Je voudrais m’adresser à travers cet article à trois groupes de personnes :

A mes frères et sœurs chrétiens nés de nouveau, ou croyant l’être,

A mes collègues serviteurs de Dieu, pasteurs, prophètes etc…

A vous lecteurs non-chrétiens mais qui néanmoins cherchent la vérité

 A mes frères et sœurs en Jésus-Christ

Nous savons que les temps sont mauvais. Les prophéties s’accomplissent sous nos yeux, le Seigneur est proche. Quand je dis proche, bien sûr que nous ne savons ni le jour ni l’heure où la trompette sonnera, mais ce qui est certain c’est qu’elle sonnera au moment voulu. Et c’est pour ce moment que je voulais adresser un avertissement fraternel à vous tous qui lirez ces quelques lignes.

Dieu est un Dieu de justice, un Dieu d’amour et de miséricorde certes, mais avant tout un Dieu de justice, et sa justice ne va plus tarder à s’exercer sur ce monde impie dans lequel nous vivons. Nous arrivons au terme du temps des nations et de la grâce. Depuis trop longtemps les nations et leurs chefs se moquent du Seigneur et blasphèment Son saint Nom, ils oppriment leurs peuples et n’ont aucune crainte de l’Éternel.

Jésus revient pour enlever une Épouse « sans tâches, ni rides, ni rien de semblable », et non pas une prostituée infidèle, séductrice, aimant le monde plus que son Époux, tâchée, souillée par le péché et par la compromission.

Un véritable tri va s’opérer lors de l’enlèvement, n’en doutons pas un seul instant ; Ce ne sont pas tous les chrétiens qui seront enlevés, loin de là ! Malheureusement beaucoup vivent selon la chair et selon les désirs insensés de ce monde promis à la destruction, telles que le furent Sodome et Gomorrhe, et plus tard Ninive.

Trop, beaucoup trop de chrétiens sont endormis sur leurs lauriers, estimant que leur vie spirituelle est suffisante pour plaire au Seigneur, et que, quoi qu’ils fassent, en bien ou en mal, leur salut éternel est forcément assuré.

Danger ! Vivre sous la grâce est bien plus risqué qu’on le croit. On s’autorise des « petits » écarts, sachant que Dieu pardonne toujours. C’est un salut à moindres frais qui est celui de beaucoup de chrétiens qui en réalité ne sont pas « nés de nouveau », autrement ils n’auraient même pas ce genre de pensée à l’esprit.

«  Travaillez à votre salut, avec crainte et tremblement » nous conseille l’apôtre Paul. Mais aujourd’hui, en plein 21ème siècle, quels sont ceux qui tremblent et qui ont crainte ?

« Craignons donc, tandis que la promesse d’entrer dans son repos subsiste encore, qu’aucun de vous ne paraisse être venu trop tard. » (Hb 4 :1)

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A mes frères et sœurs qui vivent dans l’angoisse des temps que nous traversons, je dis rien ne sert de vous angoisser, arrêtez de croire aux mensonges étatiques et médiatiques qui ne cherchent qu’à entretenir en vous la peur par laquelle ils cherchent à nous maintenir en esclavage. Quelqu’un a dit que la meilleure façon de garder un peuple et de le gouverner, c’est par la peur. La peur rend servile, la peur pousse à accomplir des choses irraisonnées, irrationnelles, dont les conséquences peuvent être dramatiques, non seulement pour nous-mêmes mais aussi pour nos proches. La peur bloque toute possibilité d’avenir, elle nous place de force devant un mur infranchissable, elle nous pousse à prendre des décisions regrettables et forcément nuisibles, elle nous pousse à nous replier égoïstement sur nous-mêmes sans plus se soucier d’autrui.

La peur est l’ennemie de la foi.

Non, un chrétien ne doit pas se comporter de cette façon.

Jésus nous dit d’être la lumière du monde et le sel de la terre. Mais si nous marchons selon le monde, où est la vraie lumière ? Celle du monde n’est que ténèbres, le monde nous parle de paix et de sécurité, discours creux et sans vérité. La vraie paix et la vraie sécurité ne peuvent venir que de Dieu seul.

