Perdue dans le relativisme, noyée dans la politique identitaire et la diversité forcée, la gauche n’a plus de compas moral, plus d’émotions et plus d’empathie – que des poncifs.

Elle a renoncé à son monopole du cœur pour celui du pouvoir. Elle domine les médias, les arts, l’académie, l’édition, les grandes entreprises du net, les experts du climat, et qu’en fait-elle ? Elle sème l’intolérance, la pensée unique et l’interdiction de contredire, le politiquement correct ou l’excommunion, et la présomption de culpabilité.

 

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