I – La première guerre* de l’État-Macron, un ennemi de la taille de 0,06 à 0,14 micron

(* « Nous sommes en guerre » ! Le verbatim du chef d’État, un leitmotiv réitéré six fois dans son discours du 16 mars 2020)

Entre les 10 et 24 avril 2022, il subsiste une chance pour la France de retrouver ses marques républicaines. À cet instant de l’histoire de l’Hexagone, il demeure encore possible de stopper une dictature en marche.

Pour appréhender les risques qui se trament avant de fermer le rideau de l’isoloir, comprenons d’abord qu’il faut préserver la Constitution pour qu’elle n’achève pas sa course dans un placard de l’Élysée. Gageons que cela n’arrivera pas si la France, à l’instar de celle des « Lumières » et des « Trente Glorieuses », se redresse avec courage et dignité, en vue de préserver ce qu’il reste de la Révolution de 1789, puis celle des grognards, des poilus et des maquisards morts pour la France.

À ce jour, la République se voit bradée aux consortiums étrangers, avec un Président qui déclara sans ambages vouloir « déconstruire la France » et « dénier qu’il existe une culture française ». Pour y parvenir, ce chef d’État aura augmenté de ± 500 milliards d’€ le déficit public de la France, augmenté de plus d’un million de chômeur d’ardoise de Pôle Emploi, coulé plus d’un demi-million d’entreprises, puis violé moult lois nationales et de traités onusiens. Autant dire qu’il ne subsiste plus à ce jour qu’une partie congrue de la démocratie, et que si les électeurs avaient l’imprudence de reconduire ce fossoyeur de la République à la tête de l’État, plus aucune liberté ni droit naturel ne serait à l’abri de ses dérives morales et budgétaires qui épuiseraient ce qu’il reste encore debout dans ce pays miné par la corruption et la suffisance de sa junte de parvenus.

L’État-Macron ne fait pas seulement que se constituer l’oppresseur d’une partie des Français qui refuse le vaccin Covid, aujourd’hui incontestablement responsable de dizaines de milliers de morts et de centaines de maladies auto-immunes, de graves à très graves voire invalidantes ; tant en France que sur les citoyens des membres de la communauté européenne. Les pathologies post-vaccinales rattrapent celles du virus, mais en laissant au passage une empreinte génétique possiblement délétère pour la postérité de l’espèce humaine. Les organismes officiels de veille sanitaire et de pharmacovigilance témoignent sans ambages de ces pathologies et décès, ainsi les pôles continentaux de contrôle de médicaments, tels EudraVigilance, European Medecines Agency, Priority medecine (PRIME), entre autres organes nationaux comme l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament [ANSM] ou The UK Health Security Agency [UKHSA] (Voir l’ouvrage « La poule aux œufs d’or… », p. 64, 96 et 150 à 152, et « Overdose de vaccins et voyoucratie », p. 47, 78 à 79 et 136 aux Édition de l’Observatoire du Mensonge distribué par Amazon/Kindle, broché ou numérique).

Au-delà de la mise en danger de la vie d’autrui (art. 223-1 et suiv. du Code pénal), l’Exécutif s’est par ailleurs constitué le vidangeur des finances publiques en dilapidant les caisses de Bercy par la distribution de centaines de millions d’€ à des bureaux d’études transnationaux, des sociétés de droit privé, tels des cabinets conseils et de consultants ; autant et d’entreprises obscures et de rating qui procèdent à des fouilles numériques minutieuses entre hacking et fabriques de falk news ; tous directement mandatés et financés depuis l’Élysée à Matignon. Comprenons que ces organes œuvrent aussi bien pour le compte des gouvernements nationaux que pour celui des députés européens pour élaborer des textes officiels (lois, décrets, directives, règlements, décisions, recommandations, avis, notifications etc.). Le tout est souvent rédigé sur fond de copier/coller, en changeant de-ci de-là les titres documentaires, les adresses et les enseignes, ficelés puis expédiés contre des millions d’€ que paient les contribuables, en raison de l’incompétence caractérisée et les malversations de ces élus de la Nation, comme il en va de leurs représentants de la Communauté européenne.

Pour illustrer cette gabegie et ces outrages, citons Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, dont son époux est directeur médical d’Orgenesis Inc. ; l’une des firmes de la chimie pharmaceutique au service du Big Pharma. Cette société de biotechnologie US est spécialisée dans les thérapies géniques, ce qui en fait un laboratoire partenaire à la recherche vaccinale anti-Covid. Comme si cela n’y suffisait pas, David von der Leyen, précisément le fils de la Président de la Commission européenne, est un membre directeur de ladite firme McKinsey, lequel participe aux bénéfices de l’entreprise en raison de ses interventions dans les domaines d’élaboration technologiques autour des campagnes vaccinales et des plans juridico-stratégiques d’enfermement des citoyens.