Qui croyez-vous donc ?

Dans ce que le monde vous assène comme fausses vérités, où la vérité de la parole de Dieu ?

Les chrétiens d’aujourd’hui, dans leur grande majorité, sont peureux, au point même qu’ils seraient prêts à renier leur Seigneur et sauveur devant l’adversité, devant la persécution ou l’intimidation.  Ne soyons pas de ceux-là ! Gardons la foi en toutes circonstances, bonnes comme mauvaises, favorables ou non, et comme je le rappelais plus haut : travaillons à notre salut.

A mes collègues dans le ministère

 J’ai à cœur de vous transmettre ceci :

Loin de moi d’être un moraliste et de pointer du doigt les défauts des autres, de m’ériger en juge. Non, ce que j’ai à vous dire me concerne au premier chef. Qui suis-je pour juger qui que ce soit ?

Si le Seigneur des cieux nous a appelés à le servir dans un ministère quelconque, retenons et souvenons-nous que ce n’est pas pour nous-mêmes, mais pour « l’édification du Corps de Christ, pour le perfectionnement des saints » comme le dit Ephésiens 4 :11, c’est-à-dire pour l’Église en tant que rassemblement d’hommes et de femmes nés de nouveau, vrais disciples, prêts à suivre le Seigneur jusqu’au bout, quoi qu’il en coûte.

Hélas, beaucoup de serviteurs (et de servantes) de Dieu ont oublié cela depuis longtemps et se servent de leur ministère pour leur propre profit, afin d’en tirer une espèce de gloire personnelle, ou quelque avantage : renommée, voire prestige international, gains divers, fortune personnelle, train de vie plus que luxueux etc. Ils prêchent de fausses doctrines comme  l’accomplissement de soi au travers de « coachings » divers, séminaires et ateliers de développement personnel, qui ne font que qu’alimenter un ego démesuré, un sentiment de « toute-puissance », une estime de soi hors de propos dont ils sont les premiers bénéficiaires.

Est-ce que Jésus enseignait un soi-disant développement personnel par son ministère, un « coaching » psychologique, recherchait-il les honneurs des hommes, désirait-il être bien vu des hommes et des institutions, voire des chefs d’état ou des gouverneurs ?

Loin de là ! Au contraire personne d’autre que lui n’a été autant combattu par les hommes, et en particulier par ceux de sa race, et également des chefs religieux ou civils. Jamais il n’a prétendu œuvrer de son propre chef, affirmant qu’il ne faisait qu’accomplir les œuvres de son Père. Il n’est venu que pour prêcher la repentance et le pardon, rien de plus. Quel exemple d’obéissance et de soumission, d’humilité et d’oubli de soi ! Tout le contraire de ces soi-disant serviteurs de Dieu qui parlent de leur église, de leur ministère, de leurs fidèles, qui critiquent ce que font leurs collègues par esprit de dispute, de jalousie et d’envie, et qui prétendent avor la plus grande église de France ou d’ailleurs, être le meilleur prédicateur, et j’en passe.

Je n’ai pas la vocation d’être un redresseur de torts, je dis simplement ce que mon cœur de serviteur de Dieu me demande de vous dire, sans aucune haine. Je sais qu’à la lecture de ce message, beaucoup vont sans doute me juger en pensant que je me mêle de ce qui ne me regarde pas. Ce n’est pas cela l’important. Je ne cherche pas l’approbation, je dis ce que je pense avoir à dire, pour notre bien à tous.

N’oublions pas que le jugement de Dieu sera très sévère à l’égard des pasteurs, enseignants et autres « leaders », bien plus sévère que pour un chrétien « ordinaire ».

 «  Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux .Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur n’avons-nous pas prophétisé par ton Nom ? N’avons-nous pas chassé des démons en ton Nom ? Et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton Nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité » (Mt 7 :21-23)

 

« Mes frères, qu’il n’y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. » (Jc 3 :1)

Tout ministère comporte des risques, les plus grands dangers sont l’orgueil et la cupidité, et ce sont ces deux dangers-là qui dans la plupart des cas détruisent des ministères et des fidèles, à commencer bien sûr par ceux qui sont à la tête, car le diable frappe d’abord la tête pour détruire le reste.

En tant que serviteurs et ministres de Dieu, notre responsabilité est immense ; notre charge consiste à conduire ceux qui nous sont confiés par Dieu, non pas pour les maltraiter ou les soumettre à notre volonté, mais pour les conduire comme le dit le Ps.23 « dans de verts pâturages », là où la nourriture est riche et excellente, là où règne la paix parfaite, là où la sécurité est totale, là où l’on ne peut craindre les attaques de l’ennemi.

Les brebis du Seigneur ont besoin d’être soutenues, bien gardées, et n’oublions pas qu’elles ne nous appartiennent en aucun cas ! Nous ne sommes ni leurs maîtres, ni leurs propriétaires et Dieu nous redemandera des comptes sur la façon dont nous aurons géré son troupeau. C’est là qu’il y aura « des pleurs et des grincements de dents » !

Dans ces temps de la fin, soyons encore plus vigilants, d’abord quant à nous-mêmes avant de prétendre pouvoir nous occuper des brebis du Seigneur, car le diable rôde comme un lion rugissant, particulièrement autour des ministères suscités par Dieu, et non pas les ministères « autoproclamés », et ils sont fort nombreux, hélas ! Mais de ceux-là, Dieu s’en charge.

A vous qui ne croyez ni en Dieu ni en Jésus-Christ

 Oui je m’adresse à vous aussi, vous qui lirez ce message mais qui n’avez pas de vie chrétienne, ou qui ne croyez en rien. Mais comme dirait le célèbre humoriste disparu, Raymond Devos, « rien, c’est rien, trois fois rien c’est déjà quelque chose ! »

Donc je vais essayer de vous expliquer deux ou trois choses, c’est-à-dire « trois fois rien » mais qui pourraient peut-être vous montrer la voie.

Vous ne croyez pas en Dieu, et pourtant Dieu croit en vous, puisqu’Il vous a créé de ses propres mains, c’est ce que nous dit le livre de Genèse au chapitre 2 :7 et suivants.

Non, nous ne descendons pas d’un singe, lui-même descendant de quelque autre animal moins évolué, lui-même descendant… Nous avons été créés de la terre par Dieu Lui-même.

Vous niez l’existence de Jésus-Christ, et pourtant, même des historiens ont reconnu que cet homme a réellement existé. Et il y a tellement de témoignages l’attestant ! Mais bien sûr pour vous, tout cela, c’est du passé… Sauf qu’il y a, tout autant, de nos jours, des témoins directs et indirects de sa vie et de son œuvre

Quand on contemple la nature, les phénomènes de l’univers, les climats, on ne peut croire que cela provienne du hasard. Tout est parfaitement réglé, tout fonctionne selon le rythme d’une gigantesque horlogerie qu’aucun homme sur terre, fût-il le plus savant, le plus intelligent, ne pourrait jamais inventer et faire fonctionner. Nous entrons dans le domaine de l’infini, de l’insondable, notre petite intelligence humaine ne peut en saisir le sens caché. Même nos corps biologiques dépassent l’entendement quant à la compréhension de leur fonctionnement intime, qui échappe à toute forme d’investigation même la plus poussée. Les rouages d’une telle « machine » sont d’une telle complexité, qu’aucun ordinateur, même le plus sophistiqué ne pourra jamais en comprendre les tenants et les aboutissants.

Malgré cela, beaucoup persistent à croire que cela est né du « hasard et de la nécessité » comme l’a dit le célèbre biologiste du siècle passé, Jacques Monod. La création telle que voulue par Dieu dépasse les philosophies et les raisonnements les plus élaborés. C’est ce que le grand apôtre Paul nous explique dans le chapitre 1 de sa lettre aux Romains.

