Je n’ai pas été absent mes amis, j’ai été silencieux, car le temps n’était pas aux paroles mais à l’écoute, à l’observation et à l’analyse. J’ai écouté. Beaucoup. Pendant des heures. J’ai travaillé. J’ai lu. J’ai parcouru les cortèges de manifestations de l’Auvergne à la Normandie.

Quand le monde se met à hurler, quand la raison laisse la place à la folie collective, lorsque les emportements deviennent la norme, il n’est pas dans ma nature d’aboyer avec la meute aussi rassurant soit-il.

La poussière commence juste à retomber et la rentrée s’annonce explosive à bien des égards.

Aujourd’hui, je peux revenir vers vous et vous dire.

Il y a ce que je vois, il y a ce que je sais.

J’ai vu pendant deux mois un déchaînement de violence et de haine se déverser sur les écrans, avec des affirmations terribles où il fallait « pourrir » la vie des non-vaccinés.

J’ai vu arriver le pass sanitaire et sa cohorte de mesures et de conséquences liberticides comme jamais.

J’ai vu les principes constitutionnels les plus sacrés de notre pays balayés en quelques semaines de propagande.

J’ai vu la science s’effacer.

J’ai vu l’hystérie devenir la norme.

J’ai vu les contre-pouvoirs prévus refuser de faire leur office.

J’ai vu, partout, abdication, lâcheté, et compromission.

J’ai vu des gens aller se faire « vacciner » contre leur gré, forcés par des mesures qui les empêchent de mener une vie normale.

J’ai vu tant de mensonges depuis le début de cette épidémie, tellement de mensonges et de contradictions de la part de ceux qui nous dirigent, des masques qu’il ne fallait surtout pas porter, au virus qui n’arriverait pas chez nous, au pays qui était préparé à tout, sans oublier qu’il fallait applaudir nos soignants qui n’avaient rien, ni masque, ni gants, ni blouses mais des sacs poubelles et qui montaient au front sans protection et évidemment sans vaccination. Et puis j’ai vu qu’il fallait les virer un an après s’ils ne prenaient pas leurs doses imposées parce qu’ils pouvaient contaminer leurs patients.

Applaudis hier, punis aujourd’hui.

J’ai vu tout cela et tant d’autres choses qu’il serait trop long de vous énumérer tous mes écœurements qui sont, sans doute, aussi les vôtres.

Enfin, j’ai vu des braves gens mangeant une glace ou buvant un café se faire contrôler, surveiller, vérifier. Il ne fait pas bon tomber en panne de batterie dans un restaurant par les temps qui sont les nôtres.

Il y a tout ce que j’ai vu et que je vois encore, et puis il y a ce que je sais.

Je sais que malgré un niveau de propagande jamais atteint dans notre pays par les médias, un niveau de mensonges jamais atteint y compris par les médecins de plateaux qui nous prennent pour des abrutis finis, ce que nous sommes devenus tant nos concitoyens sont nombreux à avoir débranché leur cerveau, la soif de liberté reste intrinsèque à l’homme.

Je sais aussi que la réalité est toujours froide.

Vous pouvez faire autant de propagande que vous voulez comme en ex-URSS en proclamant que jamais la récolte de blé n’a était aussi importante, dans la vraie vie, les Russes, eux, savaient bien qu’ils ne trouvaient pas une baguette de pain à manger !

Je sais que notre pays et ses « élites » bien petites vont se prendre de plein fouet le mur de la réalité et c’est ce que je vais essayer de vous démontrer.

Je sais aussi qu’ils habilleront leurs échecs et leurs manquements avec encore plus de mensonges et de propagande.

Je sais aussi que la presse et les médias mouillés collectivement de même que l’ensemble de la classe politique dans cette grande manipulation feront tout pour cacher les erreurs et les amoindrir dans un réflexe de caste et de protection du système qui les nourrit.

Je sais également qu’il n’y aura aucun retour au monde d’avant, et tous ceux qui pensent qu’il « suffit » de se faire piquer et vacciner pour que tout cela se termine enfin, se trompent.

Il n’y aura pas de retour au monde d’avant, parce que ma conviction qui repose sur des faits que je partage avec vous dans ces quelques pages, m’incline à penser que la vaccination est un échec relatif dans le sens où elle ne mettra pas fin du tout à l’épidémie, qu’elle ne fonctionne pas vraiment aujourd’hui, et ne marchera pas mieux demain.

Or, si la vaccination ne fonctionne pas, alors que nous avons, enfin, pas nous, mais les gouvernements et accessoirement les marchés ont tout misé sur une vaccination efficace et une promesse de sortie de crise définitive, que va-t-il se passer ? Que nous restera-t-il ?

Quelles seront les réactions, sociales, politiques et économiques ?

Cela sera-t-il susceptible d’entraîner un krach boursier par exemple ? Va-t-on devoir subir d’autres confinements ? Les voyages pourront-ils reprendre ?

Bref, finalement, presque deux ans après le début de la pandémie, nous pourrions bien nous rendre compte d’ici moins de 6 mois que la stratégie vaccinale a tout simplement échoué.

C’est en tous les cas, à cette hypothèse que viennent de me conduire mes dernières semaines d’analyses et de réflexions. C’est ce que je vous livre dans ce dossier spécial qui évoque la possibilité que l’année 2022 soit celle de l’échec de la vaccination.

Il n’y a dans mes propos rien de politique, pas plus que de conseils sur le fait de se faire piquer ou pas. Tel n’est pas mon sujet.

Si la vaccination est un échec ce que je crois, alors cela aura de très grandes répercussions sur la fonctionnement à venir de nos sociétés et bien évidemment sur l’économie.

Le dossier spécial est téléchargeable dans vos espaces lecteurs. Pour ceux qui veulent s’abonner, tous les renseignements se trouvent ici.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT