»  Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu  «  (Mt 10  :26)

Le 10 décembre 2018 a été signé à  Marrakech, le «   Pacte Mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières  « , validé mais non encore ratifié, puisque cela est prévu pour le 19 décembre.

L’intitulé peut surprendre…

Sûres... moyennant quoi, quel moyens  ? S’agit-il d’une certitude ? Oui bien sûr, ces migrations sont certaines, avec risques majeurs d’atteinte à  la sûreté des citoyens…

Ordonnées… donc c’est un ordre qui est donné, par qui ?  

Régulières…  donc à  flot constant, à  chaque fois que le besoin se fera sentir… ou bien régulées, ou encore régularisations à  la clé (massives  ?) des futurs entrants sur le territoire…

Tout d’abord, pourquoi un pacte et non un traité ou un accord  ?

Le mot pacte à  une connotation nettement péjorative, et dirais-je diabolique, ce qui ne nous étonnera guère quand on connaît les idées et les aspirations plus ou moins secrète de l’ONU, qui, à  bien des égards, a effectivement toujours pactisé avec le monde des ténèbres…

Il y tellement à  dire sur ce pacte, qui fait 41 pages (que je n’ai pas lues entièrement tellement c’est indigeste) et pourtant combien de fausses vérités et de faux- semblants se cachent derrière ce texte. Il suffit de lire et d’analyser seulement quelques paragraphes et tout est dit, ou presque  !

D’abord soulignons le fait que ce pacte arrive à  un moment très critique de l’histoire de ce monde, comme s’il s’agissait d’établir de façon urgente des dispositions particulières concernant ce phénomène de l’immigration qui déjà , en agace, en irrite plus d’un, à  l’heure où la France est en insurrection contre le pouvoir, où le chômage ne cesse d’augmenter, où la dette publique est abyssale et ne peut plus être endiguée, les dépenses publiques étant en constante augmentation.

Rien ne justifie l’urgence de ce Pacte, si ce n’est une volonté délibérée et secrète d’asservir les populations européennes en permettant officiellement une invasion de vagues migratoires qui, n’en déplaise aux signataires de ce Pacte, se révéleront très rapidement hors de tout contrôle.

Cette précipitation à  convoquer 193 états membres paraît plus que suspecte, seulement 150 étaient présents. Plusieurs états ont refusé de signer ce pacte  : les États-Unis, l’Australie et Israël  ; des états faisant partie de l’Union européenne comme la Belgique, la Bulgarie, la République Tchèque, la Pologne, la Hongrie, l’Italie, et la Suisse qui, bien que faisant pas partie de l’UE ne s’est pas encore prononcée.

Il faut également noter l’absence complète de consultation auprès des français et des européens en général sur le bien-fondé d’un tel traité. Pas de référendum, donc pas d’avis à  donner, donc une fois de plus on prend les gens pour des moutons dociles, prêts à  avaler n’importe quoi et qu’on prépare pour l’abattoir.

De toute façon, on l’a bien vu pour le Traité de Lisbonne, malgré le NON massif de la majorité, celui-ci a été validé et signé, de gré ou de force…

Des migrations sûres, ordonnées et régulières. À  voir…

Ce pacte fait partie intégrante du processus de la mondialisation avec la disparition des frontières européennes, la libéralisation des marchés, les décentralisations des entreprises, bref la globalisation du monde et des sociétés qui n’est que le meilleur moyen de contrôler les populations, jusque dans l’intimité de chacun, de contrôler le système économique et financier, d’éviter les fuites de capitaux, bref d’exercer une dictature à  l’échelle mondiale qui ne veut pas encore dire son nom…

Les objectifs de ce pacte  (entre autres)  :

Lutter contre les facteurs négatifs et les problèmes structurels qui poussent des personnes à  quitter leur pays d’origine

Munir tous les migrants d’une preuve d’identité légale et de papiers adéquats

Favoriser des pratiques de recrutement justes et éthiques et assurer les conditions d’un travail décent

Gérer les frontières de manière intégrée, sûre et coordonnée

Veiller à  l’invariabilité et à  la prévisibilité des procédures migratoires pour assurer des contrôles, des évaluations et une orientation appropriés.

Donner aux migrants et aux sociétés des moyens en faveur de la pleine intégration et de la cohésion sociale

Eliminer toutes les formes de discrimination et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues.

Coopérer en vue de faciliter le retour et la réadmission des migrants en toute sécurité et dignité, ainsi que leur réintégration durable.

Voici quelques extraits de ce pacte  (avec mes commentaires en rouge)

 »   Le présent Pacte mondial marque une étape importante dans l’histoire du dialogue mondial et de la coopération mondiale concernant les migrations (…) ( § 6 du Préambule)

Quel dialogue et entre qui et qui  ? Les peuples des pays d’accueil n’ont même pas leur mot à  dire  ! Point de référendum, point de consultation des collectivités, des institutions…

 »  Le présent Pacte mondial établit un cadre de coopération juridiquement non contraignant, qui repose sur les engagements convenus par les États Membres dans la Déclaration de New-York pour les réfugiés et les migrants. Il favorise la coopération internationale en matière de migration entre tous les acteurs compétents, sachant qu’aucun État ne peut gérer seul la question des migrations, et respecte la souveraineté des États et les obligations que leur fait le droit international.   » ( §7 du Préambule)

Non contraignant  ? Pour qui  ? Alors si c’est le cas pourquoi pratiquement obliger les États Membres à  signer ce protocole  ?