C’est ainsi que Dieu interpellait son serviteur Job dans le livre de la Bible qui porte son nom :

« L’Eternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit : Qui est celui qui obscurcit mes desseins par des discours sans intelligence ? Ceins tes reins comme un vaillant homme ; je t’interrogerai et tu m’instruiras.

Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ?(…) »

Dieu voulait montrer à Job l’infinie grandeur de sa puissance dans la création de l’univers. Aujourd’hui bien des scientifiques remplis d’orgueil pensent que seules la science et la médecine peuvent sauver l’humanité de tous ses problèmes. La science rationaliste et humaniste est devenue le dieu de ce siècle auquel beaucoup se confient dans leur aveuglement et leur incrédulité. Et pourtant l’homme n’a rien créé, il ne s’est même pas fabriqué tout seul ! Cette incrédulité qui caractérise bon nombre de nos contemporains est le signe que l’homme pense qu’il est son propre dieu, ainsi que le disent certaines philosophies extra orientales qui parlent aussi de réincarnation, doctrine qui est aux antipodes de ce que la Bible déclare.

L’homme est né pécheur et a besoin d’un sauveur, d’un rédempteur pour pouvoir un jour jouir d’une félicité éternelle auprès de Dieu.

Voici ce que la Bible déclare :

«  Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Rm 3 :23)

« Car le salaire du péché c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Rm 6 :23)

Le rédempteur, celui qui a accepté de porter le poids de nos péchés à la croix, c’est Jésus-Christ de Nazareth, le Fils unique du Père, « existant avant tous les siècles ».

C’est ce Jésus de Nazareth qui a accepté de se démettre de sa gloire d’auprès de Dieu au ciel, afin de venir comme un homme sur terre, y vivre, y exercer un ministère auprès des perdus, des laissés pour compte, des malades, des boiteux, des aveugles, des muets, des lépreux, de tous ceux que la société rejette et méprise.

Les philosophes grecs, tel Platon, ont soutenu l’idée de l’immortalité de l’âme après la mort physique du corps terrestre. Grave erreur !

Voici ce que déclare la Bible au sujet de l’âme :

« L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. Le fils ne portera pas l’iniquité de son père, et le père ne portera pas l’iniquité de son fils. La justice du juste sera sur lui, et la méchanceté du méchant sera sur lui. » (Ezéchiel 18 :20)

L’âme de l’homme peut vivre mais aussi mourir si elle a vécu loin de Dieu pendant toute son existence terrestre.

La seule façon de sauver nos âmes, c’est-à-dire notre moi le plus intime, notre personne intérieure, invisible à l’oeil, c’est justement de croire à ce sacrifice consenti librement par Jésus-Christ de Nazareth et de l’accepter de manière pleine et entière.

D’aucuns croient qu’il ne se passe plus rien après la mort physique, que l’homme retourne au néant d’où il a été tiré, qu’il n’y a plus aucun secours possible, aucune espérance permise une fois que la personne est décédée, et malheureusement beaucoup de gens, et même de « bonnes personnes » le croient, même certains chrétiens ne sont pas très au clair sur ce sujet…

Vous croyez que le Mal existe en ce monde et vous avez pleinement raison. Oui le mal existe sous diverses formes : guerres, crimes, attentats, viols, divorces, accidents, catastrophes diverses, avortements et j’en passe. Tout cela est la résultante d’une seule chose : le péché de l’homme qui prétend vivre sans Dieu et se suffire à lui-même.

Alors si vous croyez que le Mal existe, c’est donc que le Bien existe aussi… et ce Bien est personnalisé par un être supérieur, le Dieu Tout-Puissant, qui n’est certes par celui que les Francs-maçons appellent le « grand architecte de l’univers », pour eux Lucifer (le « porteur de lumière »), mais qui est en fait le prince des ténèbres, Satan. Ils reconnaissent néanmoins  que l’univers ne s’est pas fait tout seul !

Cet être surnaturel, celui que la Bible appelle « Yahveh » ou « Adonaï », ou encore « l’Eternel des Armées », est ce Dieu unique auquel nous croyons, celui « Qui a fait les cieux et la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve » (Actes 4 : 24). C’est un Dieu d’amour et de miséricorde, et non un dieu humain, tel que les hommes aiment s’en fabriquer à leur mesure.

