(Un communiqué de Stéphanie Bignon, présidente de Terre et Famille.)

La violence d’un régime qui s’est imposé par un génocide, celui des vendéens ?

La violence de ceux qui mirent en place les inventaires et la spoliation des biens de l’Eglise à  la suite de la loi de 1905, envers et contre le peuple ?

La violence d’un matraquage intensif des esprits par l’éducation nationale pour désapprendre tout, y compris notre Histoire au profit de la théorie du genre et des  » droits sexuels  » ?

La violence des législateurs qui osent décréter la liste des sujets tabous ?

La violence du mépris de 54.8 % des français contre le traité de Lisbonne lors du référendum du 29 mai 2005 ?

La violence qui crée le déséquilibre partout et culpabilise ceux qui osent dire que l’immigration est un malheur pour tout le monde ?

La violence qui consiste à  imposer ce qui serait bon pour les familles, à  imposer le choix de l’école, les vaccins, le médecin et la médecine… ?

La violence qui consiste à  rendre la vie des petites villes et villages impossible (loi NOTRe) ?

La violence qui consiste à  ignorer, mépriser des millions de français qui manifestent pour le retour du bon sens et contre la loi Taubira ?

La violence qui consiste à  défendre des hystériques aux seins nus (Femen), anges noirs de George Soros, contre des militaires français ou les gardiens de la cathédrale Notre Dame de Paris, fidèles à  leur vocation de protecteur ?

La violence impliquée par la  » marchandisation  » de la vie à  travers la PMA, la GPA, la manipulation génétique sans vergogne ?

La violence qui consiste à  faire passer un chevalier pour un voyou et un voyou pour un chevalier ?

La violence qui transforme les femmes,  » sentinelles de l’Invisible « , en porteuses de matraques ?

La violence qui est hypocritement voilée sous le terme  » plan de restructuration  » des entreprises et qui masque le chômage et le déclin de l’investissement pour satisfaire les pulsions malsaines de quelques-uns ?

La violence qui installe la loi du plus gros (Uberisation) contre les petites entreprises ?

La violence qui détruit le service public ?

La violence qui est complice de la médecine qui rapporte ?

La violence qui pousse au suicide nos paysans ou à  les faire tuer de deux balles dans le dos parce qu’ils s’opposent à  l’industrialisation de l’agriculture, comme Jérôme Laronze le 20 mai 2017 à  Sailly ?

La violence qui taxe à  mort le travail pour financer l’idéologie dominante ?

La violence du soutien aux terroristes d’Al Nosra en Syrie ?

La violence qui consiste à  tout faire plier devant l’argent ?

La violence qui a eu pour but de contrôler ce qui était vital (politique, économie, énergie, agriculture, santé, éducation, instruction, …) et qui maintenant a pour ambition ultime de contrôler la Vie elle-même ?

La violence qui finalement vous pousse à  votre propre destruction ?

Si oui, Monsieur le Président, alors nous sommes d’accord, la violence est à  combattre de toutes nos forces.

Stéphanie Bignon

Terre et Famille

Janvier 2019