«   Aucun État ne peut gérer seul la question des migrations  « . Oui c’est pour cela que l’ONU veut s’ingérer dans les États. On leur impose des migrants et ils ne peuvent bien sûr pas répondre à  tout ce flot impossible à  contenir  ;

 »  Le respect de la souveraineté des États   »  ? Elle est bien entamée et en train de disparaître de plus en plus rapidement face à  cette pieuvre qu’est la mondialisation…

 »  Par le présent Pacte mondial, nous nous engageons collectivement à  améliorer la coopération en matière de migration internationale. Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à  l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. Aujourd’hui, la majorité des migrants voyagent, vivent et travaillent dans des conditions sûres, ordonnées et régulières. Néanmoins, les migrations ont indéniablement des répercussions très différentes et parfois imprévisibles sur nos pays ainsi que sur les communautés et les migrants et leur famille.  «  ( §8 du préambule)

Les migrations facteurs de prospérité  ??? Pour qui si ce n’est pour quelques gros trusts industriels qui voient là  l’occasion de s’enrichir encore plus et d’exploiter une main d’œuvre à  très bas coût  !

C’est ainsi que Mme Merkel a laissé entrer 1 million de migrants en Allemagne à  la demande de quelques grosses sociétés qui voulaient profiter de l’aubaine.

 »  La majorité des migrants voyagent, vivent et travaillent dans des conditions sûres, ordonnées et régulières  « 

C’est le maître mot de tout ce Pacte  : sûres  ; ordonnées et régulières.

C’est Faux  ! Seuls ceux qui sont en situation régulière peuvent le faire, et encore  ! C’est pour cela sans doute que toutes ces vagues déferlantes auront rapidement des papiers pour circuler librement à  travers toute l’Europe et ailleurs  : régularisations massives en vue  !

 »   Les migrations ont indéniablement des répercussions très différentes et parfois imprévisibles sur nos pays ainsi que sur les communautés et les migrants et leur famille  « 

On ne saurait mieux dire en effet… des répercussions elles en ont certes, et pas des moindres  ! Imprévisibles  ? Je croyais que tout était planifié et prévu d’avance avec ce Pacte extraordinaire  ! Rien donc ne peut être imprévisible alors  !

 »  Le présent Pacte mondial a pour objet d’atténuer les facteurs négatifs et structurels qui empêchent les individus de trouver et de conserver des moyens de subsistance durables dans leur pays d’origine et les forcent à  rechercher un avenir ailleurs. Il vise à  réduire les risques et les vulnérabilités auxquels sont exposés les migrants aux différentes étapes de la migration en promouvant le respect, la protection et la réalisation de leurs droits de l’homme et en prévoyant la fourniture d’une assistance et de soins (…)  « 

 »   Atténuer les facteurs négatifs et structurels qui empêchent les individus de trouver et de conserver des moyens de subsistance durables dans leur pays d’origine et les forcent à  rechercher un avenir ailleurs.  « 

Alors là  c’est le bouquet  ! Qui est à  l’origine de tous les conflits en Côte d’Ivoire, au Mali, au Burkina, en Libye, les  »  printemps arabes   » et j’en passe  ?

Qui est responsable directement des coups d’état, des assassinats, des épidémies d’Ebola et autres, des famines endémiques dans tous ces pays  ?

Messieurs et Mesdames les technocrates de l’ONU vous avez la mémoire bien courte  !!!

Etonnez- vous alors que ces gens recherchent un  »  ailleurs   » comme vous le dites pour essayer de survivre. Je parle de ceux qui sont les vraies victimes de cette néo-colonisation scandaleuse et meurtrière, pas de ceux qui viennent  »  squatter   » sans motif, seulement pour semer le trouble et la chienlit…ceux qu’on met par (fausses) familles entières sur les trottoirs et aux feux tricolores de Paris pour mendier auprès des automobilistes, pour le seul profit de souteneurs qui vivent sur cette manne providentielle.

 »  Nous nous efforçons de créer des conditions favorables qui permettent à  tous les migrants d’enrichir nos sociétés grâce à  leurs capacités humaines, économiques et sociales, et facilitent ainsi leur contribution au développement durable aux niveaux local, national, régional et mondial.  «  ( §12 du Préambule)

 »  Des conditions favorables qui permettent à  tous les migrants d’enrichir nos sociétés…  « 

Question  : sans eux, nos sociétés risquent-elles de pourrir dans la misère  ? Quelles genres de richesses peuvent nous apporter toutes ces personnes, quel genre de contribution au développement durable de notre société peuvent-ils apporter, eux qui pour la plupart viennent de pays pauvres, sans instruction, sans maîtrise de la langue  ?

Certes, beaucoup sont de bonne volonté et cherchent sans doute à  s’intégrer du mieux possible, mais à  quel prix  ? Combien de temps leur faudra-t-il pour être  »  opérationnels   » et contribuer efficacement à  l’essor de nos sociétés déjà  sur la pente descendante  ?

Le reste est à  l’avenant ad nauseam

Pour résumer, ce Pacte est un piège mortel destiné à  renforcer l’anéantissement de la souveraineté des nations et à  remplacer, et le mot n’est pas trop fort, les populations autochtones par des gens, dont beaucoup sont sans foi ni loi et ne souhaitent pas du tout s’intégrer, au contraire contribueront, et c’est déjà  commencé, à  désintégrer le tissu social des pays qui les laisseront en toute impunité, s’installer sur leur sol.

Voilà  bien un funeste projet qui s’inscrit délibérément dans un ORDO AB CHAOS prévu de longue date et qui se précise chaque jour davantage.

 » Ils viennent jusque dans vos bras, égorger vos fils, vos compagnes ! «  (La Marseillaise)

 »   De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à  la porte.   » (Matthieu 24  :33)

Maranatha  !