Extraits:

… La panique et le masque de la déraison, l’influence du harcèlement moral institutionnel et médiatique.

« Nous subissons depuis plus de trois mois un harcèlement moral permanent des autorités en France. Harcèlement sur toutes les radios et télévisions multipliant les messages sur les risques pour soi et les aînés. Mensonges répétés sur l’absence de traitement, ce qui est faux (lire France Soir sur les manipulations de l’industrie pharmaceutique).

Ces excès des institutions publiques et des multinationales à imposer le port obligatoire du masque, qui n’est recommandé qu’en France, exige une analyse. Décérébration généralisée, mieux et plus que la télévision, pour soumettre les gens formatés à l’obéissance et à la pensée unique.

« La peur du Coronavirus n’est pas justifiée, l’épidémie est terminée en Europe, le traitement Raoult marche et on doit l’exiger pour les cas qui vont apparaître. La peur doit s’inverser, la raison doit l’emporter plutôt que se laisser envahir par la peur orchestrée d’une 2ème ou 3ème vague pour vendre un vaccin. »

francesoir.fr : Crise du Coronavirus en France : épidémie terminée et panique organisée. Pourquoi ?

En mars 2020, la France est entrée dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de Macron qui font tout pour prolonger la panique sans justification médicale réelle. Confinement : restez chez vous (sous contrôle policier tatillon) pour empêcher les hôpitaux d’être débordés et limiter le nombre de morts causé inéluctablement le Covid-19. La rupture des liens sociaux est nécessaire pour sauver nos vieux !

Résultat : Confinement : la pire catastrophe française depuis 1940 ! Macron a déclaré la guerre au Covid-19 et il a justifié la suspension des libertés fondamentales des Français ! Trois mois plus tard, ces mesures ont abouti à l’assassinat de nos anciens dans les Ehpad, les lits des cliniques privées sont restés vides, même dans les régions qui ont enregistré le plus grand nombre d’hospitalisations liées au Covid-19 (et qui ont transféré des patients à l’étranger) et que la France se situe parmi les pays qui comptent le plus de morts du Covid_19 par million d’habitants. La réalité est à l’opposé de ce qu’annonçaient les prédicateurs de l’apocalypse, leurs simulations et le comité scientifique, celui-là même qui aujourd’hui recommande de porter des masques, de faire tester toute la population, alors que la maladie a majoritairement quitté le territoire.

La protection des aînés, les victimes désignées du Covid-19, constituait l’objectif officiel prioritaire du confinement. Or toutes les mesures prises durant la loi d’urgence ont abouti à les éliminer sans témoin et en empêchant de leur rendre le dernier hommage. Le meurtre avec préméditation par Covid-19 non traité et/ou Rivotril des pensionnaires des Ehpad constitue l’infamie la plus triste du confinement. Pendant le confinement des milliers de personnes n’ont pas pu recevoir les soins nécessaires parce que le plan blanc réservait toutes les capacités d’hospitalisation pour le tsunami Covid-19 qui n’allait pas manquer de nous submerger partout !

En réalité de nombreux hôpitaux sont restés à moitié vides pendant tout le mois d’avril et les cliniques privées vidées de tout malade ont dû recourir au chômage partiel de leur personnel ! Sauf quelques cliniques parisiennes et durant une quinzaine de jours, les lits privés sont restés vides faute de malades hospitalisés.

Et en même temps, pour montrer qu’il était efficace, Macron a organisé des grands spectacles TGV ! Covid et hôpital militaire de campagne alors qu’il suffisait d’utiliser les cliniques privées pour trouver des lits, des respirateurs et des soignants en nombre suffisant. Pénélope De Feuquières, du groupe Elsan qui compte 120 établissements majoritairement en régions : « Vu la situation dans l’Est, c’est difficile de comprendre pourquoi ces lits restent vides. D’autant plus alors que des patients sont transférés vers d’autres régions » !

Un des pires taux mondiaux de mortalité !  On juge une mesure sanitaire à son résultat : le nombre de morts par million d’habitants. Sur ce critère, d’après les chiffres OMS du 24 juillet, la France se place au 6ème  rang mondial des plus fortes mortalités des 197 états membres avec 483 décès/million derrière la Belgique (846/M), la Grande-Bretagne (671/M), l’Espagne (608/M), l’Italie (580/M) et la Suède (562).

Si Macron avait décidé, comme les allemands, de mettre en quarantaine, (d’isoler pendant 15 jours) les porteurs de virus de la population saine, on compterait 25000 morts de moins. L’absence de test n’est pas une excuse : c’est parce que le ministère n’en a pas voulu qu’on n’en a pas eu. Au début de la épidémie, les allemands ne disposaient pas de tests pour cette maladie nouvelle. Merkel a permis à tous les laboratoires y compris vétérinaires d’en pratiquer alors qu’en France le ministère et les Agences Régionales de Santé ont refusé. Sans tests la mise en quarantaine des infectés aurait été possible et efficace sur les signes cliniques car les infectés asymptomatiques participent peu à la diffusion de la maladie. Mais on a renvoyé les infectés chez eux infecter leurs proches et les vieux dans les Ehpad ce qui augmentait la durée d’exposition au virus !

Le Salon beige : Covid 19 : De plus en plus de médecins accusent Macron d’entretenir volontairement une peur disproportionnée. Sur BFM TV, le docteur Toubiana, épidémiologiste, s’est exprimé de manière très franche. Il dénonce les mensonges et l’entretien par les médias d’un climat de peur infondée. Il estime qu’il n’y a rien qui justifie cette peur puisqu’il n’y a pas d’épidémie. Il affirme faire l’objet de pressions pour ne pas sortir du discours officiel !  Le docteur Patrick Barriot déclare sur Boulevard Voltaire que le taux de létalité du SRAS-CoV-2 (nombre de décès par rapport au nombre de personnes infectées) est légèrement supérieur à celui de la grippe saisonnière (0,1-0,2 %) et très inférieur à 1 %, les malades les plus à risque de mourir étant âgées de plus de 65 ans et porteurs de comorbidités. Depuis le début, Macron a hystérisé la dramatisation de l’épidémie (la guerre, décompte quotidien des morts…) et entretenu une angoisse disproportionnée parmi la populationNous sommes dans une situation de crise sanitaire mal gérée, mais pas dans une situation de guerre ni de catastrophe. Le virus SRAS-CoV-2 menace plus nos libertés et notre économie que notre santé….

 

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