À ce titre, David von der Leyen fait partie des conseillers au cabinet directeur de la présidence à l’Élysée, donc fatalement rémunéré sous l’égide d’Emmanuel Macron. De sorte que cette société, aux multiples facettes d’activités, aura activement participé, sinon orchestré chaque étape de la crise sanitaire, en passant par les mesures de confinement, de la commercialisation des vaccins expérimentaux, car privés d’autorisations de mise sur le marché régulières(non vidées de leur substance par décret), d’où des principes élémentaires de précaution galvaudés. Puis encore, Une législation inique et sans précédent depuis l’occupation nazie, il fut instauré des passes sanitaires, dont la mise au point numérique du QR code TAC., pour discriminer les citoyens et les placer dos à dos entre les citoyens vaccinés et les non-vaccinés nonobstant l’absence de protection prophylactique et préventive des vaccins en termes de contamination et de nocuité.

Observons-là les manœuvres corédactrices des textes de l’Union qui facilitent et organisent le commerce massif des vaccins sur toute la géographie de l’UE. Ce marchandising juteux pour les donneurs d’ordre politiques stipendiés, procède à une haute voltige digitalisée en basculant les profits engrangés, via les banques nationales et les sociétés financières, lesquelles transfèrent ces dividendes et royalties versés par les laboratoires sur les comptes numérotés des sociétés extraterritoriales (paradis fiscaux). Une fois enseigné, depuis les grandes écoles administratives, ce processus pervers consistant à modéliser les acteurs politiques, il ne reste plus qu’aux heureux élus à transformer ce savoir-faire mafieux en coffre-fort personnel, tout en agitant l’étendard du pays et en chantant l’hymne national ; mais une posture félonne qui agit pour le compte d’un mondialisme réducteur de frontières, donc de souveraineté ou d’identité nationale. Exit la probité et le sens patriotique du devoir envers la Nation !

Dans un précédent ouvrage titré « Overdose de vaccins et voyoucratie » (op. cit., p. 113 à 119), il fut offert un aperçu de ces distributions dispendieuses de l’argent des contribuables et des cotisants sociaux, notamment pour financer le coût de l’immigration musulmane, des émeutes, razzias et du terrorisme qui en découlent pour une somme rondelette de 100 milliards d’€ l’an. Voyons ici une générosité que s’offre Emmanuel Macron, à l’instar de son prédécesseur François Hollande, avec l’argent de ses concitoyens ; mais une génuflexion devant les émirs du Golfe, lesquels, par cet accord tacite animé de contrats juteux et de bakchichs, pour un déversement ininterrompu de réfugiés musulmans sur le vieux continent, répond au graal islamique d’un grand khalifat. Mais côté Covid et vaccins, il faut multiplier par cinq le coût exorbitant des dépenses inutiles engagées depuis 2020 au motif galvaudé de crise sanitaire, car sans aucun résultat prophylactique au bout de ces campagnes vaccinales.

Or, l’économie et les finances du pays furent lourdement grevées par les mesures de rétorsions arbitraires de l’Exécutif, comme les licenciements massifs des Français non vaccinés, puis encore la confiscation des libertés de cette partie de la population réfractaire à ces injections hasardeuses, donc potentiellement pathogènes car non empiriques. Rien ne sera épargné pour faire passer en force des commandes de fioles vaccinales sous le mobile d’un virus qui n’a jamais fait plus de mal qu’une grippe hivernale. Mais pour parvenir à convaincre les populations crédules, sinon les persuader par la force, des milliers de fausses déclarations de mortalité par Covid, par des certificats de décès trafiqués, furent annoncées par les média serviles, car dépendants des subventions d’État. Pire encore, des molécules détournées de leur objet thérapeutiques (benzodiazépines et succédanées tels le Rivotril®), furent libérées par décrets de l’obligation de verrouillage sécuritaire des pharmacies d’hôpitaux, pour être disponibles en officines et injectées en guise de sédation sur des pensionnaires d’Ehpad. Cette manigance fut ourdieà seule fin de gonfler les statistiques de décès par Covid, et ne pas encombrer les CHU avec des vies… jugées résiduelles !

À SUIVRE


Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

Source : Observatoire du MENSONGE