La dîme, son sens spirituel et sa destination, par Michelle d’Astier de la Vigerie

Note du 23 Janvier 2011: Le Seigneur entre-temps m'a encore révélé certaines choses sur la dime, que je n'avais pas encore vu, car cela a commencé, de fait, avec ... Abel. Je rajoute donc un chapitre en fin d'article sur le sujet.

J'ai déjà  écrit un article sur ce sujet, il y a quelques années, tant j'avais vu de controverses sur ce sujet explosif: https://michelledastier.com/index.php/2007/01/05/119-un-souffle-de-vie-6-janvier-2007

Entre-temps, le Seigneur m'a donné des révélations sur le sens de la dîme. Ce n'est pas pour rien que Satan fait croire aux chrétiens qu'elle a été abolie dans le Nouveau Testament: des enjeux extraordinaires sont attachés à  la fidélité dans le don de sa dîme, loi perpétuelle, que Dieu a commencé à  instaurer, non par Moïse, mais via Abraham, le père de la foi, donc le père du salut par la grâce... et non par la loi !

Balaam, le précurseur de l’oecuménisme

(Note M.A.V. : je reprends ici un article que j'avais écrit en 2007, en l'étoffant un peu. Non seulement ma position n'a pas changé, mais elle s'est renforcée, car je vois les dégâts dramatiques que l'œcuménisme fait: il détrut littéralement la Vérité dans bien des Eglises, qui ont désormais perdu leur "chandelier", car la vérité n'y est plus prêchée !)

Faire alliance avec des Églises "sœurs" au sein d'un œcuménisme qui veut rallier toutes les religions sous sa bannière, c'est accepter de faire partie de la grande prostituée qui va soutenir l'antéchrist.

On connaît l'histoire de Balaam qui nous est racontée dans la Bible à  partir de Nombres 23. Dans ce contexte historique, Balak, roi de Moab, a fait alliance avec les Madianites, CONTRE ISRAËL, parce qu'ils se sont appropriés durant quatre cent trente ans un territoire qui a été donné par Dieu aux seuls descendants d'Isaac, l'enfant de la promesse, et non à  eux, malgré leur parenté avec Abraham, et ils s'arque-boutent sur cette terre ALORS QU'ILS SAVENT QU'ELLE NE LEUR APPARTIENT PAS*.

Un salut sans la repentance?

Note M.A.V.: Je remets en ligne cet article, écrit il y a trois ans, au tout début du blog. Je pense que, s'agissant d'un sujet majeur: "la repentance à  salut", il est plus que jamais utile, en nos temps d'apostasie, de rappeler certains fondements: c'est pour beaucoup de chrétiens de nom une question de vie ou de mort... s'ils savent entendre !

Comme beaucoup de serviteurs de Dieu, je suis confrontée à  un constat terrible: Dans nos églises, beaucoup de ceux qui se disent chrétiens ne sont pas sauvés. Quel pourcentage? Dieu seul connaît les Siens !

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