Le débat sur le passe vaccinal commence à peine, et déjà la pulsion génocidaire qui habite tous les idéologues du vaccin se donne libre cours. Jamais, depuis la rafle du Vel d’Hiv de 1942, une telle haine entre Français ne s’était exprimée. Et peut-être même en 1942 était-elle moins prononcée…

 

À force de dresser les Français les uns contre les autres pour détourner l’attention de ses échecs, Emmanuel Macron a semé les germes d’une nouvelle honte nationale.

La pulsion génocidaire est lâchée. Nauséabonde. Fétide. Avec son cortège de petits lâches, de donneurs de leçons qui se croient intouchables, prêts à appeler à l’élimination physique des non-vaccinés, et qui jureront ne l’avoir jamais dit (et se feront même passer pour des résistants de la première heure), le jour où nous leur demanderons des comptes les yeux dans les yeux.

Le voilà donc, le sens de cette expression : “mettre la pression sur les non-vaccinés”, répétées à l’envi par Jean Castex, et qui découle tout entière de la stratégie sanitaire menée par Emmanuel Macron depuis plusieurs mois.

La pulsion génocidaire se donne libre cours

Nous l’avons déjà évoquée au mois de décembre avec le docteur Masson, président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR), contre lequel nous menons une action de shaming que vous pouvez rejoindre.

Elle s’est déchaînée depuis le 1er janvier, cette pulsion, comme si la campagne était planifiée et concertée pour commencer ce jour-là, et pas avant.

Elle obéit au leit-motiv du gouvernement : les non-vaccinés sont des irresponsables qui douvent payer le prix de leur irresponsabilité. Par exemple en ne recevant plus de soins à l’hôpital, ou en n’ayant plus accès aux magasins d’alimentation.

Voici quelques exemples des messages postés sur les réseaux sociaux allant dans ce sens :

https://twitter.com/V3rsusU/status/1477259467754721282?s=20

On notera que plusieurs messages reprennent cette formulation : interdire l’accès des non-vaccinés “à tous les magasins, y compris les épiceries”, qu’on retrouve aussi sous la forme du “aux épiceries et pharmacies”.

Cette répétition des mêmes formules est d’ordinaire le signe d’une orchestration par quelque officine, probablement soudoyée par l’industrie pharmaceutique.

On peut penser que des intérêts puissants attisent aujourd’hui la pulsion génocidaire de nos contemporains, probablement pour écouler toujours plus de vaccins.

Le professeur Grimaldi pousse le vice jusqu’au bout

Ancien chef du service de diabétologie de la Pitié-Salpétrière, et ami de l’industrie du sucre, accessoirement largement financé par les laboratoires pharmaceutiques, le professeur Grimaldi a, pour sa part, proposé dans une tribune retentissante (publiée dans le très macroniste Journal du Dimanche), que les non-vaccinés n’aient plus accès aux urgences.

Une personne revendiquant le libre choix de ne pas se faire vacciner ne devrait-elle pas assumer en cohérence son libre choix de ne pas se faire réanimer?

On lira sous la plume de ce professeur l’un des termes d’un débat crapuleux qui fait l’impasse sur tous les mensonges officiels et visent à désigner un bouc-émissaire unique pour une situation complexe.

Ainsi, pas un mot sur le fait que moins de 4.000 personnes seulement occupent aujourd’hui des lits de soins critiques, soit deux fois moins qu’au printemps 2020 Et l’hôpital serait débordé ? Mais alors, pourquoi avoir suspendu des milliers de soignants non-vaccinés en septembre et en octobre ?

Ce choix absurde, qui a désorganisé l’hôpital, se traduit aujourd’hui par des pénuries de personnel gravissimes.

Et si l’on veut moins de cas graves dans les hôpitaux, pourquoi ne pas autoriser massivement les traitements qui permettent de diminuer le risque de “dérapage” ?

Et pas un mot non plus sur les centaines de milliers d’effets secondaires recensés. Tout cela n’existe pas.

Le seul problème aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés dont aucune statistique française ne dévoile la part exact en réanimation et dans les chambres mortuaires.

Comment Macron joue avec la pulsion génocidaire

Derrière cette logique, il y a tout ce que l’on a entendu dans la bouche du gouvernement (sa “complémentarité” avec la campagne de haine probablement orchestrée par l’industrie pharmaceutique soulève quelques questions de fond, au passage) durant ces derniers jours, et que l’on simplifiera en disant qu’aujourd’hui Macron a désigné les non-vaccinés comme des boucs-émissaires commodes.

Et l’on comprend bien que, pour légitimer le passe vaccinal, Emmanuel Macron doive aujourd’hui mettre en scène, orchestrer, un drame national qui relève de la pure forgerie.

Cette vieille stratégie de manipulation des masses en dit long sur le délabrement moral du régime et du Président lui-même.

Toute la difficulté, dans ce genre d’exercices, c’est qu’on sait où il commence, on ne sait jamais où il finit.

Rien n’exclut que, dans les jours à venir, la pulsion génocidaire ne dégénère gravement. Il faut dire clairement que le gouvernement joue avec le feu, en légitimant par avance les violences que les vaccinés auront envie d’exercer, directement ou par procuration, contre les non-vaccinés.

La France, Rwanda 1993

Cette situation où des voix s’élèvent dans la société civile pour réclamer des sanctions contre une minorité de la population n’est pas sans rappeler le “dérapage” rwandais, où, pendant plusieurs semaines, des groupes Hutus ont appelé à “couper les grands arbres” avant que le génocide commence.

La responsabilité que le gouvernement prend en utilisant les mêmes ressorts, les mêmes mécanismes génocidaires, est immense.

Il faut ici que chacun prenne bien conscience du mauvais coton que nous filons collectivement et des situations de détresse, d’angoisse, d’exclusion, que la stratégie du bouc-émissaire est en train de créer.

Un désastre sanitaire annoncé…

Sur le fond, la seule justification de cette stratégie est de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique.

Si le gouvernement n’avait pas voulu une désorganisation de l’hôpital, il n’aurait pas suspendu des milliers de soignants qui refusent la vaccination. On ajoutera que, depuis que la vaccination obligatoire est instaurée, les soignants continuent à se contaminer allègrement. En plein mois de décembre, on dénombrait ainsi six clusters dans les hôpitaux parisiens.

Six mois après l’instauration du passe sanitaire, les hôpitaux continuent à se dire submerger, et la situation ne s’améliore pas.

C’est le meilleure preuve que la stratégie du tout-vaccinal ne fonctionne pas.

Le fait que cette évidence soit impossible à relever, à débattre, est bien la preuve que quelque chose bloque dans le débat public. L’histoire finira par l’expliquer.

En attendant, la tension dans le pays est extrême, entretenue politiquement pour mener à bien le débat sur le passe vaccinal, et ce calcul-là risque de se payer cher très longtemps.