Alors vous qui prétendez que Dieu n’existe pas, comment pourriez-vous le prouver ?

Je vous le dis: Il est bien plus facile de prouver qu’Il existe que le contraire !

L’homme qui méconnaît ou nie l’existence de Dieu, est considéré comme une créature de Dieu certes, mais il est en fait semblable à un homme « animal », dépourvu de toute spiritualité.

« Mais l’homme animal (c’est-à-dire pourvu d’une âme mais dépourvu d’esprit) ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge. L’homme spirituel (c’est-à-dire animé par l’Esprit de Dieu en lui), au contraire, juge de tout, et il n’est lui-même jugé par personne. » (1Co  2 :14-15)

Voilà toute la différence entre ceux qui croient en l’existence de Dieu et qui en vivent quotidiennement, et ceux qui ignorent, volontairement ou non, son existence et vivent comme des « hommes animaux », livrés à leurs sens naturels réprouvés et totalement étrangers à la vie de Dieu.

Bien des hommes croient pourtant à une vie surnaturelle, puisqu’ils sont en recherche de leur avenir, en consultant soit des horoscopes, soit des « diseuses de bonne aventure » ou parce qu’ils sont plongés dans un monde secret et occulte dont ils pensent tirer des solutions pour leur vie misérable, ils croient à ce qu’on appelle un monde « paranormal » recelant quantité de phénomènes étranges. Le problème est que ce monde occulte ne vient pas de Dieu mais d’entités démoniaques qui induisent ces gens en erreur en leur faisant croire à des mensonges, ou à des fausses vérités qui fatalement les conduiront un jour vers la mort et la destruction. Les sorciers, chamans, et toute cette pléiade de faux dieux, faux prophètes, n’ont qu’une seule pensée en tête : emmener le plus grand nombre possible vers la mort éternelle, ce que nous appelons l’enfer ou sheol qui est le royaume de Satan, prince du Mal, père du mensonge, le destructeur, le voleur, l’égorgeur, l’ennemi de Dieu.

La différence entre le fait de vivre en Dieu et vivre dans ce faux surnaturel est que dans le premier cas, nos vies sont transformées de manière positive pour aller de plus en plus vers ce qui est bon, digne et agréable, alors que dans le second cas, ceux qui se livrent à ce monde démoniaque ont pris leur passeport pour la mort éternelle, en enfer, sans aucun espoir de retour.

Il y a dans la vie des choix à faire, et ces choix vont nous engager pour le reste de nos existences.

Le philosophe Jean-Jacques Rousseau écrivait que « L’homme est naturellement bon, c’est la société qui le corrompt et le rend mauvais »

Faux ! Si l’homme était si bon depuis l’origine, alors comment expliquer ce déferlement de méchanceté, ces guerres, ces crimes qui se perpétuent de siècles en siècles sans qu’aucune solution viable ne soit jamais trouvée pour y mettre un terme ?

Croire en l’existence de Dieu ne suffit même pas, il faut le vivre !

Finalement tout le monde peut croire qu’il existe une « puissance supérieure », mais sans savoir ce que cela implique pour nos vies. Les dieux romains et grecs étaient aussi considérés comme des puissances supérieures, mais cela a-t-il changé le cours de l’histoire ? Ces civilisations ont disparu avec leurs panthéons de divinités et la face du monde n’en n’a pas été changée pour autant.

Il est grand temps de se remettre en question. Le monde va mal et ira de plus en plus mal quoi que les hommes puissent tenter pour essayer d’y remédier. Ni les traités de paix, ni les accords, ni les conférences au sommet, rien ne pourra mettre un terme définitif à la corruption de ce monde. Tout cela n’est qu’artifice et illusion.

C’est ce que je crois…et vous aussi j’espère !

« Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de l’Eternel ! » (Jer 17 :5)

« Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de se confier à l’homme ; mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de se confier aux grands. » (Ps 118 :8-9)