucoup nous envient, notre langue de Molière était jadis le passage obligé de la diplomatie et de la culture internationales, nous avons les meilleurs chefs cuisiniers du monde, nous avons les meilleures universités, les meilleurs médecins et scientifiques -du moins jusqu’à ce que ce virus stupide et néanmoins impitoyable n’ait été révélé, nous avons les meilleurs écrivains, etc…et vous, petit président illégitime, vous voulez balayer de la main toute ces richesses qui ont fait la gloire de ce pays pendant des siècles !

Mais pour qui vous prenez-vous donc ?

Il est vrai que vous avez essuyé vos augustes fesses sur les bancs des Jésuites, vos maîtres à penser qui vous ont appris la tromperie, le mensonge et la dissimulation. Certes, vous étiez à bonne école et vous n’avez rien oublié des leçons qu’ils vous ont inculquées pendant toutes ces années passées en leur compagnie (c’est le cas de le dire, « Compagnie de Jésus »… Quelle offense ! Jésus, que de bêtises faites en ton nom !).

C’en est assez !

Trop c’est trop !

La France en a assez de votre présence indésirable. Vous n’êtes qu’un destructeur, un voleur de liberté, votre appétit de domination est incommensurable, mais la réalité est que vous n’êtes qu’un pion, une minable marionnette entre les mains de ceux qui veulent à tout prix assoir leur domination sur ce monde en déroute. Nous ne sommes plus du tout dupes de ce petit manège. Le jour où ceux-ci n’auront plus besoin de vous, ils vous élimineront comme un moins que rien, et nous prions pour que ce jour arrive très vite ! Oui, Monsieur, nous prions pour que ce Dieu qui a créé les cieux et la terre, nous débarrasse de votre encombrante et toxique présence, oui nous prions pour que le Véritable Roi prenne votre place en mettant à la tête de cette nation celui qu’Il aura désigné pour gouverner ici-bas, jusqu’au temps marqué où Il règnera en personne sur l’humanité toute entière, dont vous aurez, vous et vos valets de chambre, été exclus sans aucune pitié ni miséricorde.

Vous êtes semblable à ce pharaon d’Égypte, impitoyable et cruel, dont le cœur était si endurci qu’il n’était plus possible de lui accorder la moindre grâce.

Nous, peuple de France, n’avons que faire de vos lois et décrets mortifères, et nous nous donnons le droit légitime de désobéir à vos ordres, et personnellement j’appelle tous mes concitoyens à vous tourner le dos et à manifester publiquement notre vive désapprobation, afin d’épargner, s’il est encore possible, le pire à notre grande nation et à ses habitants.

J’en ai déjà trop dit.

Le reste, Dieu s’en chargera selon Sa volonté, mais sachez cependant que vous n’êtes pas immortel, et qu’un jour ou l’autre, le Créateur se chargera de vous et de vos aides de camp tout dévoués, pour vous faire comprendre qu’on ne se moque pas de Dieu et de ses lois.

Monsieur le Président, j’ai l’honneur de ne point vous saluer.